La transversalité, le maître-mot de cette nouvelle formation qui sera inaugurée en mars prochain. Pendant 3 mois, une sélection de 50 personnes tous âges et tous parcours confondus, pourront profiter d’une formation professionnalisante mêlant tech et business avec 2 cursus au choix : TechLead Blockchain et Product Manager Blockchain.
Une énième formation dans le monde merveilleux de la tech ? Pas que…
Déjà, parce que le projet est né et, est hébergé au sein de l’un des plus vastes éco-systèmes dédiés au Web3 en Europe, le PyratzLabs (27 entreprises, 120 salariés, 1000 m2).
Il s’agit donc d’une initiative d’entrepreneurs souhaitant faire face à une certaine pénurie de main d’œuvre et à une inadéquation entre formations actuelles et besoins de compétences en entreprise. « Sur le seul site de PyratzLabs, nous cherchons déjà 30 profils à intégrer relate Bilal El Alamy. Nous souhaitons apporter une véritable intégration à l’éco-système et favoriser l’insertion des étudiants. »
Une énième formation dans le monde merveilleux de la tech ? Pas que…
Déjà, parce que le projet est né et, est hébergé au sein de l’un des plus vastes éco-systèmes dédiés au Web3 en Europe, le PyratzLabs (27 entreprises, 120 salariés, 1000 m2).
Il s’agit donc d’une initiative d’entrepreneurs souhaitant faire face à une certaine pénurie de main d’œuvre et à une inadéquation entre formations actuelles et besoins de compétences en entreprise. « Sur le seul site de PyratzLabs, nous cherchons déjà 30 profils à intégrer relate Bilal El Alamy. Nous souhaitons apporter une véritable intégration à l’éco-système et favoriser l’insertion des étudiants. »
Former les talents en réponse aux besoins du marché
En éclairage de l’enseignement théorique, les étudiants bénéficieront, par exemple, d’une masterclass hebdomadaire en présentiel avec l’un des leaders du Web3. Ils seront aussi, bien entendu, en contact direct avec l’ensemble des entreprises présentes sur PyratzLabs via notamment un espace de co-working.
Puis, parce que la BBS ne souhaite pas s’arrêter là. Bénéficiant de tous les systèmes de financement de formation (Pôle Emploi, région, compte CPF…), les équipes menées par Fabien Ansaldi, président de l’école, devraient bientôt pouvoir annoncer une équivalence reconnue par l’État. A terme, l’école ne s’interdit aucun partenariat ou développement lui permettant d’offrir des parcours « classiques » inhérents à toutes Business School.
Parrainée par Sébastien Borget, co-fondateur et COO de The Sandbox, cette première cohorte, ne serait donc que le « front raw » d’une démonstration plus ambitieuse en matière de formation Web 3, menée par les pionniers du secteur en France ?
Rappelons que selon une étude publiée par le cabinet KPMG en février 2022, le seul secteur des Crypto qui emploie 1200 salariés (janvier 2022) devrait atteindre le double cette année : 2400 emplois. Face à la très forte demande, ce seul segment du Web3 qui rassemble 600 projets répertoriés en France, pourrait générer plus de 100 000 emplois directs d’ici à 2030.
Toujours selon cette même étude, 83 % des potentiels employeurs peinent à recruter les talents adéquats techniques ou non, junior ou senior.
Lien vers l’étude KPMG :
https://home.kpmg/fr/fr/home/insights/2022/02/la-crypto-en-france.html
Lien vers la BBS :
https://www.bbschool.fr/
Puis, parce que la BBS ne souhaite pas s’arrêter là. Bénéficiant de tous les systèmes de financement de formation (Pôle Emploi, région, compte CPF…), les équipes menées par Fabien Ansaldi, président de l’école, devraient bientôt pouvoir annoncer une équivalence reconnue par l’État. A terme, l’école ne s’interdit aucun partenariat ou développement lui permettant d’offrir des parcours « classiques » inhérents à toutes Business School.
Parrainée par Sébastien Borget, co-fondateur et COO de The Sandbox, cette première cohorte, ne serait donc que le « front raw » d’une démonstration plus ambitieuse en matière de formation Web 3, menée par les pionniers du secteur en France ?
Rappelons que selon une étude publiée par le cabinet KPMG en février 2022, le seul secteur des Crypto qui emploie 1200 salariés (janvier 2022) devrait atteindre le double cette année : 2400 emplois. Face à la très forte demande, ce seul segment du Web3 qui rassemble 600 projets répertoriés en France, pourrait générer plus de 100 000 emplois directs d’ici à 2030.
Toujours selon cette même étude, 83 % des potentiels employeurs peinent à recruter les talents adéquats techniques ou non, junior ou senior.
Lien vers l’étude KPMG :
https://home.kpmg/fr/fr/home/insights/2022/02/la-crypto-en-france.html
Lien vers la BBS :
https://www.bbschool.fr/
Imprimer
Partager