Pour ces responsables financiers, la concurrence est la menace n°1 pour le chiffre d’affaires de leur entreprise, suivie de près par l’interruption de la chaîne de fournisseurs et les risques relatifs aux dommages aux biens. L’étude met également en lumière des risques émergents, qui pourraient bien figurer parmi les préoccupations majeures des responsables financiers dans les années à venir.
Parmi les principaux enseignements :
- 62% des responsables financiers prévoient que les risques liés à la concurrence augmenteront au cours des trois prochaines années, alors que seuls 4% d’entre eux prévoient une diminution de ces risques.
- Près d’un quart (24%) des responsables financiers prévoient une augmentation des risques liés à la chaîne de fournisseurs d’ici à 2009, alors que 8% d’entre eux tablent sur une diminution.
- Les risques émergents viendront de la concurrence, des initiatives gouvernementales et réglementaires, de la volatilité des prix, de la demande variable des clients et de la politique.
- Pour 56% des dirigeants financiers, le plus grand défi pour mettre en oeuvre un programme solide de gestion des risques sera de trouver les ressources suffisantes : temps, budget et ressources humaines.
- Pour plus d’un tiers (35%) des dirigeants financiers, faire en sorte que la gestion du risque devienne une priorité pour la direction est un défi majeur.
Risques et conséquences : les bêtes noires des responsables financiers
« Les résultats de cette étude rappellent, de façon un peu brutale, que la gestion des risques ne peut pas être abordée à la légère, mais qu’il doit s’agir d’un processus continu et dynamique » souligne Alex Tadmoury, Directeur Général de FM Global en France. « Les entreprises performantes sont celles qui identifient et gèrent de manière proactive les menaces rencontrées aujourd’hui, en se demandant toujours quels sont les risques à venir. »
Plus de la moitié (54%) des responsables financiers sonnent l’alarme : une interruption de la principale source de revenu peut se traduire par une perte de compétitivité, donc par une perte de parts de marché… et au final une baisse de la valeur de l’entreprise. En outre, près d’un quart (23%) des responsables financiers interrogés signalent qu’une telle perturbation pourrait entraîner des licenciements et/ou nuire à l’économie nationale. Parmi les autres conséquences majeures, sont évoquées l’obligation de sortir d’un secteur d’activité, les changements de direction, le déclassement de la note de solvabilité, ou encore le fait de devoir subir un contrôle réglementaire ou des poursuites judiciaires.
« Le verdict des responsables financiers interrogés pour cette étude est sans appel : une perturbation économique majeure a un coût bien supérieur à celui d’un programme de gestion des risques efficace », précise Alex Tadmoury. « Les entreprises tentées de faire des économies sur la gestion des risques s’exposent au mieux à une perte de compétitivité, au pire à un arrêt total de leur activité. »
Risk, risikum, risques : une approche différente selon les pays
Si les responsables financiers en Allemagne, au Royaume-Uni, au Canada, en France et aux Etats-Unis trouvent un terrain d’entente sur un certain nombre d’inquiétudes concernant la qualité des risques, l’étude révèle de réelles différences de comportements entre les pays :
- Les dirigeants financiers américains sont plus inquiets des risques liés à la chaîne fournisseurs et aux biens que leurs homologues européens, qui ont davantage tendance à se concentrer sur les risques liés à la concurrence. Les Français sont les plus confiants concernant la chaîne de fournisseurs : 5% des responsables financiers français placent ce risque en tête de leurs craintes, contre 15% pour l’ensemble des autres responsables interrogés.
- Plus d’un responsable financier sur deux (54%) déclare qu’une perte de compétitivité serait la conséquence la plus grave si les principales sources de revenus de leur entreprise étaient affectées par un sinistre. Ils sont seulement quatre Français sur dix (37%) à partager cette vision.
- Les responsables financiers français semblent très sereins quant au maintien de leur équipe dirigeante en cas de perturbation des principales sources de revenu de leur entreprise : seuls 2% redoutent un changement de direction contre 17% des Allemands et 21% des Anglais.
- Au Royaume-Uni, les dirigeants financiers sont plus pessimistes que leurs homologues américains, canadiens, allemands ou français : 62% d’entre eux craignent une perte de compétitivité, contre 51% de l’ensemble des autres dirigeants interrogés.
