MARKETS by ETX Capital and RATINGS by Thomson Reuters (http://www.analystratings.net)
09:00 AM
European equity markets are trading little changed this morning as weak stock markets throughout Asia caused by very disappointing Japanese industrial production figures and ongoing worries about the Chinese economy preventing stocks from staging a rebound after yesterday’s hefty losses. Spotlight this morning will be on Euro-zone unemployment data with no improvement expected and staying close to a record high. Coinciding with the summer coming slowly to an end more clouds are also becoming visible on the financial horizon, with unconfirmed reports that Bundesbank Chief Weidmann was close to resigning highlighting the ongoing differences in opinions between the Bundesbank and the ECB what buying periphery bonds is concerned not necessarily pointing towards unity and strength. Furthermore rating agency Moodys announced that they are considering downgrading Spain again, with a decision most likely due in September and there are increasingly speculations that Euro-zone growth will continue to be weak in 2013 with still no major recovery in sight as austerity measures are continuing to bite. In the afternoon there are plenty of US data scheduled for release with factory orders expected to post a sharp rebound after last month’s decline and the Chicago PMI only showing little change, spotlight however will clearly take the anxiously awaited opening speech of the Jackson Hole symposium by Fed Chief Bernanke. It is questionable if the Fed Chief indeed will be able to deliver not only are expectations high and to a huge degree already priced into the markets that some kind of stimulus will be announced but also the stimulus whatever it might be will also have enough punch to really make a difference and give the economy a leg up on the way to a stronger recovery.
Markus Huber - Head of German HNW Trading - ETX Capital - www.etxcapital.com
09:30 AM
Une rentrée boursière très indécise
En l’absence de bonne nouvelle macroéconomique, le principal risque pour les marchés est que les investisseurs soient déçus par la timidité de la réponse des banques centrales à leurs attentes.
Finalement, cet été n’aura pas été le cauchemar redouté, sur les marchés. L’inflexion perçue dans le discours des grandes banques centrales semble avoir convaincu les investisseurs de la volonté des autorités monétaires à travers le monde d’œuvrer à une sortie de crise, provoquant un recul général de l’aversion au risque. Rappel des faits. En l’absence d’un découplage des zones émergentes, dont la théorie n’aura pas résisté à l’aggravation de la crise en Europe, les autorités chinoises ont ouvert la porte à la mise en place d’une politique monétaire plus expansionniste. Récemment publiées, les minutes du dernier FOMC ont laissé entendre qu’un nouveau plan d’assouplissement quantitatif (QE3) était possible aux Etats-Unis à court terme. Enfin, Mario Draghi a ostensiblement évoqué la possibilité d’acheter des quantités de titres d’Etat suffisamment importantes pour que le rendement des dettes publiques de la zone revienne à des niveaux économiquement plus soutenables.
Avec un rebond de presque 15% du CAC40 en à peine un mois, la réponse des investisseurs a été à la hauteur des espoirs placés dans ce changement de discours des banques centrales. Mais ces attentes sont aussi une faiblesse, pour les marchés. Car si elles ont immunisé les marchés à l’égard des mauvaises nouvelles par leurs seules paroles, les autorités monétaires risquent bien de doucher ces mêmes espoirs si leur réponse effective se révèle trop timide, au risque de provoquer un brutal retour de balancier. Car en réalité, ce changement sémantique dans les propos des banques centrales sont bien la seule bonne nouvelle, pour les investisseurs. Pour le reste, la situation reste plus que jamais critique. En dehors d’une légère embellie du marché immobilier américain (augmentation des prix depuis cinq mois d’affilée, selon la dernière enquête Case Schiller), la plupart des indicateurs macroéconomiques mondiaux ne prête pas à l’optimisme. Prenons l’Europe. Après la Grèce (-6,2% en glissement annuel au T2) et l’Espagne (-1%), l’Italie et les Pays-Bas sont à leur tour entrés en récession au deuxième trimestre. Quant à la France, la résistance annoncée de son PIB pourrait ne pas résister aux prochaines révisions d’estimation. Et ce n’est pas terminé. Les derniers indicateurs PMI des directeurs d’achats européens présagent d’une nouvelle contraction de l’activité au troisième trimestre.
