Gérard Moulin
C’est la question qui devrait tarauder les gérants d’actions européennes : « Dans 5 ans, vais-je encore pouvoir constituer un portefeuille d’actions de droit européen de classe mondiale à l’heure où le dumping fiscal fait rage sur l’échiquier mondial ? ». Pourquoi se poser cette question ? Tout simplement parce que la voie est libre pour les pays les plus performants. En effet, voilà un domaine où il n’y aura jamais de chasse aux sorcières entre continents contrairement à ce qui se passe pour les paradis fiscaux.
Certes, des questions de différences de traitements intra-européens peuvent perdurer et créer des tensions en alimentant le débat « local » sur le dumping fiscal. Mais à l’échelle de la planète c’est un « non sujet » : on est bon ou on ne l’est pas.
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Lisez la suite dans finyear magazine d'avril 2013
Certes, des questions de différences de traitements intra-européens peuvent perdurer et créer des tensions en alimentant le débat « local » sur le dumping fiscal. Mais à l’échelle de la planète c’est un « non sujet » : on est bon ou on ne l’est pas.
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