L’étude « Evolution des risques d'entreprises jusqu'en 2009 : ça se complique !" » permet de mieux comprendre en quoi la gestion des risques protège la valeur créée par l’entreprise. Elle a été menée par Opinion Search pour FM Global.
Les résultats de l’étude, disponibles en ligne sur www.protectingvalue.com, présentent les perspectives de plus de 500 dirigeants financiers en Amérique du Nord et en Europe, notamment les directeurs financiers et les trésoriers travaillant pour des sociétés dont le chiffre d’affaires est égal ou supérieur à 500 millions de dollars US.
A propos de FM Global
FM Global est le spécialiste de la prévention, la gestion et l’assurance des risques industriels. En investissant massivement dans la Recherche, l’ingénierie et l’analyse financière, FM Global mise sur l’avenir afin d’identifier les risques existants et à venir afin de garantir au mieux la continuité des opérations des entreprises sociétaires.
Dans la démarche d’un calcul des primes au plus juste, un réseau mondial d’ingénieurs FM Global accompagne les entreprises dans l’amélioration du profil de risque de chacun de leurs sites, où qu’ils soient dans le monde.
Mutuelle disposant de fonds propres d’un montant dépassant les 5 milliards de dollars, FM Global affiche une solidité financière reconnue par Fitch Ratings (AA Très Fort) et A.M.Best (A+ Supérieur).
A propos de Opinion Research
Opinion Research Corporation, fondée en 1938, est une société de recherche et de conseil qui aide les organisations mondiales, aussi bien dans le secteur privé que public, à faire une différence importante dans leurs performances. En apportant un soutien et une mise en oeuvre objectifs, basés sur les faits et appuyés par des recherches rigoureuses, Opinion Research Corporation gagne la confiance des entreprises en proposant des idées et des perspectives novatrices. La société mène des programmes d’études marketing commerciales en tant qu’Opinion Research Corporation (entreprise d’études d’opinions) aux États-Unis et en tant que ORC International en dehors de ce pays. Elle opère également à travers ORC Macro, qui se spécialise dans des programmes de recherche sociaux pour les agences gouvernementales. www.opinionresearch.com
Parmi les principaux enseignements :
- 62% des responsables financiers prévoient que les risques liés à la concurrence augmenteront au cours des trois prochaines années, alors que seuls 4% d’entre eux prévoient une diminution de ces risques.
- Près d’un quart (24%) des responsables financiers prévoient une augmentation des risques liés à la chaîne de fournisseurs d’ici à 2009, alors que 8% d’entre eux tablent sur une diminution.
- Les risques émergents viendront de la concurrence, des initiatives gouvernementales et réglementaires, de la volatilité des prix, de la demande variable des clients et de la politique.
- Pour 56% des dirigeants financiers, le plus grand défi pour mettre en oeuvre un programme solide de gestion des risques sera de trouver les ressources suffisantes : temps, budget et ressources humaines.
- Pour plus d’un tiers (35%) des dirigeants financiers, faire en sorte que la gestion du risque devienne une priorité pour la direction est un défi majeur.
Risques et conséquences : les bêtes noires des responsables financiers
« Les résultats de cette étude rappellent, de façon un peu brutale, que la gestion des risques ne peut pas être abordée à la légère, mais qu’il doit s’agir d’un processus continu et dynamique » souligne Alex Tadmoury, Directeur Général de FM Global en France. « Les entreprises performantes sont celles qui identifient et gèrent de manière proactive les menaces rencontrées aujourd’hui, en se demandant toujours quels sont les risques à venir. »
Plus de la moitié (54%) des responsables financiers sonnent l’alarme : une interruption de la principale source de revenu peut se traduire par une perte de compétitivité, donc par une perte de parts de marché… et au final une baisse de la valeur de l’entreprise. En outre, près d’un quart (23%) des responsables financiers interrogés signalent qu’une telle perturbation pourrait entraîner des licenciements et/ou nuire à l’économie nationale. Parmi les autres conséquences majeures, sont évoquées l’obligation de sortir d’un secteur d’activité, les changements de direction, le déclassement de la note de solvabilité, ou encore le fait de devoir subir un contrôle réglementaire ou des poursuites judiciaires.
