Principales conclusions
- Le nombre de procédures collectives (hors sauvegardes) a diminué de 4,5 % au cours de l’année 2006, sous l’impulsion de la nouvelle loi de sauvegarde des entreprises et d’une conjoncture économique plus favorable,
- Le taux de redressements judiciaires a atteint son niveau le plus faible depuis 10 ans avec 34,1% des procédures contre 36%, en moyenne, au cours des années précédentes. Ce faible taux est sans aucun doute dû à l’accroissement du traitement en amont des difficultés des entreprises via les procédures de mandat ad hoc et de conciliation, et/ou les procédures de sauvegarde.
Au cours des dix dernières années, les jugements rendus suite à l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire se répartissent comme suit:
- 64,85 % de liquidations (conduisant à un taux global de 87,4 % de liquidations),
- 26,80 % de plan de continuations – ou de redressements selon la nouvelle terminologie - (10% de l’ensemble des ouvertures de procédures)
- 8,35 % de plan de cessions.
On observe que ces statistiques sont très disparates selon les régions, les secteurs d’activité ou la taille des entreprises concernées.
Ainsi, depuis 10 ans, certaines régions comme l’Ile-de-France ou la région Rhône-Alpes présentent des taux de liquidations directes très supérieurs à la moyenne, constat qui se révèle inverse pour des secteurs comme l’agriculture ou l’industrie.
De même, on constate que plus une entreprise est importante en taille ou plus elle est âgée, et plus elle a de chance de trouver une solution de redressement via sa cession, voire sa continuation.
L’analyse des statistiques concernant les défaillances des sociétés de plus de 5 M€ de chiffre d’affaires permet d’observer une inversion de tendance : le taux des redressements judiciaires ressort à 76%, en moyenne, sur les 10 années de référence, avec une sensible diminution en 2006 (71%) – contre 36 %, si l’on prend en compte le nombre d’ouvertures de redressements judiciaires en global.
De la même manière, l’analyse de l’issue des défaillances concernant les sociétés de plus de 5 M€ de chiffre d’affaires fait apparaître des statistiques inversées par rapport aux données globales observées, avec :
- 52,1 % de liquidations judiciaires (contre 87,4% en global)
- 16,3 % de plans de continuations (contre 9,6% en global),
- 31,6 % de plans de cession (contre 3% en global).
Au-delà des éléments statistiques touchant aux défaillances d’entreprises, Deloitte Finance et Altares dressent le bilan d’une année et demie d’application de la loi de sauvegarde, puis apportent leur point de vue sur les évolutions actuelles et futures de l’environnement des entreprises en difficulté (nouveaux acteurs, marché de la dette, Bâle II), notamment à travers l’interview d’un banquier « Affaires spéciales » et d’une agence de notation.
Bilan d’une année et demie d’application de la loi de sauvegarde
Année 2006
Bilan mitigé pour la sauvegarde qui n’a pas remporté le succès qu’on lui avait prédit avec 500 procédures ouvertes (1% de l’ensemble des procédures collectives)
Secteurs d’activité ayant le plus utilisé la sauvegarde :
- le service (152 procédures, soit 30,4% de l’ensemble des sauvegardes)
- l’industrie (136 procédures, soit 27,2% de l’ensemble des sauvegardes),
- le commerce (97 procédures, soit 19,4% de l’ensemble des sauvegardes)
La sauvegarde touche principalement les petites et jeunes structures :
- dans 71% des cas, les sociétés ont un CA<1,5 M€,
- dans 50% des cas, elles ont moins de 10 ans d’existence
Régions ayant le plus utilisé la sauvegarde :
- Rhône-Alpes (87 procédures ouvertes, 17,4%)
- Provence-Côte-d’Azur (76 procédures, soit 15,2%)
- Ile-de-France (44 procédures, soit 8,8%)
Issue des procédures de sauvegarde :
- seulement 13% d’entre elles ont été converties en redressement ou en liquidation judiciaire
- 5 plans de sauvegarde ont été arrêtés en 2006
Franc succès, en revanche, des procédures de prévention avec :
- une progression de 30% du nombre de mandats ad hoc ouverts
- un envol des conciliations avec 200% d’augmentation par rapport aux règlements amiables ouverts en 2005
1er semestre 2007
Les défaillances d’entreprises
- Progression de 8% (par rapport au 1er semestre 2006) du nombre de défaillances d’entreprises, avec 24 800 procédures ouvertes
- Régions les plus touchées : Champagne-Ardenne (+46%), Franche-Comté, Aquitaine et Bretagne
- Les entreprises ayant entre 3 et 5 ans d’existence restent les plus touchées par les défaillances
- Les métiers de la santé ont enregistré une hausse du nombre de défaillances de 153% avec l’applicabilité de la loi de sauvegarde aux professions libérales
- Principales défaillances du 1er semestre 2007 : Nexia Froid, Toury, Outiror
Les sauvegardes
- Progression de 8% (par rapport au 1er semestre 2006) du nombre de sauvegardes, avec 234 procédures ouvertes.
