"Contrairement au cheval de course, un jockey peut faire jusqu'à 1500 courses par an lorsque certains pure-sangs ne dépassent pas les 10. Il est plus facile de s'identifier à un être humain qu'à un cheval et, petit avantage : un jockey peut répondre aux interviews, ce qui est plus compliqué pour le cheval..." sourit Julien Mirabel, co-fondateur de Jockiz évoquant les NFT proposés dans ce nouveau jeu de Fantasy Sports.
Mais, avis aux amateurs, il n'est pas encore possible de jouer et encore moins d'acheter des NFT Jockeys. Ce ne sera pas le cas avant mars 2024.
Ce qui a été présenté ce mardi 16 janvier au sein de Pyratzlabs, c'est le site vitrine de cette nouvelle aventure entrepreneuriale WEB3.
"Je préfère dire WEB 2 et demi. Car si l'ensemble des NFT / Jockeys que nous allons proposer sont bien, comme leur nom l'indique, enregistrés sur la blockchain, nous tenions à ce que tout soit lié au réel." Comprendre que sur la plateforme, les adeptes des courses hippiques ne trouveront pas de "metavers" ou d'univers virtuel où se dérouleront des courses. Quant aux transactions financières, elles se feront bien en euros.
La valeur des NFT / Jockeys sera alignée sur leurs performances sur le champ de courses et/ou sur leur valeur d'échange sur la market place. Quant à la forme du jeu, elle est librement inspirée du modèle imposé par Sorare dans le football, le base-ball et bien entendu, la NBA.
Et, en parlant de basket, Julien Mirabel ex-dirigeant d'une agence médias dans le sport, s'est entouré de co-fondateurs de choix. Parmi eux, Tony Parker arrivé au tour de table non pas pour la qualité de son dribble ou par pur investissement, mais bel et bien par sa passion des chevaux. Une passion qui l'a conduit à acquérir le domaine Quiétieville (haras) il y a un peu plus de deux ans (Infinity Nine horses). Domaine piloté par Clément Troprès, aussi co-fondateur de Jockiz.
A leurs côtés, un journaliste hippique, Laurent Bruneteau et aussi Pyratzlabs piloté par Bilal El Alamy. La société est donc hébergée sur le campus de Pyratz à Levallois-Perret (92) et bénéficie de l'ensemble de l'écosystème.
Jockiz se positionne ainsi comme le premier projet officiel, du tout nouveau programme du Corporate Startup Studio de PyratzLabs, lancé en octobre dernier.
Jockiz a obtenu les licences officielles de France Galop et le Trotteur Français, les deux sociétés organisatrices des courses hippiques en France.
Jockiz a également signé des partenariats exclusifs avec l’Association Des Jockeys de Galop (ADJ) et le Syndicat des Entraineurs, Drivers et Jockeys au Trot (SEDJ).
300 Jockeys seraient déjà signataires.
Anne-Laure Allain
Mais, avis aux amateurs, il n'est pas encore possible de jouer et encore moins d'acheter des NFT Jockeys. Ce ne sera pas le cas avant mars 2024.
Ce qui a été présenté ce mardi 16 janvier au sein de Pyratzlabs, c'est le site vitrine de cette nouvelle aventure entrepreneuriale WEB3.
"Je préfère dire WEB 2 et demi. Car si l'ensemble des NFT / Jockeys que nous allons proposer sont bien, comme leur nom l'indique, enregistrés sur la blockchain, nous tenions à ce que tout soit lié au réel." Comprendre que sur la plateforme, les adeptes des courses hippiques ne trouveront pas de "metavers" ou d'univers virtuel où se dérouleront des courses. Quant aux transactions financières, elles se feront bien en euros.
La valeur des NFT / Jockeys sera alignée sur leurs performances sur le champ de courses et/ou sur leur valeur d'échange sur la market place. Quant à la forme du jeu, elle est librement inspirée du modèle imposé par Sorare dans le football, le base-ball et bien entendu, la NBA.
Et, en parlant de basket, Julien Mirabel ex-dirigeant d'une agence médias dans le sport, s'est entouré de co-fondateurs de choix. Parmi eux, Tony Parker arrivé au tour de table non pas pour la qualité de son dribble ou par pur investissement, mais bel et bien par sa passion des chevaux. Une passion qui l'a conduit à acquérir le domaine Quiétieville (haras) il y a un peu plus de deux ans (Infinity Nine horses). Domaine piloté par Clément Troprès, aussi co-fondateur de Jockiz.
A leurs côtés, un journaliste hippique, Laurent Bruneteau et aussi Pyratzlabs piloté par Bilal El Alamy. La société est donc hébergée sur le campus de Pyratz à Levallois-Perret (92) et bénéficie de l'ensemble de l'écosystème.
Jockiz se positionne ainsi comme le premier projet officiel, du tout nouveau programme du Corporate Startup Studio de PyratzLabs, lancé en octobre dernier.
Jockiz a obtenu les licences officielles de France Galop et le Trotteur Français, les deux sociétés organisatrices des courses hippiques en France.
Jockiz a également signé des partenariats exclusifs avec l’Association Des Jockeys de Galop (ADJ) et le Syndicat des Entraineurs, Drivers et Jockeys au Trot (SEDJ).
300 Jockeys seraient déjà signataires.
Anne-Laure Allain
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