C’est peu dire que la vie d’un entrepreneur n’est pas un long fleuve tranquille. Elle s’apparente plutôt à un parcours du combattant, semé d'embûches et de grands moments de solitude. Une start-up est avant tout une entreprise qui a réussi à surmonter de nombreuses crises, stratégiques, techniques, managériales ou de financement. Et un entrepreneur, un combattant couvert de cicatrices…
Raison pour laquelle la résilience est une qualité essentielle du fondateur et que le travail d’équipe et d’écosystème est si décisif. C’est difficile, éprouvant mais surtout exaltant et gratifiant. Une grande aventure. La France fait merveille en la matière. Globalement parce que notre pays est numéro un en Europe pour ce qui concerne les créations d’entreprise (plus d’un million par an).
Et tout particulièrement la fintech, premier écosystème de l’Union européenne et premier compartiment de la tech française.
Une fintech est au moins aussi compliquée à créer et développer que n’importe quelle start-up. Elle l’est en fait davantage sur plusieurs plans. J’en citerai notamment deux. Tout d’abord parce que les services f inanciers sont (fort justement) hautement régulés. L’obtention et la gestion d’un agrément sont longues (parfois plus d’un an), complexes et chères. Ensuite, les fintech cherchent à introduire des innovations de rupture dans un monde très largement dominé jusqu’à présent par des acteurs traditionnels très puissants, les banques et les groupes d’assurance. Enfin, l'exigence d’excellence du service y est forte et la compétition féroce.
Qu’il me soit permis pour finir de formuler quatre recommandations à nos futurs entrepreneurs (qui en trouveront bien d’autres dans ce document) : • Ne pas se décourager si les vents sont adverses au début, savoir s’adapter, évoluer, pivoter lorsque cela est nécessaire. Valoriser ses échecs autant que ses succès, • Garder à l’esprit qu’une start-up, c’est 80 % de valeur humaine (l’équipe) et 20 % de modèle. Le pouvoir du collectif est l’aspect primordial du choix de ses coéquipiers. Le reste est second, • Construire son écosystème d’accompagnants, conseillers et autres mentors, • Enfin, bien connaître ses classiques, à savoir le métier que l’on prétend « disrupter », faire des gammes avant de se lancer.
Bonne route les amis !
Raison pour laquelle la résilience est une qualité essentielle du fondateur et que le travail d’équipe et d’écosystème est si décisif. C’est difficile, éprouvant mais surtout exaltant et gratifiant. Une grande aventure. La France fait merveille en la matière. Globalement parce que notre pays est numéro un en Europe pour ce qui concerne les créations d’entreprise (plus d’un million par an).
Et tout particulièrement la fintech, premier écosystème de l’Union européenne et premier compartiment de la tech française.
Une fintech est au moins aussi compliquée à créer et développer que n’importe quelle start-up. Elle l’est en fait davantage sur plusieurs plans. J’en citerai notamment deux. Tout d’abord parce que les services f inanciers sont (fort justement) hautement régulés. L’obtention et la gestion d’un agrément sont longues (parfois plus d’un an), complexes et chères. Ensuite, les fintech cherchent à introduire des innovations de rupture dans un monde très largement dominé jusqu’à présent par des acteurs traditionnels très puissants, les banques et les groupes d’assurance. Enfin, l'exigence d’excellence du service y est forte et la compétition féroce.
Qu’il me soit permis pour finir de formuler quatre recommandations à nos futurs entrepreneurs (qui en trouveront bien d’autres dans ce document) : • Ne pas se décourager si les vents sont adverses au début, savoir s’adapter, évoluer, pivoter lorsque cela est nécessaire. Valoriser ses échecs autant que ses succès, • Garder à l’esprit qu’une start-up, c’est 80 % de valeur humaine (l’équipe) et 20 % de modèle. Le pouvoir du collectif est l’aspect primordial du choix de ses coéquipiers. Le reste est second, • Construire son écosystème d’accompagnants, conseillers et autres mentors, • Enfin, bien connaître ses classiques, à savoir le métier que l’on prétend « disrupter », faire des gammes avant de se lancer.
Bonne route les amis !
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