Le monde IT, ainsi que les compétences techniques que ce dernier requiert au sein des entreprises, connaissent une évolution effrénée depuis des années. L'interaction avec les clients finaux s'est davantage digitalisée avec la pandémie, notamment dans le secteur bancaire dont la mise à disposition des outils digitaux, sous forme de différentes interfaces, en a séduit plus d'un. Et c'est justement là que figure pour le secteur bancaire la nécessité de professionnels capables d'« humaniser » ces interfaces utilisées par les clients. De plus, souvent perdus dans les méandres des services et produits financiers proposés par leur banque par un univers parfois « déshumanisé », les clients attendent de cette dernière une vision claire de ce qu'elle a à offrir et un accompagnement personnalisé : les nouvelles technologies pourraient être le facilitateur pour restaurer cette proximité avec leurs clients.
Selon l'étude " La banque à 2020-2025 : emploi et compétences, quelles orientations ? " réalisée par l'Observatoire des métiers de la banque, le secteur bancaire pourrait connaître dans les prochaines années des transformations majeures et massives. La nature des facteurs de transformation, avec sa composante technologique et l'émergence de nouveaux acteurs, laisse penser que le facteur temps sera la clé de la réussite, ou du moins de la gestion, de la transformation.
Ces jobs tech ont le vent en poupe
Les métiers tech sont en perpétuelle évolution, notamment lorsqu'il s'agit de travailler dans le domaine de l'Intelligence Artificielle (prédictif, profilage de la clientèle, sécurité), de la cybersécurité, de la réalité augmentée, d'avoir des compétences techniques relatives à l'expérience utilisateur, à la conception de l'interface utilisateur et du développement des API.
Par exemple, les entreprises devraient pouvoir s'appuyer sur des profils ayant de l'expertise en cybersécurité et/ou former les collaborateurs afin qu'ils acquièrent les connaissances en la matière.
En fait, la nécessité d'acquérir des compétences dans les domaines du cloud, de l'intelligence artificielle, de l'automatisation et de l'expérience utilisateur croît de manière exponentielle afin d'accompagner de manière adéquate les changements en cours et de permettre aux processus de travail d'être de plus en plus sécurisés, intelligents et fonctionnels, ainsi que d'être adaptés au soutien des nouveaux modèles économiques développés par les entreprises suite à la pandémie.
De plus, la pandémie a entraîné une accélération sans précédent de la digitalisation des processus, notamment dans le secteur bancaire, de sorte que les postes nécessitant des connaissances tech, spécifiques dans certains domaines, ont considérablement augmenté afin de répondre aux besoins des clients. Mais certains secteurs, tels que l'IT et la finance, connaissent une pénurie massive de candidats qualifiés dans les disciplines numériques et technologiques, et les entreprises concernées n'ont pas d'autres choix que de former l'effectif existant pour occuper ces nouveaux rôles.
Dans le débat sur les compétences de demain dans le secteur bancaire, les employés sont un capital précieux (alors que les machines prennent en charge les processus les plus robotisés), et les compétences humaines qui sont par essence uniques sont remises au premier plan.
L'évolution vers des domaines technologiques est de plus en plus cruciale et la manière dont nous développons ces compétences est une question primordiale pour les employeurs comme pour les collaborateurs.
Une transformation numérique réussie repose sur des compétences technologiques
Certaines entreprises ont déjà entamé le processus de transformation numérique en tant que processus de modernisation. Celui-ci s'est sans doute fortement accéléré à la suite de la pandémie qui a contraint tout le monde à faire face à l'immaturité technologique et à revoir en profondeur les processus de travail et les business model consolidés. La numérisation est entrée de manière encore plus envahissante dans la vie professionnelle, devenant une condition essentielle et permanente, et rendant nécessaire l'acquisition des compétences les mieux adaptées aux nouveaux paradigmes numériques.
Les entreprises qui cherchent des moyens de contrer les effets de la pandémie sur leurs activités feront inévitablement appel à leurs compétences techniques pour assumer une partie de la charge. Toutefois, elles doivent faire preuve de stratégie quant aux changements apportés au personnel technique. Pour s'assurer que les services numériques vitaux restent opérationnels, les organisations doivent faire tout leur possible pour protéger les talents essentiels à leur mission. En témoignant de leur soutien à ce stade, les entreprises peuvent créer de la motivation qui pourrait leur être bénéfique ultérieurement, dans un monde post Covid.
Bien que l'importance des compétences numériques ne cesse de croitre, les soft skills sont tout aussi importants, notamment dans la gestion à distance des collaborateurs dans des environnements virtuels, lors de la planification et la finalisation de projets de formation et d'apprentissage dans l'IT, gérés par les départements RH. La complexité et l'étendue technologique impliquent nécessairement des niveaux de compétences et de savoir-faire hautement qualifié afin de garantir une performance optimale dans les domaines de la production.
