- Plus d’un Français sur dix est client d’une banque en ligne, avec en première position Boursorama.
- Les parts de marchés des néobanques restent encore aujourd’hui marginales : 4% des Français interrogés détiennent un compte dans une néobanque.
- Une part importante des Français sondés n’hésiterait pas à se tourner vers une banque en ligne ou une néobanque d’ici 5 ans pour les services de paiement (32 %), d’épargne (24 %), de crédit (22 %) ou même d’assurance (26 %).
-7 % des Français affirment avoir changé de banque principale au cours de l’année 2019.
- Les parts de marchés des néobanques restent encore aujourd’hui marginales : 4% des Français interrogés détiennent un compte dans une néobanque.
- Une part importante des Français sondés n’hésiterait pas à se tourner vers une banque en ligne ou une néobanque d’ici 5 ans pour les services de paiement (32 %), d’épargne (24 %), de crédit (22 %) ou même d’assurance (26 %).
-7 % des Français affirment avoir changé de banque principale au cours de l’année 2019.
La banque de détail est soumise à des transformations remettant en cause le modèle traditionnel
« Le secteur de la banque de détail traverse une période difficile. Les taux bas, le poids de la conformité, la concurrence progressive de nouveaux acteurs tels que les néobanques et bien entendu, l’évolution des attentes des clients rendent encore plus forte l’urgence de la transformation du modèle bancaire, commente Anne-Sophie Levavasseur, associée chez Colombus Consulting.
Les banques de détail font face à des enjeux de transformation et d’innovation inédits résultant des évolutions réglementaires, technologiques et de l’apparition de nouveaux acteurs. Au total, une trentaine de néobanques sont opérationnelles en Europe et 13 d’entre elles sont ici étudiées.
Ce nouvel environnement entraîne une forte recomposition du paysage bancaire.
Quatre modèles non exclusifs semblent se dégager et dessinent l’avenir de la banque de détail :
• Marketplace Banking : le principe consiste à intégrer des services financiers innovants aux différents canaux existants pour compléter l’offre bancaire.
• Beyond Banking : cette approche se matérialise par la fourniture de services non bancaires pour mieux répondre aux attentes des clients.
• Productive Banking : ce type d’établissement vise la fourniture d’un service financier à un distributeur non bancaire.
• Invisible Banking : ce modèle consiste à intégrer totalement le service financier dans la vie quotidienne des clients pour rendre l’expérience bancaire agréable.
Le paysage bancaire français est en pleine évolution
Si les banques traditionnelles restent l’établissement principal de 9 Français sur 10, les banques en ligne et les néobanques intègrent peu à peu le paysage bancaire français. Ces acteurs bouleversent le modèle bancaire et obligent les banques traditionnelles à se réinventer pour s’ouvrir aux nouveaux usages et besoins
« Le secteur de la banque de détail traverse une période difficile. Les taux bas, le poids de la conformité, la concurrence progressive de nouveaux acteurs tels que les néobanques et bien entendu, l’évolution des attentes des clients rendent encore plus forte l’urgence de la transformation du modèle bancaire, commente Anne-Sophie Levavasseur, associée chez Colombus Consulting.
Les banques de détail font face à des enjeux de transformation et d’innovation inédits résultant des évolutions réglementaires, technologiques et de l’apparition de nouveaux acteurs. Au total, une trentaine de néobanques sont opérationnelles en Europe et 13 d’entre elles sont ici étudiées.
Ce nouvel environnement entraîne une forte recomposition du paysage bancaire.
Quatre modèles non exclusifs semblent se dégager et dessinent l’avenir de la banque de détail :
• Marketplace Banking : le principe consiste à intégrer des services financiers innovants aux différents canaux existants pour compléter l’offre bancaire.
• Beyond Banking : cette approche se matérialise par la fourniture de services non bancaires pour mieux répondre aux attentes des clients.
• Productive Banking : ce type d’établissement vise la fourniture d’un service financier à un distributeur non bancaire.
• Invisible Banking : ce modèle consiste à intégrer totalement le service financier dans la vie quotidienne des clients pour rendre l’expérience bancaire agréable.
