Priorités 2023 des directions financières : le pilotage de la performance, la gestion du cash à court terme et la gestion des talents à moyen terme dans le top 3 des priorités
• 82% des directions financières envisagent de faire évoluer leur approche budgétaire face à un environnement marqué par l’incertitude, la volatilité, et l’augmentation des risques (économiques, politiques et climatiques)
• 93% des directions financières envisagent d'investir dans la digitalisation de la fonction finance à court terme
• 73% d’entre elles souhaitent modifier leur modèle de pilotage dans les trois ans à venir pour mieux intégrer les dimensions RSE
• L’inflation, les impacts de la guerre en Ukraine et le risque cyber sont les trois principales menaces identifiées par les grands groupes
• 46% des directions financières souhaitent développer en priorité les compétences en Data de leurs équipes
Le cabinet de conseil et d’audit PwC France et Maghreb et la DFCG publient la 11ème édition de leur enquête consacrée aux priorités 2023 des directions financières et intitulée “ Garder le cap face à l’incertitude”. Après un regain de confiance post COVID, les directions financières montrent une baisse du niveau de confiance liée notamment à un contexte économique marqué par l’incertitude et l’augmentation des risques. Pour garder le cap, trois leviers prioritaires sont identifiés : améliorer le pilotage de la performance dans l’incertitude, faire évoluer les compétences des collaborateurs pour répondre aux nouveaux enjeux et intégrer la dimension RSE dans la fonction finance.
Un niveau de confiance qui reste élevé malgré des incertitudes
Situation géopolitique tendue, tendances macro-économiques incertaines, retour de l’inflation, crise de l’énergie, sont autant de marqueurs qui font de 2023 une année incertaine. Ainsi, près d’un quart des directions financières se disent inquiètes sur les perspectives de croissance pour 2023, soit 10 points de plus que lors de la dernière édition de l’étude. Toutefois, le niveau de confiance reste quasiment au même niveau dans une perspective à 3 ans.
Les entreprises, quelle que soit leur taille, naviguent entre deux eaux. Elles continuent encore de bénéficier de l’acquis de croissance généré par la reprise de 2022, soutenue par l’investissement public. A contrario, les problèmes liés à la progression des coûts de production à travers la flambée de la facture énergétique pèsent sur leur activité.
Le pilotage de la performance, la gestion du cash et la stratégie de développement restent les priorités des directions financières compte tenu de l’incertitude et de la volatilité de l’environnement actuel. La gestion des talents est aussi une priorité forte à court terme - notamment auprès des ETI/PME - dans un contexte de tension accrue sur le marché pour les profils Finance, et compte tenu du besoin de développer de nouvelles compétences.
Les grands groupes comme les ETI et les PMI identifient deux risques prioritaires à anticiper pour 2023 : l’inflation et l’impact de la guerre en Ukraine. En revanche, les grands groupes placent le risque cyber en troisième position alors que les entreprises plus petites sont davantage préoccupées par la pénurie de talents.
Laurent Morel, Associé responsable des activités de conseil pour les directions financières chez PwC France et Maghreb déclare : « Face à cette situation de crise permanente, les directions financières doivent être toujours plus agiles et garder le cap sur les objectifs qui leur engendreront des résultats durables, en apportant de la confiance au marché, en créant de la valeur durable et en donnant du sens vis-à-vis des équipes. »
Piloter l’entreprise dans un monde incertain
L’inflation atteint des niveaux records jamais atteints depuis près de 40 ans. C’est donc une situation inédite pour beaucoup de directions financières. Dès lors, quels sont les leviers activés pour faire face à cette situation instable ? Afin de sécuriser leur rentabilité, la répercussion sur le prix de vente est le premier levier actionné pour 35% des DAF, suivi par des actions d’efficacité pour compenser ou limiter l’impact sur la marge (31%). En comparaison, face aux pénuries qui sévissent, la pression sur les fournisseurs reste plus faible (37%).
