Nous avons reçu Alexandre Stachtchenko, Cofondateur Blockchain Partner, Directeur Blockchain et Cryptos chez KPMG France, Cofondateur & Board-Member de l’ADAN.
Alexandre est à nos yeux un combattant en costume, habité par des convictions profondes, il milite. Non le Bitcoin n’est pas inutile, spéculatif, polluant, dangereux, …
Il porte la parole pour que nous comprenions que son impact dépend d’où on se trouve sur terre. Les enjeux ne sont pas les mêmes de part et d’autre de l’hémisphère.
Si on se trouve en Europe, bancarisé, avec des solutions de virements qui fonctionnent, avec une monnaie stable, alors Bitcoin, peut sembler peu compétitif face aux monnaies classiques dites FIAT.
Pourtant, chacun y va, chacun un peu de son avis, c’est bien, ce n’est pas bien, j’y crois, je n’y crois pas…
Alexandre rappelle que non, tout le monde n’a pas le luxe d’être bancarisé ! Si l’on pense à des pays comme le Mexique, la Colombie, le Costa Rica, ou encore la Turquie, la majorité des habitants sont loin d’y vivre comme un Français moyen.
C’est majoritairement pour ces gens-là que Bitcoin prend toute sa puissance actuellement.
On a tendance à l’oublier, mais l’écrasante majorité de la population mondiale n’a pas notre luxe ! Taux de bancarisation en France = 95% ≥ 15% au Niger.
Les Libanais ou encore les Grecs, il y a quelques années, n’ont pas eu le loisir de revoir l’argent qu’ils avaient mis en banque.
On vous vend la monnaie classique en vous disant qu’elle est stable alors que si l’on y regarde de plus près des monnaies de pays comme celle de la Turquie, du Liban, de l’Argentine, du Nigeria, du Brésil, du Venezuela, du Zimbabwe, ou encore de l’Iran, elles se sont toutes déprécier d’au moins 20% face au dollar en 2020 !
Et nous, on se pense à l’abri, pourtant l’inflation aujourd’hui est déjà à 10%. Les images de Libanais qui attaquent leur banque ça vous parait loin et pourtant… La stabilité n’est plus une norme !
Il est temps de se poser la question de savoir si l’on préfère préserver son capital dans un actif volatil, mais haussier, ou dans des actifs non-volatiles, mais baissiers (inflation).
Donc avant de penser que le bitcoin est le diable incarné, pensez :
- À l’Ukrainien qui veut quitter son pays en temps de guerre
- Au Congolais qui souhaite recevoir des dons du monde entier à la suite d’une éruption volcanique
- Aux femmes afghanes qui souhaitent fuir le régime Taliban ou simplement vivre sur place avec un début de liberté financière
- À UNICEF qui souhaite s’assurer de l’utilisation de ses financements
Les exemples de l’utilité de Bitcoin, il y en a plein !
La Human Rights Foundation qualifie d’ailleurs Bitcoin d’« échappatoire à la tyrannie », « argent de la liberté » et rappelle que plus de la moitié de la population mondiale vivait en 2021 sous un régime autoritaire.
De l’argent « Sans-frontières », « résistant à la censure ».
Ces avantages sont incompréhensibles pour nous et pourtant ils sauvent des vies et ont une utilité majeure.
Alexandre parle, écoutez-le ! Bonne écoute.
Alexandre est à nos yeux un combattant en costume, habité par des convictions profondes, il milite. Non le Bitcoin n’est pas inutile, spéculatif, polluant, dangereux, …
Il porte la parole pour que nous comprenions que son impact dépend d’où on se trouve sur terre. Les enjeux ne sont pas les mêmes de part et d’autre de l’hémisphère.
Si on se trouve en Europe, bancarisé, avec des solutions de virements qui fonctionnent, avec une monnaie stable, alors Bitcoin, peut sembler peu compétitif face aux monnaies classiques dites FIAT.
Pourtant, chacun y va, chacun un peu de son avis, c’est bien, ce n’est pas bien, j’y crois, je n’y crois pas…
Alexandre rappelle que non, tout le monde n’a pas le luxe d’être bancarisé ! Si l’on pense à des pays comme le Mexique, la Colombie, le Costa Rica, ou encore la Turquie, la majorité des habitants sont loin d’y vivre comme un Français moyen.
C’est majoritairement pour ces gens-là que Bitcoin prend toute sa puissance actuellement.
On a tendance à l’oublier, mais l’écrasante majorité de la population mondiale n’a pas notre luxe ! Taux de bancarisation en France = 95% ≥ 15% au Niger.
Les Libanais ou encore les Grecs, il y a quelques années, n’ont pas eu le loisir de revoir l’argent qu’ils avaient mis en banque.
On vous vend la monnaie classique en vous disant qu’elle est stable alors que si l’on y regarde de plus près des monnaies de pays comme celle de la Turquie, du Liban, de l’Argentine, du Nigeria, du Brésil, du Venezuela, du Zimbabwe, ou encore de l’Iran, elles se sont toutes déprécier d’au moins 20% face au dollar en 2020 !
Et nous, on se pense à l’abri, pourtant l’inflation aujourd’hui est déjà à 10%. Les images de Libanais qui attaquent leur banque ça vous parait loin et pourtant… La stabilité n’est plus une norme !
Il est temps de se poser la question de savoir si l’on préfère préserver son capital dans un actif volatil, mais haussier, ou dans des actifs non-volatiles, mais baissiers (inflation).
Donc avant de penser que le bitcoin est le diable incarné, pensez :
- À l’Ukrainien qui veut quitter son pays en temps de guerre
- Au Congolais qui souhaite recevoir des dons du monde entier à la suite d’une éruption volcanique
- Aux femmes afghanes qui souhaitent fuir le régime Taliban ou simplement vivre sur place avec un début de liberté financière
- À UNICEF qui souhaite s’assurer de l’utilisation de ses financements
Les exemples de l’utilité de Bitcoin, il y en a plein !
La Human Rights Foundation qualifie d’ailleurs Bitcoin d’« échappatoire à la tyrannie », « argent de la liberté » et rappelle que plus de la moitié de la population mondiale vivait en 2021 sous un régime autoritaire.
De l’argent « Sans-frontières », « résistant à la censure ».
Ces avantages sont incompréhensibles pour nous et pourtant ils sauvent des vies et ont une utilité majeure.
Alexandre parle, écoutez-le ! Bonne écoute.
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