La première priorité, commune à bien d'autres secteurs, est la focalisation sur le client et ses attentes. Appliquée à l'assurance, son enjeu est d'opérer une transtion d'une approche de vente de produit (« poussé » par la compagnie ou un intermédiaire) vers un modèle d'achat de valeur (« désiré » par le consommateur). Les leviers mis en œuvre dans ce but sont relativement classiques dans l'univers des startups : transparence totale des contrats, simplification des interactions, ultra-personnalisation des offres…
La deuxième orientation mérite une attention particulière, parce qu'elle vise à adresser une des frustrations spécifiques de l'assurance. Il s'agit en effet de développer l'engagement du client tout au long de la relation, au lieu de se contenter d'un contact annuel lors du renouvellement du contrat ou à l'occasion d'un sinistre. En poussant la logique à l'extrême, commencent déjà à apparaître – dans différents domaines (automobile, habitation, santé…) – des concepts de couverture à la demande (à l'instar de Cuvva), qui permettent de maintenir une proximité incomparable.
Enfin, le troisième mouvement de fond de l'InsurTech vient en support des deux précédents, sous la forme de flux de données et des nouveaux usages associés. Tandis que l'évaluation du risque était historiquement exécutée une seule fois, à la signature du contrat, les masses d'information que délivrent maintenant les objets connectés, l'informatique « à porter », les applications mobiles… permettent progressivement d'ajuster la mesure en temps réel, contribuant de la sorte aux opportunités de personnalisation de l'offre et d'assurance à la demande.
Ces tendances sont aujourd'hui au cœur des modèles des startups, dont elles constituent l'essentiel de l'avantage concurrentiel, grâce auquel elles espèrent capter une partie du marché. En conséquence, les mêmes pratiques doivent impérativement être placées au centre des stratégies des compagnies d'assurance, si elles ne veulent pas se voir marginalisées, à terme. Ce sont de profondes transformations qu'il faut ainsi appréhender et intégrer dans les processus et les organisations. Il devient donc urgent de préparer le changement, car il ne se matérialisera pas en un jour…
La deuxième orientation mérite une attention particulière, parce qu'elle vise à adresser une des frustrations spécifiques de l'assurance. Il s'agit en effet de développer l'engagement du client tout au long de la relation, au lieu de se contenter d'un contact annuel lors du renouvellement du contrat ou à l'occasion d'un sinistre. En poussant la logique à l'extrême, commencent déjà à apparaître – dans différents domaines (automobile, habitation, santé…) – des concepts de couverture à la demande (à l'instar de Cuvva), qui permettent de maintenir une proximité incomparable.
Enfin, le troisième mouvement de fond de l'InsurTech vient en support des deux précédents, sous la forme de flux de données et des nouveaux usages associés. Tandis que l'évaluation du risque était historiquement exécutée une seule fois, à la signature du contrat, les masses d'information que délivrent maintenant les objets connectés, l'informatique « à porter », les applications mobiles… permettent progressivement d'ajuster la mesure en temps réel, contribuant de la sorte aux opportunités de personnalisation de l'offre et d'assurance à la demande.
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