Pouvez-vous nous présenter l’entreprise SonarSource ?
SonarSource est une société genevoise spécialisée dans l’analyse du code source informatique, créée il y a treize ans par trois Français. Elle compte aujourd’hui 300 personnes réparties entre ses bureaux d’Annecy, de Genève, de Bochum en Allemagne et d’Austin au Texas.
SonarSource permet aux entreprises de maximiser la valeur de leurs logiciels en aidant leurs équipes de développement à écrire du code de bonne qualité (« code propre » ou Clean Code) au sens d’un bon standard, sans bugs ni failles de sécurité. En utilisant nos solutions SonarLint, SonarQube et SonarCloud, les développeurs de logiciels augmentent non seulement leur productivité de manière significative, mais ils réduisent également les risques liés à la sécurité ainsi qu’aux opérations. Ils peuvent ainsi passer plus de temps sur la résolution des problèmes fonctionnels et se concentrer sur l’innovation et sur l’amélioration de l’expérience utilisateur. Nos solutions les aident aussi à réduire les coûts de maintenance et augmenter la longévité de leur code.
A quel type d’entreprises s’adresse votre offre ?
Notre solution s’adresse à toutes les sociétés qui développent ou bien font développer des logiciels. Dès qu’une entreprise possède du code source, elle a besoin de le garder propre. Bien évidemment, en fonction de la taille de l’entreprise, l’utilisation de notre solution ne sera pas la même. Au cours des quatre dernières années, SonarSource a vu sa clientèle commerciale progresser de plus de 2000 % 80 sociétés du classement Fortune 100 utilisent la plateforme SonarSource : IBM, Microsoft, Barclays, Alphabet et la NASA font aujourd’hui partie de ses principaux utilisateurs. En France, nous avons une forte présence et comptons à ce jour plus de 600 clients commerciaux de toute taille.
Quel est l’état du marché des développeurs ?
Il est assez difficile de savoir exactement combien il y a de développeurs dans le monde, nous considérons qu’il y en a aujourd’hui environ 70 millions et que la croissance est d’environ de 12% par an. C’est un marché qui est assez fragmenté entre les différents langages de programmation (nous en couvrons 29) et les pseudo-langages.
C’est un marché qui a énormément évolué ces 20 dernières années, aussi bien d’un point de vue des processus et des pratiques mais également de l’outillage. Nous sommes entrés dans une ère industrielle et pourtant il reste encore un énorme travail de standardisation et de « commodisation » de ces pratiques et outils.
Vous venez d’annoncer une levée de fonds, pouvez-vous nous en dire plus ?
Nous venons de faire un tour de financement de 375 millions d’euros, la valorisation de la société atteint désormais 4,25 milliards d’euros. Nous avons fait entrer de nouveaux investisseurs, Advent International, General Catalyst, avec la participation de l’investisseur historique Insight Partners et du fond Permira Growth Opportunities.
Avec ces nouveaux investisseurs, nous pensons être en mesure de multiplier notre CA par 6 pour atteindre 1 milliard de dollars dans les 4-5 prochaines années.
Ce tour de table réunissant les bons partenaires va également nous aider à préparer notre entrée en bourse.
Quelles sont les priorités de développement en France et en Europe ?
D’une manière générale, nous allons nous focaliser beaucoup plus sur notre « Go To Market », afin d’être plus proactifs. Pour cela, nous comptons doubler notre force de vente cette année. Mais nous avons également besoin d’étoffer nos équipes de produits et d’ingénierie. Pour cela nous recrutons activement dans nos bureaux d’Annecy en Haute-Savoie et à Bochum en Allemagne. Idéalement, nous souhaiterions recruter une centaine d’ingénieurs dans les deux années qui viennent.
Nous allons également ouvrir un bureau régional à Singapour, qui nous permettra de mieux pénétrer le marché de l’Asie-Pacifique.
Comme vous pouvez le voir, nous n’allons pas nous ennuyer.
