Résumé :
Pour les consommateurs et les commerçants, tout l’enjeu est de rendre le paiement disponible sur n’importe quel appareil tout en étant sans friction et le plus sécurisé possible. A cet égard, l’internet des objets et la biométrie, couplés à des technologies comme la tokenisation s’annoncent révolutionnaires et devraient impacter de façon très positive le commerce. Parmi les menaces, le livre blanc anticipe aussi la sécurisation des paiements à l’ère quantique sans oublier les potentialités offertes par l’IA.
Dans ce paysage, la France a des atouts majeurs à faire valoir : elle bénéficie d’un écosystème dynamique, comprenant un mélange d’acteurs financiers traditionnels, de Fintech innovantes et d’entreprises internationales. La coopération entre secteurs public et privé est décisive. Cette approche d’écosystème sur la base de l’expertise technologique des différents acteurs actifs en France est une condition nécessaire pour que le pays puisse être au rendez-vous de la décennie à venir.
Dans ce paysage, la France a des atouts majeurs à faire valoir : elle bénéficie d’un écosystème dynamique, comprenant un mélange d’acteurs financiers traditionnels, de Fintech innovantes et d’entreprises internationales. La coopération entre secteurs public et privé est décisive. Cette approche d’écosystème sur la base de l’expertise technologique des différents acteurs actifs en France est une condition nécessaire pour que le pays puisse être au rendez-vous de la décennie à venir.
Quelques citations de contributeurs :
Krisztian Beny, Pasqal :
« Les algorithmes pouvant fonctionner efficacement sur l’ordinateur quantique avant même son existence existent d’ores et déjà. »
Marc-Antoine Jambu, Banque de France :
« La bonne nouvelle est que nous ne sommes pas en retard. »
Xavier Vaslin, Crédit Agricole :
« En France, on travaille vraiment sur de la biométrie stockée en local, dans un composant hyper sécurisé. Le but, d’un point de vue réglementaire, est d’éviter d’avoir à stocker quelque part une base à la fois bancaire et de biométrie. »
Philippe Delanoue, G+D :
« Il y a principalement trois piliers technologiques concernés : la connectivité, l’identité et le paiement. Il faut que ces actifs soient consolidés et qu’il y ait des passerelles d’interconnexions sécurisées”. »
Dr Steve Flinter, Mastercard :
«La technologie quantique va nous aider à mieux résoudre ces problèmes de détection des fraudes. »
« Les algorithmes pouvant fonctionner efficacement sur l’ordinateur quantique avant même son existence existent d’ores et déjà. »
Marc-Antoine Jambu, Banque de France :
« La bonne nouvelle est que nous ne sommes pas en retard. »
Xavier Vaslin, Crédit Agricole :
« En France, on travaille vraiment sur de la biométrie stockée en local, dans un composant hyper sécurisé. Le but, d’un point de vue réglementaire, est d’éviter d’avoir à stocker quelque part une base à la fois bancaire et de biométrie. »
Philippe Delanoue, G+D :
« Il y a principalement trois piliers technologiques concernés : la connectivité, l’identité et le paiement. Il faut que ces actifs soient consolidés et qu’il y ait des passerelles d’interconnexions sécurisées”. »
Dr Steve Flinter, Mastercard :
«La technologie quantique va nous aider à mieux résoudre ces problèmes de détection des fraudes. »
Livre blanc de Payments Association EU
A propos de « The Payments Association EU » :
La Payments Association EU est une association réunissant les décideurs du secteur des paiements en Europe. Ses membres sont des entreprises représentant l'ensemble des maillons de la chaîne de valeur des paiements dans les 27 pays de l'Union européenne.
L'objectif de l'association est de développer les activités de ses membres dans tout le continent. Elle cherche à atteindre cet objectif en organisant des événements, en menant des projets pour défendre les intérêts de ses membres, en publiant des études.
The Payments Association EU
L'objectif de l'association est de développer les activités de ses membres dans tout le continent. Elle cherche à atteindre cet objectif en organisant des événements, en menant des projets pour défendre les intérêts de ses membres, en publiant des études.
The Payments Association EU
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigée par Finyear.com.
Même s'il a fait l'objet d'une sélection par la rédaction qui a jugé que son contenu pouvait relever d'une information totale ou partielle à soumettre aux lecteurs, seul l'émetteur de ce communiqué de presse ou Opinion est responsable de son contenu.
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Les avis financiers et/ou économiques présentés par les contributeurs de Finyear.com (experts, avocats, observateurs, bloggers, etc...) sont les leurs et peuvent évoluer sans qu’il soit nécessaire de faire une mise à jour des contenus. Les articles présentés ne constituent en rien une invitation à réaliser un quelconque investissement. Tout investissement comporte des risques de pertes partielles ou totales en capital. La rédaction décline toute responsabilité.
The financial and/or economic opinions presented by Finyear.com contributors (experts, lawyers, observers, bloggers, etc.) are their own and may change without the need to update the content. The articles presented do not constitute an invitation to make any investment. All investments entail the risk of partial or total capital loss. The editorial team declines all responsibility.
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