Les entreprises ont pour mission d'intégrer les bons talents dans l'organisation dans le cadre d'un plan à long terme pendant et après la pandémie, ce qui pourrait être possible en appliquant l'IA, les technologies de l'automatisation et bien d'autres pour rendre les flux de travail plus intelligents. Tout cela offre une nouvelle opportunité de construire de meilleures entreprises et un monde meilleur. En permettant à une main d'œuvre diversifiée de fonctionner de manière optimale, la confiance, qui est essentielle, s'installera entre les collaborateurs. La façon dont ils sont valorisés aujourd'hui influencera considérablement les perceptions et la valeur de l'entreprise dans le futur.
Selon l'étude " La banque à 2020-2025 : emploi et compétences, quelles orientations ? " réalisée par l'Observatoire des métiers de la banque, le secteur bancaire pourrait connaître dans les prochaines années des transformations majeures et massives. La nature des facteurs de transformation, avec sa composante technologique et l'émergence de nouveaux acteurs, laisse penser que le facteur temps sera la clé de la réussite, ou du moins de la gestion, de la transformation.
Ces jobs tech ont le vent en poupe
Les métiers tech sont en perpétuelle évolution, notamment lorsqu'il s'agit de travailler dans le domaine de l'Intelligence Artificielle (prédictif, profilage de la clientèle, sécurité), de la cybersécurité, de la réalité augmentée, d'avoir des compétences techniques relatives à l'expérience utilisateur, à la conception de l'interface utilisateur et du développement des API.
Par exemple, les entreprises devraient pouvoir s'appuyer sur des profils ayant de l'expertise en cybersécurité et/ou former les collaborateurs afin qu'ils acquièrent les connaissances en la matière.
En fait, la nécessité d'acquérir des compétences dans les domaines du cloud, de l'intelligence artificielle, de l'automatisation et de l'expérience utilisateur croît de manière exponentielle afin d'accompagner de manière adéquate les changements en cours et de permettre aux processus de travail d'être de plus en plus sécurisés, intelligents et fonctionnels, ainsi que d'être adaptés au soutien des nouveaux modèles économiques développés par les entreprises suite à la pandémie.
De plus, la pandémie a entraîné une accélération sans précédent de la digitalisation des processus, notamment dans le secteur bancaire, de sorte que les postes nécessitant des connaissances tech, spécifiques dans certains domaines, ont considérablement augmenté afin de répondre aux besoins des clients. Mais certains secteurs, tels que l'IT et la finance, connaissent une pénurie massive de candidats qualifiés dans les disciplines numériques et technologiques, et les entreprises concernées n'ont pas d'autres choix que de former l'effectif existant pour occuper ces nouveaux rôles.
Dans le débat sur les compétences de demain dans le secteur bancaire, les employés sont un capital précieux (alors que les machines prennent en charge les processus les plus robotisés), et les compétences humaines qui sont par essence uniques sont remises au premier plan.
L'évolution vers des domaines technologiques est de plus en plus cruciale et la manière dont nous développons ces compétences est une question primordiale pour les employeurs comme pour les collaborateurs.
Une transformation numérique réussie repose sur des compétences technologiques
Certaines entreprises ont déjà entamé le processus de transformation numérique en tant que processus de modernisation. Celui-ci s'est sans doute fortement accéléré à la suite de la pandémie qui a contraint tout le monde à faire face à l'immaturité technologique et à revoir en profondeur les processus de travail et les business model consolidés. La numérisation est entrée de manière encore plus envahissante dans la vie professionnelle, devenant une condition essentielle et permanente, et rendant nécessaire l'acquisition des compétences les mieux adaptées aux nouveaux paradigmes numériques.
Les entreprises qui cherchent des moyens de contrer les effets de la pandémie sur leurs activités feront inévitablement appel à leurs compétences techniques pour assumer une partie de la charge. Toutefois, elles doivent faire preuve de stratégie quant aux changements apportés au personnel technique. Pour s'assurer que les services numériques vitaux restent opérationnels, les organisations doivent faire tout leur possible pour protéger les talents essentiels à leur mission. En témoignant de leur soutien à ce stade, les entreprises peuvent créer de la motivation qui pourrait leur être bénéfique ultérieurement, dans un monde post Covid.
Bien que l'importance des compétences numériques ne cesse de croitre, les soft skills sont tout aussi importants, notamment dans la gestion à distance des collaborateurs dans des environnements virtuels, lors de la planification et la finalisation de projets de formation et d'apprentissage dans l'IT, gérés par les départements RH. La complexité et l'étendue technologique impliquent nécessairement des niveaux de compétences et de savoir-faire hautement qualifié afin de garantir une performance optimale dans les domaines de la production.
Les entreprises ont pour mission d'intégrer les bons talents dans l'organisation dans le cadre d'un plan à long terme pendant et après la pandémie, ce qui pourrait être possible en appliquant l'IA, les technologies de l'automatisation et bien d'autres pour rendre les flux de travail plus intelligents. Tout cela offre une nouvelle opportunité de construire de meilleures entreprises et un monde meilleur. En permettant à une main d'œuvre diversifiée de fonctionner de manière optimale, la confiance, qui est essentielle, s'installera entre les collaborateurs. La façon dont ils sont valorisés aujourd'hui influencera considérablement les perceptions et la valeur de l'entreprise dans le futur.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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