SonarSource est une société genevoise spécialisée dans l’analyse du code source informatique, créée il y a treize ans par trois Français. Elle compte aujourd’hui 300 personnes réparties entre ses bureaux d’Annecy, de Genève, de Bochum en Allemagne et d’Austin au Texas.
SonarSource permet aux entreprises de maximiser la valeur de leurs logiciels en aidant leurs équipes de développement à écrire du code de bonne qualité (« code propre » ou Clean Code) au sens d’un bon standard, sans bugs ni failles de sécurité. En utilisant nos solutions SonarLint, SonarQube et SonarCloud, les développeurs de logiciels augmentent non seulement leur productivité de manière significative, mais ils réduisent également les risques liés à la sécurité ainsi qu’aux opérations. Ils peuvent ainsi passer plus de temps sur la résolution des problèmes fonctionnels et se concentrer sur l’innovation et sur l’amélioration de l’expérience utilisateur. Nos solutions les aident aussi à réduire les coûts de maintenance et augmenter la longévité de leur code.
A quel type d’entreprises s’adresse votre offre ?
Notre solution s’adresse à toutes les sociétés qui développent ou bien font développer des logiciels. Dès qu’une entreprise possède du code source, elle a besoin de le garder propre. Bien évidemment, en fonction de la taille de l’entreprise, l’utilisation de notre solution ne sera pas la même. Au cours des quatre dernières années, SonarSource a vu sa clientèle commerciale progresser de plus de 2000 % 80 sociétés du classement Fortune 100 utilisent la plateforme SonarSource : IBM, Microsoft, Barclays, Alphabet et la NASA font aujourd’hui partie de ses principaux utilisateurs. En France, nous avons une forte présence et comptons à ce jour plus de 600 clients commerciaux de toute taille.
Quel est l’état du marché des développeurs ?
Il est assez difficile de savoir exactement combien il y a de développeurs dans le monde, nous considérons qu’il y en a aujourd’hui environ 70 millions et que la croissance est d’environ de 12% par an. C’est un marché qui est assez fragmenté entre les différents langages de programmation (nous en couvrons 29) et les pseudo-langages.
C’est un marché qui a énormément évolué ces 20 dernières années, aussi bien d’un point de vue des processus et des pratiques mais également de l’outillage. Nous sommes entrés dans une ère industrielle et pourtant il reste encore un énorme travail de standardisation et de « commodisation » de ces pratiques et outils.
Vous venez d’annoncer une levée de fonds, pouvez-vous nous en dire plus ?
Nous venons de faire un tour de financement de 375 millions d’euros, la valorisation de la société atteint désormais 4,25 milliards d’euros. Nous avons fait entrer de nouveaux investisseurs, Advent International, General Catalyst, avec la participation de l’investisseur historique Insight Partners et du fond Permira Growth Opportunities.
Avec ces nouveaux investisseurs, nous pensons être en mesure de multiplier notre CA par 6 pour atteindre 1 milliard de dollars dans les 4-5 prochaines années.
Ce tour de table réunissant les bons partenaires va également nous aider à préparer notre entrée en bourse.
Quelles sont les priorités de développement en France et en Europe ?
D’une manière générale, nous allons nous focaliser beaucoup plus sur notre « Go To Market », afin d’être plus proactifs. Pour cela, nous comptons doubler notre force de vente cette année. Mais nous avons également besoin d’étoffer nos équipes de produits et d’ingénierie. Pour cela nous recrutons activement dans nos bureaux d’Annecy en Haute-Savoie et à Bochum en Allemagne. Idéalement, nous souhaiterions recruter une centaine d’ingénieurs dans les deux années qui viennent.
Nous allons également ouvrir un bureau régional à Singapour, qui nous permettra de mieux pénétrer le marché de l’Asie-Pacifique.
Comme vous pouvez le voir, nous n’allons pas nous ennuyer.
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