- Les petites et jeunes structures sont les plus touchées par les sauvegardes ; une sauvegarde sur deux concerne une SARL
- 56% des sauvegardes ouvertes en 2006 ont donné lieu à un plan de sauvegarde et 44% d’entre elles ont été converties en redressement ou liquidation judiciaire
- Les 3 régions concentrant près de la moitié des sauvegardes sont : la région Rhône-Alpes (53 sauvegardes, soit 22,6%), la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (29 sauvegardes, soit 12,4%) et l’Ile-de-France (22 sauvegardes, soit 9%)
- Les secteurs d’activité ayant le plus utilisé la sauvegarde sont l’industrie (45 sauvegardes) et le service aux entreprises (46 sauvegardes)
- Principales sauvegardes du 1er semestre 2007 : Smoby, Cider Santé, Temex
- Le nombre de procédures collectives (hors sauvegardes) a diminué de 4,5 % au cours de l’année 2006, sous l’impulsion de la nouvelle loi de sauvegarde des entreprises et d’une conjoncture économique plus favorable,
- Le taux de redressements judiciaires a atteint son niveau le plus faible depuis 10 ans avec 34,1% des procédures contre 36%, en moyenne, au cours des années précédentes. Ce faible taux est sans aucun doute dû à l’accroissement du traitement en amont des difficultés des entreprises via les procédures de mandat ad hoc et de conciliation, et/ou les procédures de sauvegarde.
Au cours des dix dernières années, les jugements rendus suite à l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire se répartissent comme suit:
- 64,85 % de liquidations (conduisant à un taux global de 87,4 % de liquidations),
- 26,80 % de plan de continuations – ou de redressements selon la nouvelle terminologie - (10% de l’ensemble des ouvertures de procédures)
- 8,35 % de plan de cessions.
On observe que ces statistiques sont très disparates selon les régions, les secteurs d’activité ou la taille des entreprises concernées.
Ainsi, depuis 10 ans, certaines régions comme l’Ile-de-France ou la région Rhône-Alpes présentent des taux de liquidations directes très supérieurs à la moyenne, constat qui se révèle inverse pour des secteurs comme l’agriculture ou l’industrie.
De même, on constate que plus une entreprise est importante en taille ou plus elle est âgée, et plus elle a de chance de trouver une solution de redressement via sa cession, voire sa continuation.
L’analyse des statistiques concernant les défaillances des sociétés de plus de 5 M€ de chiffre d’affaires permet d’observer une inversion de tendance : le taux des redressements judiciaires ressort à 76%, en moyenne, sur les 10 années de référence, avec une sensible diminution en 2006 (71%) – contre 36 %, si l’on prend en compte le nombre d’ouvertures de redressements judiciaires en global.
