Le manque de formation nuit à la diversification et l’aboutissement des projets
En parallèle de cette feuille de route à tenir, un autre constat s’impose. Les entreprises innovantes qui souhaitent prendre le virage du Web3 ne trouvent pas les compétences nécessaires à leur développement. Elles manquent cruellement de personnes qualifiées et opérationnelles pour réussir leur transition vers le web3.
Afin d’infuser la technologie web 3 à grande échelle, il est impératif de répondre à un double besoin qui se dessine : celui de la bonne formation des talents, qui induira également une nécessaire standardisation de l’écosystème.
Un marché qui réclame les généralistes du web 3
C’est l’un des plus grands enjeux de l’année 2023 pour notre écosystème qui grandit et recherche des talents qualifiés pour soutenir son développement : sur le marché de l’emploi web3, les entreprises ont besoin de profils pluridisciplinaires, qui allient compétences techniques au business.
Le web 3 mêle en effet énomément de sujets, finance, legal, tech… il est donc important de s’attacher à une certaine porosité entre la vision du développeur et celle du produit. Il s’agit de faire le lien entre les équipes techniques et commerciales, d’améliorer la communication entre celles-ci pour comprendre et anticiper les enjeux qui attendent un projet web 3. D’autant plus pour les entrepreneurs qui créeront les champions européens de demain !
La standardisation, bascule de l’adoption de masse
Afin de faire grandir et lui conférer la légitimité qu’il attend, l’écosystème web 3 n’aura pas d’autre choix que de passer par une phase de standardisation. L’éducation est un des premiers leviers à activer pour certifier les compétences et former les référents blockchains d’aujourd’hui et de demain.
Afin de cibler et d’éduquer un maximum de profils hétéroclites, le web 3 a besoin également de beaucoup plus de choix de formation possible et surtout, de s’inscrire dans les cursus d’éducation traditionnels, du post bac à la reconversion professionnelle, de l'alternance à la formation continue.
En somme, l’éducation et sa standardisation se révèlent des incontournables aspects de ce petit monde technologique en ébullition. Nul doute que la transmission de l’ADN pluridisciplinaire de la première génération des entrepreneurs et des professionnels du web 3 permettra également de favoriser l’interopérabilité des projets, un autre relai de croissance.
La diffusion massive du web adviendra à condition que le marché de l’emploi trouve ses profils couteau-suisse. Il s’agit notamment d’une opportunité non négligeable pour que les femmes investissent le secteur, beaucoup moins représentées dans les formations tech pures et dures. Le web 3, finalement, offre à tous et à toutes la possibilité de se former aux métiers de demain, de devenir des acteurs de la conduite du changement et est une opportunité pour que chacun et chacune vienne expérimenter.
En parallèle de cette feuille de route à tenir, un autre constat s’impose. Les entreprises innovantes qui souhaitent prendre le virage du Web3 ne trouvent pas les compétences nécessaires à leur développement. Elles manquent cruellement de personnes qualifiées et opérationnelles pour réussir leur transition vers le web3.
Afin d’infuser la technologie web 3 à grande échelle, il est impératif de répondre à un double besoin qui se dessine : celui de la bonne formation des talents, qui induira également une nécessaire standardisation de l’écosystème.
Un marché qui réclame les généralistes du web 3
C’est l’un des plus grands enjeux de l’année 2023 pour notre écosystème qui grandit et recherche des talents qualifiés pour soutenir son développement : sur le marché de l’emploi web3, les entreprises ont besoin de profils pluridisciplinaires, qui allient compétences techniques au business.
Le web 3 mêle en effet énomément de sujets, finance, legal, tech… il est donc important de s’attacher à une certaine porosité entre la vision du développeur et celle du produit. Il s’agit de faire le lien entre les équipes techniques et commerciales, d’améliorer la communication entre celles-ci pour comprendre et anticiper les enjeux qui attendent un projet web 3. D’autant plus pour les entrepreneurs qui créeront les champions européens de demain !
La standardisation, bascule de l’adoption de masse
Afin de faire grandir et lui conférer la légitimité qu’il attend, l’écosystème web 3 n’aura pas d’autre choix que de passer par une phase de standardisation. L’éducation est un des premiers leviers à activer pour certifier les compétences et former les référents blockchains d’aujourd’hui et de demain.