Et maintenant ? S’ils applaudissent aux paroles délibérément apaisantes des banquiers centraux, les investisseurs exigent des actes. Et c’est bien là que réside le problème. Car justement, ces mêmes banquiers centraux ne sont pas pressés de passer à l’acte. Conscients qu’ils ne disposent que d’un fusil à un coup et échaudés par les conséquences économiques jusqu’ici décevantes de leurs actions précédentes (les deux premiers QE de la Fed ont eu un impact marginal sur la croissance américaine et les plans de refinancement à 3 ans du secteur bancaire européen par la BCE est loin d’avoir restauré la confiance sur le marché interbancaire), ils risquent de chercher à gagner du temps en se contentant de manier le verbe. Historiquement propice à l’annonce de mesures importantes, la réunion de Jackson Hole qui s’annonce pourrait dans ces conditions accoucher d’une souris. Quant à la prochaine réunion de la BCE, prévue jeudi prochain, elle ne devrait pas se solder par des annonces significatives.
L’évolution des marchés est donc prise en étau. D’un côté, le changement de tonalité des propos, désormais plus conciliants, des banques centrales a atténué les risques extrêmes. De l’autre côté, le peu d’enthousiasme qui se manifestera pour transformer ces paroles en actes et les fortes attentes placées dans les décisions politiques devraient obérer toute poursuite du rebond. En conséquence, les marchés devraient osciller en cette rentrée sans réelle tendance, au gré des effets d’annonces politiques et des accès d’inquiétudes. Du côté des actions, la sélectivité continuera de s’imposer. Faute de visibilité sur l’agenda politique et sur une inflexion de la croissance, seules les valeurs disposant d’un fort pricing power garderont les moyens de performer durablement, la faible valorisation des valeurs plus chahutées (banques, PSA…) ne constituant pas une raison suffisante pour se réexposer durablement.
Cette Tribune est signée Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France
09:45 AM
Apple vs Samsung
Stuart O’Gorman gérant du Henderson Horizon Global Technology Fund, revient sur l’affaire opposant Apple à Samsung au sujet de la violation des brevets.
La victoire d’Apple marque un tournant important dans la bataille entre Apple et la plateforme Android.
Le 24 août dernier, le tribunal californien de San José a rendu son verdict sur la violation présumée de 7 brevets portant notamment sur la technologie d’écran tactile multi-points, l’interface graphique, ainsi que sur l’aspect extérieur et le mode de fonctionnement des appareils. Le jury s’est prononcé en faveur d’Apple sur 6 des 7 brevets et a débouté toutes les demandes reconventionnelles de Samsung (portant sur 5 brevets). Samsung est donc condamné à payer un montant minimum de 1.05 milliards de dollars US de dommages et il est fort probable qu’Apple dépose des demandes d’injonctions pour empêcher la vente de plusieurs produits Samsung aux Etats-Unis.
Bien qu’il s’agisse là d’une victoire décisive pour Apple, nous ne devrions pas constater de changements notables à court terme. Tout d’abord, la décision ne s’applique qu’aux Etats-Unis, pays où la part de marché d’Apple est déjà très importante. De plus, les éventuelles demandes d’injonctions ne concernent pas, à l’heure actuelle, les derniers produits de Samsung, dont notamment ceux réalisant les meilleures ventes tels que le Galaxy S3 et Note. Enfin, Samsung devrait faire appel de la décision et il devrait s’ensuivre des mois, voire des années, de bataille judiciaire.
Sur le long terme en revanche, il se pourrait que les retombées soient beaucoup plus importantes que prévues car cette décision donne un avantage significatif à Apple. Les batailles judiciaires à venir devraient avoir un impact considérable par le futur et il est par conséquent extrêmement difficile d’effectuer des prévisions stables. Le scénario le plus négatif, mais également le moins probable, entraînerait une altération liée à l’utilisation de l’interface Android. Les brevets d’Apple tels que le zoom par pincement, s’il venait à être interdit, affecterait de façon significative l’utilisation des terminaux. Il semble toutefois plus probable que Samsung et les autres fabricants de tablettes Android finissent par devoir payer à Apple des redevances pour chaque produit vendu et/ou devoir mettre l’accent sur la recherche de solutions de rechange pour les violations de brevets concernés.
Bien que ces prévisions ne soient que pure spéculation, il semble fort probable que l’on assiste à une hausse des coûts associée au développement de la plateforme Android suite à la mise en place de solutions de rechange et/ou du paiement des redevances et ceci ne pourra être que bénéfique pour Apple.
