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• Le cabinet de conseil international AlixPartners dévoile aujourd’hui les résultats de la première édition de son Disruption Index
• 3149 dirigeants d'entreprises (issus de 9 pays, dont la France, et 8 secteurs différents – cf méthodologie) ont été interrogés dans le cadre d'un sondage international
• Ils affirment que la concurrence, les nouvelles technologies, l'IA et la réglementation représentent des défis plus importants que le COVID-19 pour leur activité
• Moins de la moitié des dirigeants se disent très confiants dans leur capacité à résister à ces forces disruptives
Malgré l'impact universel du COVID-19, les chefs d'entreprises internationaux citent de nombreuses disruptions jugées plus impactantes pour leur entreprise que la pandémie. C’est ce qui ressort de la première édition du Disruption Index d’AlixPartners.
En effet, la concurrence accrue, les évolutions technologiques et réglementaires arrivent en tête de leurs préoccupations. Le rapport montre que les dirigeants se préparent à une nouvelle vague de disruptions post-pandémie.
"Les données montrent clairement que les dirigeants considèrent que le COVID-19, en dépit de ses effets majeurs, a globalement moins d'impact que les défis à plus long terme tels que l'automatisation ou les préoccupations environnementales. Les effets considérables de la pandémie que nous observons à l'échelle mondiale soulignent l’importance des forces de disruption dans le climat économique actuel. La disruption est clairement le nouveau catalyseur des cycles économiques", déclare Simon Freakley, CEO d'AlixPartners.
Rester lucide en plein chaos : le leadership en période de disruption
85% des dirigeants internationaux affirment que la disruption est le principal défi stratégique auquel sont confrontées les entreprises et la société dans son ensemble. Mais seuls 37% d'entre eux ont une profonde confiance dans leur capacité à y faire face. 51% des dirigeants craignent même de perdre leur emploi du fait des niveaux de disruption auxquels leur secteur est confronté. Malgré ces défis, 39% des dirigeants internationaux interrogés déclarent que leur entreprise est en meilleure posture aujourd'hui qu'il y a un an pour y faire face.
"2020 a été une année sous haute tension, avec de forts enjeux pour les entreprises, mais les dirigeants les plus performants ont été vigilants. En abordant ces nouvelles disruptions de front, ils ont propulsé leurs entreprises vers l'avant", explique Simon Freakley. "Les dirigeants qui parviennent à trouver des opportunités dans le chaos et la complexité génèrent et portent une vision proactive de leur modèle économique qui atténue et exploite les forces disruptives en cours."
Les dirigeants les plus performants considèrent les disruptions comme des opportunités pour leur entreprise. En développant et en cultivant cette approche au sein de leur organisation, ils en font un véritable outil de leadership. 52% de l'ensemble des dirigeants mondiaux pensent qu'un déficit de compétences rend leur organisation vulnérable aux disruptions. Plutôt que d'investir dans les nouvelles technologies - la principale stratégie citée par 53% des dirigeants -, beaucoup veulent en priorité changer la culture d'entreprise pour être plus agile face aux disruptions.
Simon Freakley ajoute : "Attirer les meilleurs talents est depuis longtemps une priorité pour les chefs d'entreprise. Un environnement économique fortement perturbé donne une nouvelle dimension à cette question, car relever le défi de la disruption exige non seulement de nouvelles compétences, mais aussi un changement d'état d'esprit. Les organisations qui adopteront les meilleurs outils numériques, associés à une agilité de pensée, une rapidité d'action et une concentration sans relâche sur l'exécution, ont le plus de chance de réussir."
Parmi les autres enseignements de l'enquête, citons :
- Les dirigeants qui réfléchissent constamment à l'impact des disruptions - sur leur entreprise, leurs employés, ou la sécurité de l’emploi - considèrent que leur entreprise se porte mieux aujourd'hui qu'il y a un an.