Le paysage bancaire français est en pleine évolution
Si les banques traditionnelles restent l’établissement principal de 9 Français sur 10, les banques en ligne et les néobanques intègrent peu à peu le paysage bancaire français. Ces acteurs bouleversent le modèle bancaire et obligent les banques traditionnelles à se réinventer pour s’ouvrir aux nouveaux usages et besoins
Les parts de marchés des néobanques restent encore aujourd’hui marginales selon l’échantillon étudié : 4 % des répondants détiennent un compte dans une néobanque et seulement 1 % des personnes interrogées en ont fait leur banque principale avec domiciliation de leurs principaux revenus. Cependant ces établissements intègrent peu à peu le paysage bancaire français, même si les taux de connaissance restent hétérogènes (entre 2 % et 79 %). Au total, 83 % des Français connaissent au moins une des 13 néobanques de l’échantillon étudié.
Montée en puissance des banques en ligne et des néobanques
La part des banques traditionnelles reste majoritaire et la faible mobilité bancaire explique une progression limitée des banques en ligne et néobanques comme banque principale. Il faut cependant noter une montée en puissance rapide de Revolut et N26 qui déclarent toutes deux avoir passé le cap du million de clients en France.
Montée en puissance des banques en ligne et des néobanques
La part des banques traditionnelles reste majoritaire et la faible mobilité bancaire explique une progression limitée des banques en ligne et néobanques comme banque principale. Il faut cependant noter une montée en puissance rapide de Revolut et N26 qui déclarent toutes deux avoir passé le cap du million de clients en France.
Le site Internet est le canal le plus utilisé par le client pour rentrer en contact avec sa banque.
Les banques en ligne et néobanques enregistrent un bon niveau de confiance en matière de sécurité des données bancaires de leurs clients mais restent néanmoins en-dessous du niveau de confiance accordé aux banques traditionnelles. Le niveau de confiance en matière de gestion d’épargne atteint seulement 80 % pour les banques en ligne.
Une part importante des personnes interrogées n’hésiterait pas à se tourner vers une banque en ligne ou une néobanque d’ici 5 ans pour les services de paiement (32 %), d’épargne (24 %), de crédit (22 %) ou même d’assurance (26 %).
Les banques doivent se démarquer en proposant des services digitaux innovants
Les clients plébiscitent fortement les services bancaires intégrés et considèrent que les banques sont légitimes pour les proposer :
Une part importante des personnes interrogées n’hésiterait pas à se tourner vers une banque en ligne ou une néobanque d’ici 5 ans pour les services de paiement (32 %), d’épargne (24 %), de crédit (22 %) ou même d’assurance (26 %).
Les banques doivent se démarquer en proposant des services digitaux innovants
Les clients plébiscitent fortement les services bancaires intégrés et considèrent que les banques sont légitimes pour les proposer :
Il existe un intérêt réel des Français pour les services innovants et digitaux intégrés quelle que soit leur banque principale. Les banques sont perçues légitimes par plus de 6 Français sur 10 pour proposer ces nouveaux services. Les clients de banques en ligne sont particulièrement intéressés par le service de paiement en ligne ou par téléphone mobile (63 % contre 49 % pour l’ensemble de l’échantillon étudié).
Les Français conservent un réel intérêt pour un conseil bancaire à valeur ajoutée
Les Français restent attachés à leur conseiller financier, une opportunité à saisir pour les établissements bancaires. Les services liés au cœur de métier bancaire enregistrent des scores d’intention de souscription compris entre 38 % et 42 %, tandis que les services de coffre-fort électronique (33 %) et de conciergerie (21 %) trouvent un écho moindre.
Les Français conservent un réel intérêt pour un conseil bancaire à valeur ajoutée
Les Français restent attachés à leur conseiller financier, une opportunité à saisir pour les établissements bancaires. Les services liés au cœur de métier bancaire enregistrent des scores d’intention de souscription compris entre 38 % et 42 %, tandis que les services de coffre-fort électronique (33 %) et de conciergerie (21 %) trouvent un écho moindre.
"L’enjeu partagé à la fois par les fintechs et les banques est de répondre au mieux aux besoins des clients en supprimant toutes les frictions et frustrations de l’expérience utilisateur des services financiers. Par conséquent, la refonte des parcours client sera clé dans les années à venir. La transformation digitale doit viser une expérience utilisateur fluide et un service financier sans couture entre les différents partenaires de la banque », conclut Guillaume Larmaraud, associé chez Colombus Consulting."
Chaineum : Plateforme blockchain de levée de fonds
Laurent Leloup : Conférencier blockchain
HealthTech Finance : HealthTech Investment Banking, levée de fonds
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