Apple semble donc être le grand gagnant au détriment des sociétés Android telles que Google, Samsung, HTC ; les sociétés plus en ligne avec Microsoft, Nokia par exemple, pouvant de leur côté potentiellement bénéficier de la situation. Nous avons cependant décidé de n’effectuer aucun changement quant au positionnement du fonds. Les conséquences matérielles, relativement faibles dans l’immédiat et l’impact à long terme de cette décision demeurent plutôt floues. Apple reste notre principale position et nous restons surpondérés sur Samsung, Google et Microsoft. Les événements survenus récemment n’affectent pas notre scenario à long terme qui prévoit que Samsung et Apple continueront de gagner des parts de marché au détriment d’autres sociétés plus faibles du marché de l’électronique grand public.
Stuart O’GORMAN est le gérant du fonds Henderson Horizon Global Technology Fund dont les encours s’élèvent à US$ 1,74 milliards au 31 juillet 2012.
STATISTICS of the day
FRANCE
Les défaillances d’entreprises en baisse en mars 2012 (-2,2 %)
Défaillances d’entreprises - Jugements d'ouverture de procédure rendus en mars 2012 (annonces publiées jusqu'en juin 2012)
Les défaillances d'entreprises jugées au cours du mois de mars 2012 sont en baisse par rapport au mois de février 2012 (-2,2 %), en données corrigées des variations saisonnières (CVS) et du nombre de jours ouvrables (CJO).
Le nombre de défaillances jugées au cours du premier trimestre 2012 est en baisse par rapport au premier trimestre 2011 (-1,6 %).
EUROPE
Août 2012: enquête auprès des entreprises et des consommateurs
30/08/2012 - Economie, finances, impôts et concurrence
Au mois d'août, l'indice du sentiment économique (ISE) a sensiblement diminué de 2.0 à 87.0 points dans l'UE, et de 1.8 à 86.1 points dans la zone euro. L'indicateur du climat des affaires (ICA) de la zone euro est passé de 0.06 à -1.21 points.
CANADA
Balance des paiements internationaux du Canada, deuxième trimestre de 2012
Le déficit du compte courant du Canada (en chiffres désaisonnalisés) s'est accru de 5,9 milliards de dollars pour atteindre 16,0 milliards de dollars au deuxième trimestre, surtout en raison de la baisse des exportations et de la hausse des importations de biens. Dans le compte capital et financier (en chiffres non désaisonnalisés), les fonds ont continué d'affluer dans l'économie canadienne, surtout sous l'effet d'achats de titres d'emprunt des administrations publiques au deuxième trimestre.
Canada's balance of international payments, second quarter 2012
Canada's current account deficit (on a seasonally adjusted basis) expanded $5.9 billion to $16.0 billion in the second quarter, mainly on lower exports and higher imports of goods. In the capital and financial account (unadjusted for seasonal variation), funds continued to flow into the Canadian economy, led in the second quarter by purchases of government debt securities.
CANADA
Emploi, rémunération et heures de travail, juin 2012
La rémunération hebdomadaire moyenne des employés salariés non agricoles s'est établie à 898,00 $ en juin, en hausse de 0,6 % par rapport au mois précédent. D'une année à l'autre, la rémunération a augmenté de 3,0 %.
Payroll employment, earnings and hours, June 2012
Average weekly earnings of non-farm payroll employees were $898.00 in June, up 0.6% from the previous month. On a year-over-year basis, earnings increased 3.0%.
GERMANY
Retail turnover in Germany in July 2012: –1.0% in real terms on July 2011
Turnover in retail trade
According to provisional results of the Federal Statistical Office (Destatis), retail turnover in July 2012 in Germany increased 1.1% in nominal terms and decreased 1.0% in real terms compared with the corresponding month of the previous year. The number of days open for sale was 26 in July 2012 and 26 in July 2011, too.
GERMANY
Many pay settlements of 3.5% or more in the first half of 2012
In the first half of 2012, the parties to collective agreements agreed on pay rises of 3.5% or more for many economic branches. Apart from that, many pay rises became effective in that period which had been agreed in the preceding years. The Federal Statistical Office (Destatis) also reports, however, that most of those pay rises were lower.