De la même manière, l’analyse de l’issue des défaillances concernant les sociétés de plus de 5 M€ de chiffre d’affaires fait apparaître des statistiques inversées par rapport aux données globales observées, avec :
- 52,1 % de liquidations judiciaires (contre 87,4% en global)
- 16,3 % de plans de continuations (contre 9,6% en global),
- 31,6 % de plans de cession (contre 3% en global).
Au-delà des éléments statistiques touchant aux défaillances d’entreprises, Deloitte Finance et Altares dressent le bilan d’une année et demie d’application de la loi de sauvegarde, puis apportent leur point de vue sur les évolutions actuelles et futures de l’environnement des entreprises en difficulté (nouveaux acteurs, marché de la dette, Bâle II), notamment à travers l’interview d’un banquier « Affaires spéciales » et d’une agence de notation.
Bilan d’une année et demie d’application de la loi de sauvegarde
Année 2006
Bilan mitigé pour la sauvegarde qui n’a pas remporté le succès qu’on lui avait prédit avec 500 procédures ouvertes (1% de l’ensemble des procédures collectives)
Secteurs d’activité ayant le plus utilisé la sauvegarde :
- le service (152 procédures, soit 30,4% de l’ensemble des sauvegardes)
- l’industrie (136 procédures, soit 27,2% de l’ensemble des sauvegardes),
- le commerce (97 procédures, soit 19,4% de l’ensemble des sauvegardes)
La sauvegarde touche principalement les petites et jeunes structures :
- dans 71% des cas, les sociétés ont un CA<1,5 M€,
- dans 50% des cas, elles ont moins de 10 ans d’existence
Régions ayant le plus utilisé la sauvegarde :
- Rhône-Alpes (87 procédures ouvertes, 17,4%)
- Provence-Côte-d’Azur (76 procédures, soit 15,2%)
- Ile-de-France (44 procédures, soit 8,8%)
Issue des procédures de sauvegarde :
- seulement 13% d’entre elles ont été converties en redressement ou en liquidation judiciaire
- 5 plans de sauvegarde ont été arrêtés en 2006
Franc succès, en revanche, des procédures de prévention avec :
- une progression de 30% du nombre de mandats ad hoc ouverts
- un envol des conciliations avec 200% d’augmentation par rapport aux règlements amiables ouverts en 2005
1er semestre 2007
Les défaillances d’entreprises
- Progression de 8% (par rapport au 1er semestre 2006) du nombre de défaillances d’entreprises, avec 24 800 procédures ouvertes
- Régions les plus touchées : Champagne-Ardenne (+46%), Franche-Comté, Aquitaine et Bretagne
- Les entreprises ayant entre 3 et 5 ans d’existence restent les plus touchées par les défaillances
- Les métiers de la santé ont enregistré une hausse du nombre de défaillances de 153% avec l’applicabilité de la loi de sauvegarde aux professions libérales
- Principales défaillances du 1er semestre 2007 : Nexia Froid, Toury, Outiror
Les sauvegardes
- Progression de 8% (par rapport au 1er semestre 2006) du nombre de sauvegardes, avec 234 procédures ouvertes.
- Les petites et jeunes structures sont les plus touchées par les sauvegardes ; une sauvegarde sur deux concerne une SARL
- 56% des sauvegardes ouvertes en 2006 ont donné lieu à un plan de sauvegarde et 44% d’entre elles ont été converties en redressement ou liquidation judiciaire
- Les 3 régions concentrant près de la moitié des sauvegardes sont : la région Rhône-Alpes (53 sauvegardes, soit 22,6%), la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (29 sauvegardes, soit 12,4%) et l’Ile-de-France (22 sauvegardes, soit 9%)
- Les secteurs d’activité ayant le plus utilisé la sauvegarde sont l’industrie (45 sauvegardes) et le service aux entreprises (46 sauvegardes)
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A propos de Deloitte en France
Deloitte & Associés est la firme membre de Deloitte Touche Tohmatsu en France et les services professionnels sont rendus par Deloitte & Associés, ses filiales et ses affiliés.