- 65% des dirigeants internationaux déclarent être fortement touchés par deux forces disruptives ou plus et, pour y répondre, ils prennent en moyenne trois ou quatre mesures phares. La réponse la plus régulièrement citée est l'investissement dans les nouvelles technologies.
- Les dirigeants en Chine (50%) et aux États-Unis (48%) sont parmi les plus confiants, tous marchés confondus, dans la capacité de leur entreprise à résister aux forces disruptives. Par comparaison, seulement 37% des dirigeants dans le monde sont très confiants. L'Italie (31%) et le Japon (24%) sont les pays où les dirigeants sont les moins confiants.
- Malgré cette année tumultueuse, les dirigeants du secteur de l’aéronautique et de la défense sont les plus confiants dans la capacité de leur entreprise à résister aux forces disruptives (45% sont très confiants), tandis que les cadres du secteur automobile sont les moins confiants (29% sont très confiants).
MÉTHODOLOGIE DU SONDAGE
Disruption Index 2021 est une enquête du cabinet de conseil international AlixPartners sur la perception des chefs d'entreprise à l'égard des forces de transformation du marché. L'enquête s’appuie sur des entretiens en ligne et par téléphone réalisés entre le 16 novembre 2020 et le 4 janvier 2021. Elle a été menée auprès de 3149 dirigeants aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Italie, en Suisse, en Chine et au Japon. Ils exercent dans les secteurs de l’aéronautique et de la défense, de l'automobile, des produits de consommation, des services financiers, des médias et du divertissement, de la grande distribution, des technologies, et des télécommunications. Tous les sondés sont âgés de 25 à 65 ans, ont le titre de directeur, ou plus, et travaillent dans une entreprise dont le chiffre d'affaires est supérieur à 50 millions de dollars.
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• Le cabinet de conseil international AlixPartners dévoile aujourd’hui les résultats de la première édition de son Disruption Index
• 3149 dirigeants d'entreprises (issus de 9 pays, dont la France, et 8 secteurs différents – cf méthodologie) ont été interrogés dans le cadre d'un sondage international
• Ils affirment que la concurrence, les nouvelles technologies, l'IA et la réglementation représentent des défis plus importants que le COVID-19 pour leur activité
• Moins de la moitié des dirigeants se disent très confiants dans leur capacité à résister à ces forces disruptives
Malgré l'impact universel du COVID-19, les chefs d'entreprises internationaux citent de nombreuses disruptions jugées plus impactantes pour leur entreprise que la pandémie. C’est ce qui ressort de la première édition du Disruption Index d’AlixPartners.
En effet, la concurrence accrue, les évolutions technologiques et réglementaires arrivent en tête de leurs préoccupations. Le rapport montre que les dirigeants se préparent à une nouvelle vague de disruptions post-pandémie.
"Les données montrent clairement que les dirigeants considèrent que le COVID-19, en dépit de ses effets majeurs, a globalement moins d'impact que les défis à plus long terme tels que l'automatisation ou les préoccupations environnementales. Les effets considérables de la pandémie que nous observons à l'échelle mondiale soulignent l’importance des forces de disruption dans le climat économique actuel. La disruption est clairement le nouveau catalyseur des cycles économiques", déclare Simon Freakley, CEO d'AlixPartners.
Rester lucide en plein chaos : le leadership en période de disruption
85% des dirigeants internationaux affirment que la disruption est le principal défi stratégique auquel sont confrontées les entreprises et la société dans son ensemble. Mais seuls 37% d'entre eux ont une profonde confiance dans leur capacité à y faire face. 51% des dirigeants craignent même de perdre leur emploi du fait des niveaux de disruption auxquels leur secteur est confronté. Malgré ces défis, 39% des dirigeants internationaux interrogés déclarent que leur entreprise est en meilleure posture aujourd'hui qu'il y a un an pour y faire face.
