Elles s'appellent Bravo KillBills, Ledger, Koala, Carbonable, Roundtable, YMO, Respaid, N2F, Elyn et SESAMm, et ont levé 177 M€ cumulés le mois dernier.
Avec en tête, la licorne Ledger qui bénéficie à elle seule, d'un tour de table de 100 millions d'euros.
Selon le baromètre France Fintech/ Bpifrance, ce premier trimestre 2023 a donc enregistré un montant cumulé de 302 M€ en 33 transactions contre une moyenne trimestrielle de 731 M€ en 2022 et 568 M€ en 2021. Les principaux secteurs concernés sont les services fonctionnels (32%) et la crypto suite notamment à la levée de fonds de Ledger de 100 M€.
Selon ces deux acteurs, cet étiage bas résulte bien évidemment d’un attentisme des investisseurs dû à la situation macro économique internationale et à un moindre besoin de financement du à la réduction, par nombre de start up, des charges récurrentes et au report de certains projets d’investissement (notamment internationaux) dans ce climat d’incertitude. Le ralentissement constaté en France est en ligne avec celui des principaux marchés européens. Les levées impliquent, depuis 3 trimestres, principalement les investisseurs des tours précédents. A noter la bonne tenue des opérations d’amorçage (3/4 des opérations et plus d’1/3 des montants levés), mobilisant notamment un nombre élevé de Business Angel (39% des levées comportent au moins un BA) et un recours plus soutenu à la dette.
Avec en tête, la licorne Ledger qui bénéficie à elle seule, d'un tour de table de 100 millions d'euros.
Selon le baromètre France Fintech/ Bpifrance, ce premier trimestre 2023 a donc enregistré un montant cumulé de 302 M€ en 33 transactions contre une moyenne trimestrielle de 731 M€ en 2022 et 568 M€ en 2021. Les principaux secteurs concernés sont les services fonctionnels (32%) et la crypto suite notamment à la levée de fonds de Ledger de 100 M€.
Selon ces deux acteurs, cet étiage bas résulte bien évidemment d’un attentisme des investisseurs dû à la situation macro économique internationale et à un moindre besoin de financement du à la réduction, par nombre de start up, des charges récurrentes et au report de certains projets d’investissement (notamment internationaux) dans ce climat d’incertitude. Le ralentissement constaté en France est en ligne avec celui des principaux marchés européens. Les levées impliquent, depuis 3 trimestres, principalement les investisseurs des tours précédents. A noter la bonne tenue des opérations d’amorçage (3/4 des opérations et plus d’1/3 des montants levés), mobilisant notamment un nombre élevé de Business Angel (39% des levées comportent au moins un BA) et un recours plus soutenu à la dette.