Au-delà des personnes aisées, qui ont d'ailleurs déjà commencé à fuir l'Hexagone pour des raisons fiscales, le plus grave résidera dans l'augmentation des investissements des entreprises françaises à l'étranger, qui pourra même passer, notamment pour les plus grandes d'entre elles, par une délocalisation des sièges sociaux. D'où des créations d'emplois encore plus faibles, avec à la clé moins de croissance et de pouvoir d'achat.
Dès lors, l'assiette fiscale sera réduite d'où une baisse des recettes de l'Etat, alors qu'il faudra justement financer l'accroissement des dépenses publiques promises dans le cadre de la campagne électorale. Les « dindons de la farce » seront donc ceux qui restent, c'est-à-dire les moins favorisés, qui verront encore leurs revenus amputer par une pression fiscale trop forte.
Autrement dit, au-delà de casser la croissance et d'aggraver la méfiance des Français et des
investisseurs étrangers à l'égard des dirigeants hexagonaux, augmenter les impôts constituerait également une mesure hautement inégalitaire.
Dès lors, l'assiette fiscale sera réduite d'où une baisse des recettes de l'Etat, alors qu'il faudra justement financer l'accroissement des dépenses publiques promises dans le cadre de la campagne électorale. Les « dindons de la farce » seront donc ceux qui restent, c'est-à-dire les moins favorisés, qui verront encore leurs revenus amputer par une pression fiscale trop forte.
Autrement dit, au-delà de casser la croissance et d'aggraver la méfiance des Français et des
investisseurs étrangers à l'égard des dirigeants hexagonaux, augmenter les impôts constituerait également une mesure hautement inégalitaire.