L’étude « Work Happy » du cabinet international de recrutement spécialisé Robert Half révèle que les collaborateurs qui travaillent dans des entreprises de plus de 1 000 personnes sont moins épanouis, avec un pic chez les collaborateurs travaillant dans des entreprises de plus de 10 000 personnes. Alors, que peuvent apprendre les grandes entreprises des PME et des ETI pour favoriser le bien-être sur le lieu de travail ?
Les PME et ETI sont une part importante de toute économie. Elles constituent l'épine dorsale de l’économie européenne et représentent souvent les aspects les plus inspirants du métier, à savoir servir les besoins locaux, stimuler l’innovation et être une source importante d’emplois dans le secteur privé.
En France, les collaborateurs les plus heureux travaillent dans des petites ETI (250-999 salariés), avec un score de 66,1 sur 100, les PME enregistrent 64,5. Les moins heureux travaillent dans des entreprises de plus de 10 000 salariés, avec un score de 59,9 seulement. Les PME et petites ETI peuvent également servir de modèles aux plus grandes entreprises, qui cherchent à augmenter le niveau de bonheur de leurs salariés et récolter les avantages qui en découlent.
Voici les atouts plébiscités par les salariés français des PME et ETI
• Liberté et agilité
Les PME et petites ETI ont des canaux de communication beaucoup plus courts que ceux, plus complexes, des grandes organisations. Avec moins de bureaucratie et de strates hiérarchiques, les salariés ont plus d’opportunités d'opérer avec un sentiment d'autonomie. Pour cette raison, les équipes de management dans les PME et petites ETI ont tendance à offrir un mentorat informel, en donnant des conseils et un encadrement plutôt qu’en imposant des règles pures et dures sur l’activité. Lorsque des entreprises offrent un accompagnement sans restriction, les salariés sont en mesure d'accomplir leur travail au mieux. Des choses simples, comme assumer de nouvelles responsabilités ou essayer de nouvelles approches de management, permettent aux salariés de se sentir responsabilisés, d’augmenter leur confiance en eux et leur potentiel.
• Responsabilisation et création
La nature des PME et petites ETI implique que toute contribution individuelle a le potentiel de faire une différence immédiate et perceptible. Ce type d’entreprise compte sur leurs salariés pour proposer de nouvelles idées et stimuler la croissance. Les entreprises pourvues d’équipes de management qui communiquent clairement sur la situation globale et valorisent l’impact de ses équipes susciteront un sentiment de fierté.
• Valorisation
Les salariés ont un désir inhérent de se sentir appréciés pour leur travail et leur dévouement envers une entreprise. Les PME et petites ETI ont tendance à mieux reconnaître les réalisations individuelles des salariés et leurs investissements personnels dans la réussite, ce qui est important pour s’assurer que les salariés se sentent estimés.
• Fierté
Travailler pour une PME/petite ETI permet aux salariés de sentir qu’ils contribuent plus directement à l’objectif global de l’entreprise, surtout quand ils accomplissent quelque chose qui soutient directement le succès. En créant une continuité entre la vision et les valeurs de la direction et celles des salariés, les entreprises peuvent s’assurer d’avoir des collaborateurs fiers et engagés.
Les grandes entreprises estiment, parfois à tort, que le confort qu’il offre avec des avantages sociaux et des budgets conséquents alimentent le bien-être au travail, pourtant, les éléments qui facilitent le travail ne sont pas forcément constitutifs de « bonheur » au travail.
Dans de petits environnements, il peut être plus aisé d'être témoin de grandes victoires et de savoir à quel point la contribution de chacun a été percutante. Cela favorise les sentiments de fierté, de responsabilité et d'appropriation, éléments clés pour des équipes compétentes.
« Les grandes entreprises peuvent par exemple veiller à ce que les équipes seniors soient plus attentives et écoutent activement quand elles échangent avec leurs équipes », déclare Greg Scileppi*, President of International Staffing Operations, Robert Half International. « A l’instar des PME et petites ETI, les grandes entreprises peuvent agir et réagir, en consacrant plus de temps à l’amélioration des relations internes entre la direction et les salariés, pour provoquer un changement significatif dans la façon dont leurs salariés s’impliquent au quotidien. »
* Greg Scileppi a plus de 25 ans d'expérience au sein de Robert Half International. Pendant 13 ans, il a dirigé la croissance et l'expansion internationale de l’organisation au Royaume-Uni, en Europe, au Moyen-Orient, en Asie-Pacifique et en Amérique du Sud. Il détient un diplôme en administration des affaires du St. Michaels College à Winooski Park, dans le Vermont.
Les PME et ETI sont une part importante de toute économie. Elles constituent l'épine dorsale de l’économie européenne et représentent souvent les aspects les plus inspirants du métier, à savoir servir les besoins locaux, stimuler l’innovation et être une source importante d’emplois dans le secteur privé.