Deloitte mobilise des compétences diversifiées pour répondre à l'éventail des services attendus par ses clients, de toutes tailles et de tous secteurs – des grandes entreprises multinationales aux micro-entreprises locales, en passant par les entreprises moyennes.
Les 6 000 collaborateurs et associés incarnent le dynamisme et la réussite de la firme par leur engagement auprès de leurs clients et leur souci permanent de garantir l'excellence des prestations qu'ils assurent. Celles-ci couvrent une palette d'offres très large : audit, consulting et risk services, juridique et fiscal, expertise comptable et corporate finance, conformément à la stratégie pluridisciplinaire de Deloitte et suivant une démarche éthique.
www.deloitte.fr
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A propos de Deloitte Touche Tohmatsu
Deloitte fait référence à Deloitte Touche Tohmatsu – un Verein suisse –, à ses cabinets membres et aux différentes entités qui leur sont associées. Deloitte Touche Tohmatsu est une organisation composée de cabinets membres, spécialisés dans des services professionnels à forte valeur ajoutée, au travers d'une stratégie partagée dans près de 140 pays et appliquée localement. Fort du capital intellectuel de 150 000 personnes dans le monde, Deloitte propose des services de quatre natures : audit, fiscalité, corporate finance et consulting.
Deloitte compte plus de 80% des plus grandes entreprises mondiales parmi ses clients, ainsi que de nombreuses grandes entreprises nationales, des institutions publiques et des milliers d'entreprises de croissance. Les services mentionnés ne sont pas fournis par le Verein Deloitte Touche Tohmatsu, et pour des raisons réglementaires ou de toute autre nature, certains cabinets membres ne proposent pas l'ensemble de ces services.
Deloitte Touche Tohmatsu est un Verein suisse (association), et, à ce titre, ni Deloitte Touche Tohmatsu ni aucun de ses cabinets membres ne peuvent être tenus pour responsables des actes ou manquements des autres cabinets membres. Chaque cabinet membre est une entité indépendante et juridiquement distincte, intervenant sous les noms “Deloitte”, “Deloitte & Touche”, “Deloitte Touche Tohmatsu” ou autres noms apparentés.
www.deloitte.com
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A propos d’Altarès
Altares est né du rapprochement de la Base d'Informations Légales et de Dun & Bradstreet France.
Spécialiste de la connaissance inter-entreprise, Altares accompagne les organisations pour atteindre leur objectif fondamental : trouver des clients et se faire payer. Membre du 1er réseau international d’informations B to B (le D&B Worldwide Network), Altares diffuse en France les solutions créées par le leader mondial D&B.
Les clients d’Altares disposent du seul accès global à des données qualifiées sur plus de 100 Millions d’entreprises dans le monde, dans plus de 220 pays. Les informations sont collectées dans le cadre d'un processus de qualité mondial homogène, le DUNSRight, qui permet d'assurer une couverture et une profondeur inégalées, que ce soit en matière d'expériences de paiement ou de liens inter-entreprises. Les solutions d'Altares en France comme à l'international s'adressent aussi bien aux PMI/PME qu'aux grands groupes (50 % des clients d'Altares sont des entreprises de moins de 50 salariés). Depuis 2006 l'Institut Altares dispense des formations pratiques pour mieux trouver des clients et gérer les risques et opportunités à l'export.
Construction et enrichissement de référentiel, solutions de développement commercial, solutions de gestion du risque financier, recherche de clients et de partenaires à l'export, constitution de fichiers marketing ciblés, analyse de potentiel marché, gestion des encours et du crédit client, analyse du risque financier, gestion de portefeuilles clients, formation.
50 % des entreprises françaises de plus de 50 salariés font confiance à Altares pour trouver des clients et se faire payer. 39 des 40 sociétés du CAC40 utilisent des solutions Altares. 65% des entreprises du SBF120 ont choisi Altarès.
www.altares.fr
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