- Les Français (46%) sont, devant les Britanniques (43%), les Européens les moins intéressés par un poste dans un autre pays ;
- L'Allemagne (12%), la Suisse (11%) et le Royaume-Uni (11%) sont les destinations préférées des Français ;
- La France est le 3° pays le plus plébiscité par les Européens (derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni ;
- 74 % des salariés en Europe envisageraient de possibles carrières à l'étranger.
ADP® dévoile la première des quatre parties de son étude « Workforce View in Europe 2017 ». On y découvre que si les salariés européens sont près de trois quarts (74 %) à envisager de poursuivre leur carrière dans d'autres pays, les Français font office de bon dernier en la matière avec seulement 54 % d’entre eux. Cette nouvelle étude réalisée auprès de 10 000 salariés en Europe s'intéresse à la manière dont les collaborateurs européens envisagent l'avenir du travail, la compétitivité à l’international et la gestion des talents.
L'Allemagne (21 %), le Royaume-Uni (15 %) et la France (12 %) figurent parmi les destinations les plus appréciées des salariés, tandis que l'Amérique du Nord arrive étonnamment loin dans le classement à la 12e place.
Destinations préférées des Européens
1. Allemagne
2. Royaume-Uni
3. France
4. Suisse
5. Autriche
6. Belgique
7. Espagne
8. Norvège
9. Pays-Bas
10. Italie
Destinations préférées des Français
1. Allemagne
2. Suisse
3. Royaume-Uni
4. Belgique
5. Espagne
6. Italie
7. Luxembourg
8. Amérique du Nord
9. Portugal
10. Pays-Bas
Qu'est-ce qui guide le choix des collaborateurs ?
Ce sont avant tout les a priori sur le pays : stabilité économique, distance au pays d'origine et compétences linguistiques sont les premiers critères de choix pour les salariés. Les travailleurs les plus désireux de travailler à l'étranger (les Polonais, les Espagnols et les Italiens) sont également ceux qui déclarent le plus qu'il est important d'améliorer leurs compétences linguistiques.
En revanche, malgré leur popularité, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la France ne se démarquent pas particulièrement dans les domaines mesurés dans l'enquête, comme les compétences et le développement, la flexibilité du travail et le stress sur le lieu de travail. En réalité, selon cette étude, les salariés pourraient avoir une vie plus équilibrée et de meilleures opportunités dans les pays qui ne figurent pourtant pas parmi ceux en haut de classement.
Tous les types de talents veulent-ils changer de pays ?
En dépit d’un intérêt croissant pour le travail à l’étranger au sein d’un même continent, plus d'un quart des salariés (26 %) n'envisageraient jamais de travailler à l'étranger. En tête de ceux-ci, les Français (46 %) et les Britanniques (43 %). Par ailleurs, il existe une nette différence d'opinions entre les hommes et les femmes, dont respectivement 18 % et 36 % n’envisagent pas de travailler à l'étranger.
Les résultats montrent également une tendance prévisible qui indique que les jeunes actifs sont davantage susceptibles de travailler à l'étranger. 87 % des jeunes âgés de 16 à 24 ans se déclarent intéressés par des opportunités de carrière à l'étranger, contre seulement 56 % des plus de 55 ans.
Sébastien Haas, Vice-Président Marketing & Stratégie d’ADP France, déclare : « Les salariés européens expriment un fort désir de travail à l’étranger. Côté entreprises, la bataille pour attirer les talents est un défi clé sur le continent, il est donc essentiel qu’elles envisagent de nouveaux moyens pour accueillir des collaborateurs d’autres pays. Encourager la mobilité des talents à l’international est désormais un élément crucial pour les organisations, afin de rester compétitif au niveau mondial. »
« Les salariés européens expriment un fort désir de travail à l’étranger. La bataille pour les talents va devenir un défi clé sur le continent, il est essentiel que les entreprises envisagent de nouveaux moyens pour accueillir des collaborateurs plus internationaux. Encourager la mobilité des talents à l’international est désormais un élément crucial afin de rester compétitif au niveau mondial. » a ajouté Sébastien Haas.
- L'Allemagne (12%), la Suisse (11%) et le Royaume-Uni (11%) sont les destinations préférées des Français ;
- La France est le 3° pays le plus plébiscité par les Européens (derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni ;
- 74 % des salariés en Europe envisageraient de possibles carrières à l'étranger.