« Le verdict des responsables financiers interrogés pour cette étude est sans appel : une perturbation économique majeure a un coût bien supérieur à celui d’un programme de gestion des risques efficace », précise Alex Tadmoury. « Les entreprises tentées de faire des économies sur la gestion des risques s’exposent au mieux à une perte de compétitivité, au pire à un arrêt total de leur activité. »
Risk, risikum, risques : une approche différente selon les pays
Si les responsables financiers en Allemagne, au Royaume-Uni, au Canada, en France et aux Etats-Unis trouvent un terrain d’entente sur un certain nombre d’inquiétudes concernant la qualité des risques, l’étude révèle de réelles différences de comportements entre les pays :
- Les dirigeants financiers américains sont plus inquiets des risques liés à la chaîne fournisseurs et aux biens que leurs homologues européens, qui ont davantage tendance à se concentrer sur les risques liés à la concurrence. Les Français sont les plus confiants concernant la chaîne de fournisseurs : 5% des responsables financiers français placent ce risque en tête de leurs craintes, contre 15% pour l’ensemble des autres responsables interrogés.
- Plus d’un responsable financier sur deux (54%) déclare qu’une perte de compétitivité serait la conséquence la plus grave si les principales sources de revenus de leur entreprise étaient affectées par un sinistre. Ils sont seulement quatre Français sur dix (37%) à partager cette vision.
- Les responsables financiers français semblent très sereins quant au maintien de leur équipe dirigeante en cas de perturbation des principales sources de revenu de leur entreprise : seuls 2% redoutent un changement de direction contre 17% des Allemands et 21% des Anglais.
- Au Royaume-Uni, les dirigeants financiers sont plus pessimistes que leurs homologues américains, canadiens, allemands ou français : 62% d’entre eux craignent une perte de compétitivité, contre 51% de l’ensemble des autres dirigeants interrogés.
L’étude « Evolution des risques d'entreprises jusqu'en 2009 : ça se complique !" » permet de mieux comprendre en quoi la gestion des risques protège la valeur créée par l’entreprise. Elle a été menée par Opinion Search pour FM Global.
Les résultats de l’étude, disponibles en ligne sur www.protectingvalue.com, présentent les perspectives de plus de 500 dirigeants financiers en Amérique du Nord et en Europe, notamment les directeurs financiers et les trésoriers travaillant pour des sociétés dont le chiffre d’affaires est égal ou supérieur à 500 millions de dollars US.
A propos de FM Global
FM Global est le spécialiste de la prévention, la gestion et l’assurance des risques industriels. En investissant massivement dans la Recherche, l’ingénierie et l’analyse financière, FM Global mise sur l’avenir afin d’identifier les risques existants et à venir afin de garantir au mieux la continuité des opérations des entreprises sociétaires.
Dans la démarche d’un calcul des primes au plus juste, un réseau mondial d’ingénieurs FM Global accompagne les entreprises dans l’amélioration du profil de risque de chacun de leurs sites, où qu’ils soient dans le monde.
Mutuelle disposant de fonds propres d’un montant dépassant les 5 milliards de dollars, FM Global affiche une solidité financière reconnue par Fitch Ratings (AA Très Fort) et A.M.Best (A+ Supérieur).
A propos de Opinion Research
Opinion Research Corporation, fondée en 1938, est une société de recherche et de conseil qui aide les organisations mondiales, aussi bien dans le secteur privé que public, à faire une différence importante dans leurs performances. En apportant un soutien et une mise en oeuvre objectifs, basés sur les faits et appuyés par des recherches rigoureuses, Opinion Research Corporation gagne la confiance des entreprises en proposant des idées et des perspectives novatrices. La société mène des programmes d’études marketing commerciales en tant qu’Opinion Research Corporation (entreprise d’études d’opinions) aux États-Unis et en tant que ORC International en dehors de ce pays. Elle opère également à travers ORC Macro, qui se spécialise dans des programmes de recherche sociaux pour les agences gouvernementales. www.opinionresearch.com
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