Membre du Conseil d’analyse économique, auteur de nombreux ouvrages, Jean-Pierre VESPERINI est professeur agrégé des facultés.
Pour l’auteur, la France, malgré la crise, n’est pas en faillite. Mais il faut maintenir la croissance sous peine de conséquences ravageuses. C’est au contraire l’opportunité d’un changement radical de notre politique économique conduisant à l’adoption de nouveaux principes pour faire naître des réformes : au plan monétaire, budgétaire et fiscal.
Il faut créer un double choc, celui de la « demande » en dynamisant la consommation, l’investissement et les exportations, et un choc de « l’offre » avec une réforme profonde des structures économiques, marché du travail, éducation, recherche, réglementation etc…
L’auteur montre toutefois son optimisme en affirmant que la France possède la capacité à demeurer dans le cercle des grandes puissances. Il préconise, dans la mesure où les tentatives de réforme de la gouvernance européenne se révélaient impossibles, la France devrait remettre en cause son appartenance à la zone euro pour retrouver sa souveraineté monétaire. Ce serait le prix à payer pour refuser le déclin.
Pour l’auteur, la France, malgré la crise, n’est pas en faillite. Mais il faut maintenir la croissance sous peine de conséquences ravageuses. C’est au contraire l’opportunité d’un changement radical de notre politique économique conduisant à l’adoption de nouveaux principes pour faire naître des réformes : au plan monétaire, budgétaire et fiscal.
Il faut créer un double choc, celui de la « demande » en dynamisant la consommation, l’investissement et les exportations, et un choc de « l’offre » avec une réforme profonde des structures économiques, marché du travail, éducation, recherche, réglementation etc…
L’auteur montre toutefois son optimisme en affirmant que la France possède la capacité à demeurer dans le cercle des grandes puissances. Il préconise, dans la mesure où les tentatives de réforme de la gouvernance européenne se révélaient impossibles, la France devrait remettre en cause son appartenance à la zone euro pour retrouver sa souveraineté monétaire. Ce serait le prix à payer pour refuser le déclin.
Jean-Louis Chambon
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
Autres articles
-
Les professionnels ont besoin d’être davantage aiguillés dans l’implémentation de la DSP et du SEPA
-
La sanction du taux effectif global (TEG) erroné
-
Stock-options : un anathème de plus !
-
Rapport 2010 du C.O.D - Conseil d’Orientation de la Déontologie des Dirigeants Salariés
-
L’optimisme des CFO belges se traduit par de bons résultats