ADP® dévoile la première des quatre parties de son étude « Workforce View in Europe 2017 ». On y découvre que si les salariés européens sont près de trois quarts (74 %) à envisager de poursuivre leur carrière dans d'autres pays, les Français font office de bon dernier en la matière avec seulement 54 % d’entre eux. Cette nouvelle étude réalisée auprès de 10 000 salariés en Europe s'intéresse à la manière dont les collaborateurs européens envisagent l'avenir du travail, la compétitivité à l’international et la gestion des talents.
L'Allemagne (21 %), le Royaume-Uni (15 %) et la France (12 %) figurent parmi les destinations les plus appréciées des salariés, tandis que l'Amérique du Nord arrive étonnamment loin dans le classement à la 12e place.
Destinations préférées des Européens
1. Allemagne
2. Royaume-Uni
3. France
4. Suisse
5. Autriche
6. Belgique
7. Espagne
8. Norvège
9. Pays-Bas
10. Italie
Destinations préférées des Français
1. Allemagne
2. Suisse
3. Royaume-Uni
4. Belgique
5. Espagne
6. Italie
7. Luxembourg
8. Amérique du Nord
9. Portugal
10. Pays-Bas
Qu'est-ce qui guide le choix des collaborateurs ?
Ce sont avant tout les a priori sur le pays : stabilité économique, distance au pays d'origine et compétences linguistiques sont les premiers critères de choix pour les salariés. Les travailleurs les plus désireux de travailler à l'étranger (les Polonais, les Espagnols et les Italiens) sont également ceux qui déclarent le plus qu'il est important d'améliorer leurs compétences linguistiques.
En revanche, malgré leur popularité, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la France ne se démarquent pas particulièrement dans les domaines mesurés dans l'enquête, comme les compétences et le développement, la flexibilité du travail et le stress sur le lieu de travail. En réalité, selon cette étude, les salariés pourraient avoir une vie plus équilibrée et de meilleures opportunités dans les pays qui ne figurent pourtant pas parmi ceux en haut de classement.
Tous les types de talents veulent-ils changer de pays ?
En dépit d’un intérêt croissant pour le travail à l’étranger au sein d’un même continent, plus d'un quart des salariés (26 %) n'envisageraient jamais de travailler à l'étranger. En tête de ceux-ci, les Français (46 %) et les Britanniques (43 %). Par ailleurs, il existe une nette différence d'opinions entre les hommes et les femmes, dont respectivement 18 % et 36 % n’envisagent pas de travailler à l'étranger.
Les résultats montrent également une tendance prévisible qui indique que les jeunes actifs sont davantage susceptibles de travailler à l'étranger. 87 % des jeunes âgés de 16 à 24 ans se déclarent intéressés par des opportunités de carrière à l'étranger, contre seulement 56 % des plus de 55 ans.
Sébastien Haas, Vice-Président Marketing & Stratégie d’ADP France, déclare : « Les salariés européens expriment un fort désir de travail à l’étranger. Côté entreprises, la bataille pour attirer les talents est un défi clé sur le continent, il est donc essentiel qu’elles envisagent de nouveaux moyens pour accueillir des collaborateurs d’autres pays. Encourager la mobilité des talents à l’international est désormais un élément crucial pour les organisations, afin de rester compétitif au niveau mondial. »
« Les salariés européens expriment un fort désir de travail à l’étranger. La bataille pour les talents va devenir un défi clé sur le continent, il est essentiel que les entreprises envisagent de nouveaux moyens pour accueillir des collaborateurs plus internationaux. Encourager la mobilité des talents à l’international est désormais un élément crucial afin de rester compétitif au niveau mondial. » a ajouté Sébastien Haas.
Les médias du groupe Finyear
Lisez gratuitement :
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 4 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 4 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer
Autres articles
-
Bangk, une ICO pour un projet de néobanque éthique et décentralisée
-
Crypto : Les grands magasins Printemps en partenariat avec Binance Pay et Lyzi pour accepter les paiements en cryptomonnaie
-
Quelles sont les règles concernant le rachat d'un PER ?
-
Freqens : 3 millions pour la fintech afin de peaufiner sa plateforme de benchmarking des prix B2B
-
Wero, le portefeuille de paiement numérique d'EPI, arrive en Belgique