Afin de cibler et d’éduquer un maximum de profils hétéroclites, le web 3 a besoin également de beaucoup plus de choix de formation possible et surtout, de s’inscrire dans les cursus d’éducation traditionnels, du post bac à la reconversion professionnelle, de l'alternance à la formation continue.
En somme, l’éducation et sa standardisation se révèlent des incontournables aspects de ce petit monde technologique en ébullition. Nul doute que la transmission de l’ADN pluridisciplinaire de la première génération des entrepreneurs et des professionnels du web 3 permettra également de favoriser l’interopérabilité des projets, un autre relai de croissance.
La diffusion massive du web adviendra à condition que le marché de l’emploi trouve ses profils couteau-suisse. Il s’agit notamment d’une opportunité non négligeable pour que les femmes investissent le secteur, beaucoup moins représentées dans les formations tech pures et dures. Le web 3, finalement, offre à tous et à toutes la possibilité de se former aux métiers de demain, de devenir des acteurs de la conduite du changement et est une opportunité pour que chacun et chacune vienne expérimenter.
A propos de Fabien Ansaldi
Avec une première entreprise créée à l’âge de 21 ans, Fabien Ansaldi est un autodidacte. Entrepreneur passionné, Fabien a fondé et dirigé 5 entreprises dont deux dans le domaine de la formation. C’est donc tout naturellement qu’il s’est associé avec l’incubateur Web 3 PyratzLabs pour fonder une école qui forme des entrepreneurs et des experts blockchain : la Blockchain Business School (BBS).
A propos de la Blockchain Business School
Lancée en début d’année 2023 par le start-up studio de référence PyratzLabs, la Blockchain Business School veut former les leaders du web3 de demain. Alors que les entreprises innovantes qui souhaitent prendre le virage du Web3 ont du mal à trouver des profils compétents, la BBS dispense les précieux enseignements d’un écosystème Web3 construit autour de PyratzLabs. Destinée aux salariés en poste ou en reconversion professionnelle, les demandeurs d’emploi, les entrepreneurs et les étudiants, la Blockchain Business School propose pour le moment deux types de formation, toutes deux construites sur le principe de transversalité des compétences : Tech lead et Product Manager. Elle a ouvert ses portes début avril au cœur des 1000m2 de PyratzLabs à Levallois-Perret, et compte une première promotion complète de 50 élèves sur ses bancs, dont Sébastien Borget, cofondateur du métavers The Sandbox, est le parrain.
En Savoir plus sur la Blockchain Business School
Retrouvez Bilal El Alamy, co-fondateur de PyratzLabs et de la BBS lors de la prochaine matinale de la DeFi le mercredi 3 mai.
Pour en savoir plus
Avec une première entreprise créée à l’âge de 21 ans, Fabien Ansaldi est un autodidacte. Entrepreneur passionné, Fabien a fondé et dirigé 5 entreprises dont deux dans le domaine de la formation. C’est donc tout naturellement qu’il s’est associé avec l’incubateur Web 3 PyratzLabs pour fonder une école qui forme des entrepreneurs et des experts blockchain : la Blockchain Business School (BBS).
A propos de la Blockchain Business School
Lancée en début d’année 2023 par le start-up studio de référence PyratzLabs, la Blockchain Business School veut former les leaders du web3 de demain. Alors que les entreprises innovantes qui souhaitent prendre le virage du Web3 ont du mal à trouver des profils compétents, la BBS dispense les précieux enseignements d’un écosystème Web3 construit autour de PyratzLabs. Destinée aux salariés en poste ou en reconversion professionnelle, les demandeurs d’emploi, les entrepreneurs et les étudiants, la Blockchain Business School propose pour le moment deux types de formation, toutes deux construites sur le principe de transversalité des compétences : Tech lead et Product Manager. Elle a ouvert ses portes début avril au cœur des 1000m2 de PyratzLabs à Levallois-Perret, et compte une première promotion complète de 50 élèves sur ses bancs, dont Sébastien Borget, cofondateur du métavers The Sandbox, est le parrain.
En Savoir plus sur la Blockchain Business School
Retrouvez Bilal El Alamy, co-fondateur de PyratzLabs et de la BBS lors de la prochaine matinale de la DeFi le mercredi 3 mai.
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