En un mot, quoiqu’il arrive, l’imagination doit prendre et prendra le pouvoir. Nous vivons une époque particulièrement favorable au retour de la pensée ; et pour que cette pensée soit traduite en acte, les DAF devront aller plus lion que Schumpeter…qui se souciait peu de savoir comment, la destruction créatrice serait mise en œuvre.
Or la différence entre les économistes et les DAF est que les premiers doivent être conceptuels, quand les seconds ont la nécessité impérieuse d’agir et de savoir « vendre et mettre en place les idées » respectivement à leur comité de direction et aux représentants des collaborateurs de l’entreprise.
A ce titre, nous sommes loin de la « simple » capacité à mettre en œuvre un ERP. Il s’agit ici de proposer un programme de changement de Savoir-Faire original applicable à l’entreprise. Et comme le courage des dirigeants est souvent décuplé…lorsque l’un des leurs s’est « mouillé » les DAF vont devoir montrer l’exemple.
Il s’agit ici, non pas de faire une expression de besoins classique mais d’animer la fonction Finance en la rendant créative. Ce point est particulièrement difficile, car les derniers financiers recrutés, ne l’ont pas été en tenant compte de la possession de cette qualité, mais plutôt selon un principe de clonage.
Il faut être capable de laisser des « fonctionnels » exprimer et d’avoir confiance en leurs instincts d’entrepreneur. Ou, en d’autres termes, de montrer des capacités opérationnelles dans un environnement fonctionnel.
Nous vivons donc un moment historique. Chaque responsable financier sait que le chemin vers une Direction Générale passe par une expérience opérationnelle en filiales ou autres. Or, nos entreprises n’ont plus le temps d’attendre le temps propre à ce travail de développeur de comptes de résultats.
Selon Morgen WITZEL, « Briser les règles ne doit pas être réalisé pour le seul plaisir de le faire et de montrer qu’on sait faire. Il ne faut pas être vandale mais visionnaire. Il s’agit au contraire d’inventer un savoir faire mieux en fixant de nouvelles règles. Le talent est de savoir comprendre les besoins pour les transformer en marché.
Le DAF et leurs collaborateurs, devront, encore plus qu’avant, faire des « promenades » dans les unités opérationnelles de leur entreprise …et celles de leurs confrères/concurrents.
Acteurs d’un monde où il est difficile de réconcilier les exigences financières à court terme et les stratégies à long terme, la fonction « finances » doit être un modèle.
Or la différence entre les économistes et les DAF est que les premiers doivent être conceptuels, quand les seconds ont la nécessité impérieuse d’agir et de savoir « vendre et mettre en place les idées » respectivement à leur comité de direction et aux représentants des collaborateurs de l’entreprise.
A ce titre, nous sommes loin de la « simple » capacité à mettre en œuvre un ERP. Il s’agit ici de proposer un programme de changement de Savoir-Faire original applicable à l’entreprise. Et comme le courage des dirigeants est souvent décuplé…lorsque l’un des leurs s’est « mouillé » les DAF vont devoir montrer l’exemple.
Il s’agit ici, non pas de faire une expression de besoins classique mais d’animer la fonction Finance en la rendant créative. Ce point est particulièrement difficile, car les derniers financiers recrutés, ne l’ont pas été en tenant compte de la possession de cette qualité, mais plutôt selon un principe de clonage.
Il faut être capable de laisser des « fonctionnels » exprimer et d’avoir confiance en leurs instincts d’entrepreneur. Ou, en d’autres termes, de montrer des capacités opérationnelles dans un environnement fonctionnel.
Nous vivons donc un moment historique. Chaque responsable financier sait que le chemin vers une Direction Générale passe par une expérience opérationnelle en filiales ou autres. Or, nos entreprises n’ont plus le temps d’attendre le temps propre à ce travail de développeur de comptes de résultats.
Selon Morgen WITZEL, « Briser les règles ne doit pas être réalisé pour le seul plaisir de le faire et de montrer qu’on sait faire. Il ne faut pas être vandale mais visionnaire. Il s’agit au contraire d’inventer un savoir faire mieux en fixant de nouvelles règles. Le talent est de savoir comprendre les besoins pour les transformer en marché.
Le DAF et leurs collaborateurs, devront, encore plus qu’avant, faire des « promenades » dans les unités opérationnelles de leur entreprise …et celles de leurs confrères/concurrents.
Acteurs d’un monde où il est difficile de réconcilier les exigences financières à court terme et les stratégies à long terme, la fonction « finances » doit être un modèle.
Dominique CHESNEAU
Président Tresorisk
31, place Saint Ferdinand
75017 PARIS
L.D. / Fax : + 33 1 40 55 93 98
Mobile : + 33 6 81 70 73 81
dch@tresorisk.com
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