Pour le repreneur fraîchement installé, la confiance à priori est évidemment nécessaire, mais restons lucides : tout audit de l’existant est incomplet, particulièrement lorsqu’il s’agit de vices cachés.
Premier cas de figure envisagé : le dossier en souffrance. Soit les salariés repris en ont connaissance, soit seul le cédant était au courant, ce qui est probablement plus fréquent dans le cas des TPE et des PME où le dirigeant a toutes les clés en main et effectue l’essentiel du travail de gestion. Vous imaginez bien que selon le cas, ça change tout.
Les formes que peuvent prendre ces chausse-trappe sont multiples : ...
... litige important avec un partenaire client ou fournisseur, conflit social larvé, querelles interpersonnelles en interne (baronnies, caractères incompatibles, jalousies…), salariés incompétents propulsés par le cédant à des postes clés à la dernière minute… pour ne citer que quelques exemples qui m’ont été relayés par des repreneurs. Une chose est sûre : le pluriel n’est pas fortuit, il n’est pas rare de lever le voile sur plusieurs affaires encombrantes une fois la reprise signée.
Dans ce genre de situation, c’est la capacité du repreneur à adopter rapidement une posture de dirigeant qui compte : vous devez rapidement prendre des orientations, les communiquer avec clarté, agir sur l’organisation le cas échéant. En d’autres termes toujours garder la main.
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Suite :
Premier cas de figure envisagé : le dossier en souffrance. Soit les salariés repris en ont connaissance, soit seul le cédant était au courant, ce qui est probablement plus fréquent dans le cas des TPE et des PME où le dirigeant a toutes les clés en main et effectue l’essentiel du travail de gestion. Vous imaginez bien que selon le cas, ça change tout.
Les formes que peuvent prendre ces chausse-trappe sont multiples : ...
... litige important avec un partenaire client ou fournisseur, conflit social larvé, querelles interpersonnelles en interne (baronnies, caractères incompatibles, jalousies…), salariés incompétents propulsés par le cédant à des postes clés à la dernière minute… pour ne citer que quelques exemples qui m’ont été relayés par des repreneurs. Une chose est sûre : le pluriel n’est pas fortuit, il n’est pas rare de lever le voile sur plusieurs affaires encombrantes une fois la reprise signée.
Dans ce genre de situation, c’est la capacité du repreneur à adopter rapidement une posture de dirigeant qui compte : vous devez rapidement prendre des orientations, les communiquer avec clarté, agir sur l’organisation le cas échéant. En d’autres termes toujours garder la main.
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