Dans ce contexte et après deux années de crise sanitaire, les dispositifs prévisionnels - encore trop lourds et pas assez outillés – sont mis à rude épreuve. Malgré les investissements et les progrès des deux dernières années, les besoins de réactivité des directions financières et la nécessité de travailler différemment en environnement incertain (approche par scénario, simulations...) ne sont pas encore pleinement satisfaisants. En réaction, 82% des directions financières envisagent de faire évoluer leur approche budgétaire et 45% se disent insatisfaites de leurs processus et outils de prévision et de simulation.
Pour optimiser les processus prévisionnels et les rendre plus agiles et adaptés au contexte d’incertitude, les directions financières identifient différents leviers à mettre en œuvre. Le cadrage du processus apparaît comme le premier vecteur d’amélioration, notamment pour mieux coordonner les parties prenantes, financiers et opérationnels. Les enjeux sur la donnée sont également cruciaux (intégration des données opérationnelles, niveau de détail).
RSE, des enjeux incontournables pour les directions financières
Les enjeux RSE sont désormais pleinement au cœur de l’agenda des directions financières. En effet, si la mise en œuvre du règlement Taxonomie constitue le 1er niveau d’intégration des dimensions RSE, ces dernières doivent aussi être intégrées plus profondément dans le pilotage de la performance de l’entreprise. Ceci implique que toutes les composantes et les métiers de la direction financière s’adaptent et évoluent de telle sorte qu’elle puisse mesurer, piloter et communiquer sur la performance globale de l’entreprise.
Ainsi, 73% des directions financières prévoient de faire évoluer en moins de 3 ans leur modèle de pilotage pour intégrer les dimensions RSE. Pour ce faire, plusieurs défis doivent encore être relevés, notamment liés à la capacité de collecte d’une donnée de qualité, la mise en place d’un processus robuste de reporting et de pilotage de cette donnée - y compris le processus de contrôle interne - la disponibilité des profils/compétences, l’organisation... Parmi les différents sujets, le suivi de la stratégie Net Zero des entreprises et donc du bilan carbone est primordial pour les directions financières compte tenu des enjeux financiers qu’il recouvre (taxes, quotas...).
Assurer la qualité et la disponibilité des données extra-financières est le premier challenge identifié par les directions financières. Un défi de taille qu’elles comptent relever dans les prochaines années : 78% des directions financières s’attendent à atteindre les standards de qualité, de robustesse et d'auditabilité observés pour la communication financière en moins de 5 ans, ce qui montre qu’elles sont prêtes à déployer les moyens nécessaires pour faire face à ces challenges dans un délai raisonnable.
La transformation de la fonction finance par la data et l’humain reste une priorité
Malgré une baisse du niveau de confiance dans les perspectives de croissance, les directions financières témoignent toujours d’une volonté de transformer leur fonction, notamment pour gagner en efficacité et apporter davantage de valeur aux métiers.
Pour répondre à leurs enjeux de transformation, 93% des directions financières envisagent d'investir dans la digitalisation de la fonction finance à court terme. En 2023, les technologies qui feront l’objet d’investissements prioritaires sont : les projets de dématérialisation, qui continuent de bénéficier d'un effet d'accélération liés aux évolutions réglementaires en France et en Europe sur la facturation, les projets de digitalisation qui font écho à la volonté des directions financières de gagner en efficacité et d'apporter davantage de valeur aux métiers.
Le facteur humain est indispensable pour mener à bien ces transformations. De nouveaux profils sont nécessaires au sein des directions financières, différents mais complémentaires à celui du financier traditionnel. La guerre des talents fait rage parmi les entreprises pour recruter ces nouveaux profils. 63% des directions financières ont une idée claire de leurs besoins. Ce sont les compétences Data, IT et RSE qui sont à développer en priorité.
