« 2023 sera une année cruciale pour le monde du web et ses acteurs incontournables, Coinhouse va continuer de développer et de mettre à disposition des solutions facilitant l’accès au Web3. Notre volonté est de donner la clé d’entrée de l’écosystème Web3 que ce soit pour les professionnels ou les particuliers avec nos produits innovants » relate Nicolas Louvet.
Le CEO de Coinhouse a profité de la présentation du premier cahier de tendances de l’entreprise sur l’univers des Tokens, pour réaffirmer la place de pionner/évangélisateur qu’a toujours eu son entreprise autrefois baptisée « la maison du bitcoin ». Première plateforme crypto française à être enregistrée en tant que PSAN auprès de l’AMF – Prestataire de services en actifs numériques – elle fut aussi la première à accueillir physiquement ses clients. « Nous avons toujours accompagné à la compréhension des cryptos et à la sécurisation des utilisateurs ».
Chahuté dernièrement par le tsunami FTX et ses contreparties comme Genesis, le dirigeant rappelle sa volonté d’obtenir l’agrément MICA dès qu’il sera en vigueur.
« Nous sommes référencés auprès de l’AMF mais aujourd’hui le système français ne bloque pas les acteurs non-enregistrés à faire de la pub sur Internet ou à promouvoir des investissements frauduleux. (...) Via MICA (future régulation européenne des crypto: Markets in crypto-Assets) , on peut espérer une homogénéisation des normes et des sanctions au moins dans la zone euro. »
Fort de sa place de pionnier, Coinhouse affiche sa volonté d’accompagner les entreprises et autres grands comptes dans leur intégration du web3 « Face aux nouvelles technologies (Web, Métavers, Crypto-monnaies…), les financiers font face à un nouvel enjeu : la cohabitation de monnaies numériques et traditionnelles. Bien que les crypto-monnaies ne soient pas nouvelles, leur utilisation en entreprise l’est. C’est entre autres là que nous pouvons apporter notre expertise. » commente Nicolas Louvet. Ces deux dernières années, Coinhouse a accompagné 18 grands comptes (dont de nombreuses sociétés du CAC40) à acquérir et conserver un land ou même des NFT dans The Sandbox et/ou Decentraland.
Le CEO de Coinhouse a profité de la présentation du premier cahier de tendances de l’entreprise sur l’univers des Tokens, pour réaffirmer la place de pionner/évangélisateur qu’a toujours eu son entreprise autrefois baptisée « la maison du bitcoin ». Première plateforme crypto française à être enregistrée en tant que PSAN auprès de l’AMF – Prestataire de services en actifs numériques – elle fut aussi la première à accueillir physiquement ses clients. « Nous avons toujours accompagné à la compréhension des cryptos et à la sécurisation des utilisateurs ».
Chahuté dernièrement par le tsunami FTX et ses contreparties comme Genesis, le dirigeant rappelle sa volonté d’obtenir l’agrément MICA dès qu’il sera en vigueur.
« Nous sommes référencés auprès de l’AMF mais aujourd’hui le système français ne bloque pas les acteurs non-enregistrés à faire de la pub sur Internet ou à promouvoir des investissements frauduleux. (...) Via MICA (future régulation européenne des crypto: Markets in crypto-Assets) , on peut espérer une homogénéisation des normes et des sanctions au moins dans la zone euro. »
Fort de sa place de pionnier, Coinhouse affiche sa volonté d’accompagner les entreprises et autres grands comptes dans leur intégration du web3 « Face aux nouvelles technologies (Web, Métavers, Crypto-monnaies…), les financiers font face à un nouvel enjeu : la cohabitation de monnaies numériques et traditionnelles. Bien que les crypto-monnaies ne soient pas nouvelles, leur utilisation en entreprise l’est. C’est entre autres là que nous pouvons apporter notre expertise. » commente Nicolas Louvet. Ces deux dernières années, Coinhouse a accompagné 18 grands comptes (dont de nombreuses sociétés du CAC40) à acquérir et conserver un land ou même des NFT dans The Sandbox et/ou Decentraland.
Au-delà de la gamification, la nécessité de créer de nouvelles interactions
Et à propos de futur, Coinhouse prédit notamment l’avènement d’une nouvelle ère pour les réseaux sociaux.