SUISSE
Statistique de la production, des commandes et des chiffres d'affaires de la construction au 2e trimestre 2012
Baisse de la production dans la construction en Suisse
Selon les résultats provisoires de l'Office fédéral de la statistique (OFS), la production dans la construction a reculé de 0,5% au 2e trimestre 2012 par rapport au même trimestre de l'année précédente. Les chiffres d'affaires sont par contre restés inchangés.
FRANCE
Les défaillances d’entreprises en baisse en mars 2012 (-2,2 %)
Défaillances d’entreprises - Jugements d'ouverture de procédure rendus en mars 2012 (annonces publiées jusqu'en juin 2012)
Les défaillances d'entreprises jugées au cours du mois de mars 2012 sont en baisse par rapport au mois de février 2012 (-2,2 %), en données corrigées des variations saisonnières (CVS) et du nombre de jours ouvrables (CJO).
Le nombre de défaillances jugées au cours du premier trimestre 2012 est en baisse par rapport au premier trimestre 2011 (-1,6 %).
EUROPE
Août 2012: enquête auprès des entreprises et des consommateurs
30/08/2012 - Economie, finances, impôts et concurrence
Au mois d'août, l'indice du sentiment économique (ISE) a sensiblement diminué de 2.0 à 87.0 points dans l'UE, et de 1.8 à 86.1 points dans la zone euro. L'indicateur du climat des affaires (ICA) de la zone euro est passé de 0.06 à -1.21 points.
CANADA
Balance des paiements internationaux du Canada, deuxième trimestre de 2012
Le déficit du compte courant du Canada (en chiffres désaisonnalisés) s'est accru de 5,9 milliards de dollars pour atteindre 16,0 milliards de dollars au deuxième trimestre, surtout en raison de la baisse des exportations et de la hausse des importations de biens. Dans le compte capital et financier (en chiffres non désaisonnalisés), les fonds ont continué d'affluer dans l'économie canadienne, surtout sous l'effet d'achats de titres d'emprunt des administrations publiques au deuxième trimestre.
Canada's balance of international payments, second quarter 2012
Canada's current account deficit (on a seasonally adjusted basis) expanded $5.9 billion to $16.0 billion in the second quarter, mainly on lower exports and higher imports of goods. In the capital and financial account (unadjusted for seasonal variation), funds continued to flow into the Canadian economy, led in the second quarter by purchases of government debt securities.
CANADA
Emploi, rémunération et heures de travail, juin 2012
La rémunération hebdomadaire moyenne des employés salariés non agricoles s'est établie à 898,00 $ en juin, en hausse de 0,6 % par rapport au mois précédent. D'une année à l'autre, la rémunération a augmenté de 3,0 %.
Payroll employment, earnings and hours, June 2012
Average weekly earnings of non-farm payroll employees were $898.00 in June, up 0.6% from the previous month. On a year-over-year basis, earnings increased 3.0%.
GERMANY
Retail turnover in Germany in July 2012: –1.0% in real terms on July 2011
Turnover in retail trade
According to provisional results of the Federal Statistical Office (Destatis), retail turnover in July 2012 in Germany increased 1.1% in nominal terms and decreased 1.0% in real terms compared with the corresponding month of the previous year. The number of days open for sale was 26 in July 2012 and 26 in July 2011, too.
GERMANY
Many pay settlements of 3.5% or more in the first half of 2012
In the first half of 2012, the parties to collective agreements agreed on pay rises of 3.5% or more for many economic branches. Apart from that, many pay rises became effective in that period which had been agreed in the preceding years. The Federal Statistical Office (Destatis) also reports, however, that most of those pay rises were lower.
SUISSE
Statistique de la production, des commandes et des chiffres d'affaires de la construction au 2e trimestre 2012
Baisse de la production dans la construction en Suisse
Selon les résultats provisoires de l'Office fédéral de la statistique (OFS), la production dans la construction a reculé de 0,5% au 2e trimestre 2012 par rapport au même trimestre de l'année précédente. Les chiffres d'affaires sont par contre restés inchangés.
RATES
Tableau de bord financier - Financial Dashboard
Cotations, indices et taux. Mise à jour quotidienne par Finyear.
Quotations, indices and rates. Updated daily by Finyear.
Link : http://www.finyear.com/Tableau-de-bord-financier-Financial-Dashboard_a15066.html
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