L'étude Ernst & Young "Meeting Today's Financial Challenges", permet d'identifier cinq catégories d’enjeux majeurs :
Renforcer la corporate governance
L’action des dirigeants pourrait être rendue plus efficace s’ils étaient challengés dans leur façon d’expliquer l’activité, si les schémas de rémunération étaient revus plus attentivement ou si la gestion du risque était mieux supervisée.
Les informations dont les membres du comité d’audit ont le plus besoin pour mener leur action efficacement concernent les principales tendances financières (34 %), les relations avec les investisseurs (31 %) et de l’information sur les nouveautés économiques et réglementaires (28 %).
Etre plus efficace en termes de risk management
Cela concerne les risques financiers (52%), stratégiques (42%) les risques liés à la conformité réglementaire (40 %) et les risques opérationnels (39 %). Une majorité (55 %) se dégage clairement pour répondre que les risques de fraude devraient augmenter au cours des prochaines années. À noter que 54 % des sociétés du panel considèrent les auditeurs externes comme une de leurs mesures anti-fraude.
Evaluer la stratégie de funding and liquidity
La gestion de la trésorerie et de l’endettement constitue la priorité numéro un pour 41% des directeurs financiers interviewés, loin devant la mise en place d’un reporting plus détaillé (16 %) ou les problématiques de juste valeur et de dépréciation d’actifs (11 %).
Anticiper l’impact de changements de réglementations et des règles comptables
Les domaines les plus couramment cités, dans lesquels un renforcement de la réglementation semble nécessaire, sont la gestion du risque (cité dans 35 % des cas), la gestion de la trésorerie et de l’endettement (30 % des cas) et les normes comptables et d’audit (20 % des cas).
Protéger la réputation financière
72 % des directeurs financiers interrogés expliquent que le contenu de leur reporting financier a changé afin d’inclure davantage d’informations sur les risques liés à leur activité, 53% citent la trésorerie et l’endettement et 49 % les aspects d’évaluation et de dépréciation d’actifs.
Laurent Leloup
Téléchargez l'enquête ci-dessous (PDF)
Renforcer la corporate governance
L’action des dirigeants pourrait être rendue plus efficace s’ils étaient challengés dans leur façon d’expliquer l’activité, si les schémas de rémunération étaient revus plus attentivement ou si la gestion du risque était mieux supervisée.
Les informations dont les membres du comité d’audit ont le plus besoin pour mener leur action efficacement concernent les principales tendances financières (34 %), les relations avec les investisseurs (31 %) et de l’information sur les nouveautés économiques et réglementaires (28 %).
Etre plus efficace en termes de risk management
Cela concerne les risques financiers (52%), stratégiques (42%) les risques liés à la conformité réglementaire (40 %) et les risques opérationnels (39 %). Une majorité (55 %) se dégage clairement pour répondre que les risques de fraude devraient augmenter au cours des prochaines années. À noter que 54 % des sociétés du panel considèrent les auditeurs externes comme une de leurs mesures anti-fraude.
Evaluer la stratégie de funding and liquidity
La gestion de la trésorerie et de l’endettement constitue la priorité numéro un pour 41% des directeurs financiers interviewés, loin devant la mise en place d’un reporting plus détaillé (16 %) ou les problématiques de juste valeur et de dépréciation d’actifs (11 %).
Anticiper l’impact de changements de réglementations et des règles comptables
Les domaines les plus couramment cités, dans lesquels un renforcement de la réglementation semble nécessaire, sont la gestion du risque (cité dans 35 % des cas), la gestion de la trésorerie et de l’endettement (30 % des cas) et les normes comptables et d’audit (20 % des cas).
Protéger la réputation financière
72 % des directeurs financiers interrogés expliquent que le contenu de leur reporting financier a changé afin d’inclure davantage d’informations sur les risques liés à leur activité, 53% citent la trésorerie et l’endettement et 49 % les aspects d’évaluation et de dépréciation d’actifs.
Laurent Leloup
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