« Qui utilise encore Facebook aujourd’hui ? Sourit Nicolas Louvet. Et Instagram qui dit qu’Instagram va garder sa prédominance. Tout va tellement vite ».
Aussi les « singes du web3 » ne seraient pas plus ridicules que les « Lol cat » d’Instagram. Le metaverse permettrait une interaction directe avec une personnalisation de l’expérience. Le développement des communautés dans le web3 – au-delà des gamers – permettrait l’extension des usages. « Il y a déjà l’immobilier où le WEB3 permet des visites en immersion d’appartements achetés sur plan (…) ».
Les mondes du luxe, du sport, de la culture ont déjà commencé à immerger une partie de leurs adeptes dans leurs univers virtuels. Leur objectif ? Aller au-delà de la simple transposition de leur marque ou de leur boutique dans un monde virtuel. « C’est un nouvel enjeu pour 2023 : créer des interactions inédites entre clients et marques au travers du web3 ».
Pour prouver son utilité au-delà de la simple « gamification » du quotidien le WEB3 se doit de montrer ses vertus. Et le carnet de tendances 23 de Coinhouse ne manque pas d’exemples sur le sujet.
« On peut donc imaginer dans un future proche, le développement d’espaces virtuels dédiés à l’étude du réchauffement climatique, ou à l’organisation de grands rassemblements internationaux comme la Cop28, ce qui évitera l’utilisation massive de jets privés » A noter que plus de 300 jets auraient atterri en 2022 en Égypte lors de COP27…
Un Web3 qui permet aussi d’offrir un environnement plus « métaccessible » aux personnes en situation de handicap…
Rappelons qu’il y a quelques semaines Coinhouse annonçait un partenariat avec The Sandbox afin de faciliter les premiers pas des marques dans le métaverse. Côté particuliers, l’ex-Maison du Bitcoin a aussi dévoilé la mise en place de l’achat récurrent ou DCA. Lire ICI
Anne-Laure Allain
« Qui utilise encore Facebook aujourd’hui ? Sourit Nicolas Louvet. Et Instagram qui dit qu’Instagram va garder sa prédominance. Tout va tellement vite ».
Aussi les « singes du web3 » ne seraient pas plus ridicules que les « Lol cat » d’Instagram. Le metaverse permettrait une interaction directe avec une personnalisation de l’expérience. Le développement des communautés dans le web3 – au-delà des gamers – permettrait l’extension des usages. « Il y a déjà l’immobilier où le WEB3 permet des visites en immersion d’appartements achetés sur plan (…) ».
Les mondes du luxe, du sport, de la culture ont déjà commencé à immerger une partie de leurs adeptes dans leurs univers virtuels. Leur objectif ? Aller au-delà de la simple transposition de leur marque ou de leur boutique dans un monde virtuel. « C’est un nouvel enjeu pour 2023 : créer des interactions inédites entre clients et marques au travers du web3 ».
Pour prouver son utilité au-delà de la simple « gamification » du quotidien le WEB3 se doit de montrer ses vertus. Et le carnet de tendances 23 de Coinhouse ne manque pas d’exemples sur le sujet.
« On peut donc imaginer dans un future proche, le développement d’espaces virtuels dédiés à l’étude du réchauffement climatique, ou à l’organisation de grands rassemblements internationaux comme la Cop28, ce qui évitera l’utilisation massive de jets privés » A noter que plus de 300 jets auraient atterri en 2022 en Égypte lors de COP27…
Un Web3 qui permet aussi d’offrir un environnement plus « métaccessible » aux personnes en situation de handicap…
Rappelons qu’il y a quelques semaines Coinhouse annonçait un partenariat avec The Sandbox afin de faciliter les premiers pas des marques dans le métaverse. Côté particuliers, l’ex-Maison du Bitcoin a aussi dévoilé la mise en place de l’achat récurrent ou DCA. Lire ICI
Anne-Laure Allain
Et aussi
Autres articles
-
Tokénisation des actifs financiers : une première émission de 100 millions d'obligations réalisée en France
-
Token For Good Summit : 3 questions à... Emilie-Alice Fabrizi, The Good Token Society
-
Paiements/ Fintechs : les 8 tendances de cette rentrée selon BNP Paribas
-
Brickken, sélectionnée pour participer à l'European Blockchain Sandbox
-
Securitize, un tour de table à 47 millions de dollars mené par BlackRock