En France, les collaborateurs les plus heureux travaillent dans des petites ETI (250-999 salariés), avec un score de 66,1 sur 100, les PME enregistrent 64,5. Les moins heureux travaillent dans des entreprises de plus de 10 000 salariés, avec un score de 59,9 seulement. Les PME et petites ETI peuvent également servir de modèles aux plus grandes entreprises, qui cherchent à augmenter le niveau de bonheur de leurs salariés et récolter les avantages qui en découlent.
Voici les atouts plébiscités par les salariés français des PME et ETI
• Liberté et agilité
Les PME et petites ETI ont des canaux de communication beaucoup plus courts que ceux, plus complexes, des grandes organisations. Avec moins de bureaucratie et de strates hiérarchiques, les salariés ont plus d’opportunités d'opérer avec un sentiment d'autonomie. Pour cette raison, les équipes de management dans les PME et petites ETI ont tendance à offrir un mentorat informel, en donnant des conseils et un encadrement plutôt qu’en imposant des règles pures et dures sur l’activité. Lorsque des entreprises offrent un accompagnement sans restriction, les salariés sont en mesure d'accomplir leur travail au mieux. Des choses simples, comme assumer de nouvelles responsabilités ou essayer de nouvelles approches de management, permettent aux salariés de se sentir responsabilisés, d’augmenter leur confiance en eux et leur potentiel.
• Responsabilisation et création
La nature des PME et petites ETI implique que toute contribution individuelle a le potentiel de faire une différence immédiate et perceptible. Ce type d’entreprise compte sur leurs salariés pour proposer de nouvelles idées et stimuler la croissance. Les entreprises pourvues d’équipes de management qui communiquent clairement sur la situation globale et valorisent l’impact de ses équipes susciteront un sentiment de fierté.
• Valorisation
Les salariés ont un désir inhérent de se sentir appréciés pour leur travail et leur dévouement envers une entreprise. Les PME et petites ETI ont tendance à mieux reconnaître les réalisations individuelles des salariés et leurs investissements personnels dans la réussite, ce qui est important pour s’assurer que les salariés se sentent estimés.
• Fierté
Travailler pour une PME/petite ETI permet aux salariés de sentir qu’ils contribuent plus directement à l’objectif global de l’entreprise, surtout quand ils accomplissent quelque chose qui soutient directement le succès. En créant une continuité entre la vision et les valeurs de la direction et celles des salariés, les entreprises peuvent s’assurer d’avoir des collaborateurs fiers et engagés.
Les grandes entreprises estiment, parfois à tort, que le confort qu’il offre avec des avantages sociaux et des budgets conséquents alimentent le bien-être au travail, pourtant, les éléments qui facilitent le travail ne sont pas forcément constitutifs de « bonheur » au travail.
Dans de petits environnements, il peut être plus aisé d'être témoin de grandes victoires et de savoir à quel point la contribution de chacun a été percutante. Cela favorise les sentiments de fierté, de responsabilité et d'appropriation, éléments clés pour des équipes compétentes.
« Les grandes entreprises peuvent par exemple veiller à ce que les équipes seniors soient plus attentives et écoutent activement quand elles échangent avec leurs équipes », déclare Greg Scileppi*, President of International Staffing Operations, Robert Half International. « A l’instar des PME et petites ETI, les grandes entreprises peuvent agir et réagir, en consacrant plus de temps à l’amélioration des relations internes entre la direction et les salariés, pour provoquer un changement significatif dans la façon dont leurs salariés s’impliquent au quotidien. »
* Greg Scileppi a plus de 25 ans d'expérience au sein de Robert Half International. Pendant 13 ans, il a dirigé la croissance et l'expansion internationale de l’organisation au Royaume-Uni, en Europe, au Moyen-Orient, en Asie-Pacifique et en Amérique du Sud. Il détient un diplôme en administration des affaires du St. Michaels College à Winooski Park, dans le Vermont.
Laurent Leloup
Fondateur & directeur des publications Finyear & Blockchain Daily News,
Auteur de "Blockchain, la révolution de la confiance"
CEO Chaineum (ICO Advisor, ICO Organizer)
Membre d'honneur du Cercle TURGOT.
Fondateur & directeur des publications Finyear & Blockchain Daily News,
Auteur de "Blockchain, la révolution de la confiance"
CEO Chaineum (ICO Advisor, ICO Organizer)
Membre d'honneur du Cercle TURGOT.
Les médias du groupe Finyear
Lisez gratuitement :
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 4 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 4 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer
Autres articles
-
Bleap, le nouveau projet de compte bancaire blockchain, lève 2,3 millions de dollars
-
Bangk, une ICO pour un projet de néobanque éthique et décentralisée
-
Crypto : Les grands magasins Printemps en partenariat avec Binance Pay et Lyzi pour accepter les paiements en cryptomonnaie
-
Quelles sont les règles concernant le rachat d'un PER ?
-
Freqens : 3 millions pour la fintech afin de peaufiner sa plateforme de benchmarking des prix B2B