"2020 a été une année sous haute tension, avec de forts enjeux pour les entreprises, mais les dirigeants les plus performants ont été vigilants. En abordant ces nouvelles disruptions de front, ils ont propulsé leurs entreprises vers l'avant", explique Simon Freakley. "Les dirigeants qui parviennent à trouver des opportunités dans le chaos et la complexité génèrent et portent une vision proactive de leur modèle économique qui atténue et exploite les forces disruptives en cours."
Les dirigeants les plus performants considèrent les disruptions comme des opportunités pour leur entreprise. En développant et en cultivant cette approche au sein de leur organisation, ils en font un véritable outil de leadership. 52% de l'ensemble des dirigeants mondiaux pensent qu'un déficit de compétences rend leur organisation vulnérable aux disruptions. Plutôt que d'investir dans les nouvelles technologies - la principale stratégie citée par 53% des dirigeants -, beaucoup veulent en priorité changer la culture d'entreprise pour être plus agile face aux disruptions.
Simon Freakley ajoute : "Attirer les meilleurs talents est depuis longtemps une priorité pour les chefs d'entreprise. Un environnement économique fortement perturbé donne une nouvelle dimension à cette question, car relever le défi de la disruption exige non seulement de nouvelles compétences, mais aussi un changement d'état d'esprit. Les organisations qui adopteront les meilleurs outils numériques, associés à une agilité de pensée, une rapidité d'action et une concentration sans relâche sur l'exécution, ont le plus de chance de réussir."
Parmi les autres enseignements de l'enquête, citons :
- Les dirigeants qui réfléchissent constamment à l'impact des disruptions - sur leur entreprise, leurs employés, ou la sécurité de l’emploi - considèrent que leur entreprise se porte mieux aujourd'hui qu'il y a un an.
- 65% des dirigeants internationaux déclarent être fortement touchés par deux forces disruptives ou plus et, pour y répondre, ils prennent en moyenne trois ou quatre mesures phares. La réponse la plus régulièrement citée est l'investissement dans les nouvelles technologies.
- Les dirigeants en Chine (50%) et aux États-Unis (48%) sont parmi les plus confiants, tous marchés confondus, dans la capacité de leur entreprise à résister aux forces disruptives. Par comparaison, seulement 37% des dirigeants dans le monde sont très confiants. L'Italie (31%) et le Japon (24%) sont les pays où les dirigeants sont les moins confiants.
- Malgré cette année tumultueuse, les dirigeants du secteur de l’aéronautique et de la défense sont les plus confiants dans la capacité de leur entreprise à résister aux forces disruptives (45% sont très confiants), tandis que les cadres du secteur automobile sont les moins confiants (29% sont très confiants).
MÉTHODOLOGIE DU SONDAGE
Disruption Index 2021 est une enquête du cabinet de conseil international AlixPartners sur la perception des chefs d'entreprise à l'égard des forces de transformation du marché. L'enquête s’appuie sur des entretiens en ligne et par téléphone réalisés entre le 16 novembre 2020 et le 4 janvier 2021. Elle a été menée auprès de 3149 dirigeants aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Italie, en Suisse, en Chine et au Japon. Ils exercent dans les secteurs de l’aéronautique et de la défense, de l'automobile, des produits de consommation, des services financiers, des médias et du divertissement, de la grande distribution, des technologies, et des télécommunications. Tous les sondés sont âgés de 25 à 65 ans, ont le titre de directeur, ou plus, et travaillent dans une entreprise dont le chiffre d'affaires est supérieur à 50 millions de dollars.
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Laurent Leloup
Consultant senior blockchain des pôles Digital Finance Law et Financial Regulations chez Lexing Switzerland (avocats).
Entrepreneur, conférencier, auteur.
Membre d'honneur du Cercle Turgot et de la Security Token Academy.
"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
Extrait de Blockchain, la révolution de la confiance
Consultant senior blockchain des pôles Digital Finance Law et Financial Regulations chez Lexing Switzerland (avocats).
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