Emmanuel Millard, Président de la DFCG, déclare : « Les directions financières sont plus que jamais au cœur des stratégies et des décisions des entreprises. Elles sauront naviguer et se transformer pour être le plus efficace possible. »
Méthodologie
Plus de 250 directions financières, issues de 10 secteurs d’activité, ont répondu au questionnaire en ligne, de l’étude Priorités 2022 du Directeur Financier (11ème édition). Plus de 50 directions financières ont été interviewées.
Vous trouverez l'étude complète ci-dessous en libre téléchargement.
A propos de PwC France et Maghreb
En France et au Maghreb, PwC développe des missions de conseil, d’audit et d’expertise juridique et fiscale pour des organisations de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. Fortes de plus de 6 000 collaborateurs, ses équipes pluridisciplinaires conjuguent leurs savoir-faire au sein d’un réseau international de plus de 328 000 personnes dans 152 pays. PwC France et Maghreb a pour ambition stratégique de devenir l’acteur de référence de la création de confiance et de la transformation durable des entreprises, en ligne avec la stratégie mondiale du réseau PwC, The New Equation. Rendez-vous sur www.pwc.fr.
A propos de la DFCG
L'Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion, créée en 1964, constitue la communauté de référence des professionnels des directions financières d'entreprises privées ou des services publics. La DFCG rassemble, dans 16 régions, 3 000 dirigeants financiers d'entreprises de toute taille, représentatives du tissu économique français. La DFCG regroupe 1 800 sociétés (Grands groupes 13%, ETI-PME 70%, TPE 17%). Depuis 2021, l’association est présidée par Emmanuel Millard.
Lieu de recherche opérationnelle en finance et contrôle de gestion, ses recherches donnent matière à une dizaine de publications annuelles. Ses prises de positions contribuent au débat économique et financier. Sphère pédagogique pour développer les compétences de ses membres, le Centre de Formation de la DFCG propose 90 formations allant de la sensibilisation pour dirigeant aux responsabilités nouvelles, à l'expertise plus pointue en financement ou en contrôle de gestion.
www.dfcg.fr
• 82% des directions financières envisagent de faire évoluer leur approche budgétaire face à un environnement marqué par l’incertitude, la volatilité, et l’augmentation des risques (économiques, politiques et climatiques)
• 93% des directions financières envisagent d'investir dans la digitalisation de la fonction finance à court terme
• 73% d’entre elles souhaitent modifier leur modèle de pilotage dans les trois ans à venir pour mieux intégrer les dimensions RSE
• L’inflation, les impacts de la guerre en Ukraine et le risque cyber sont les trois principales menaces identifiées par les grands groupes
• 46% des directions financières souhaitent développer en priorité les compétences en Data de leurs équipes
Le cabinet de conseil et d’audit PwC France et Maghreb et la DFCG publient la 11ème édition de leur enquête consacrée aux priorités 2023 des directions financières et intitulée “ Garder le cap face à l’incertitude”. Après un regain de confiance post COVID, les directions financières montrent une baisse du niveau de confiance liée notamment à un contexte économique marqué par l’incertitude et l’augmentation des risques. Pour garder le cap, trois leviers prioritaires sont identifiés : améliorer le pilotage de la performance dans l’incertitude, faire évoluer les compétences des collaborateurs pour répondre aux nouveaux enjeux et intégrer la dimension RSE dans la fonction finance.
Un niveau de confiance qui reste élevé malgré des incertitudes
Situation géopolitique tendue, tendances macro-économiques incertaines, retour de l’inflation, crise de l’énergie, sont autant de marqueurs qui font de 2023 une année incertaine. Ainsi, près d’un quart des directions financières se disent inquiètes sur les perspectives de croissance pour 2023, soit 10 points de plus que lors de la dernière édition de l’étude. Toutefois, le niveau de confiance reste quasiment au même niveau dans une perspective à 3 ans.
Les entreprises, quelle que soit leur taille, naviguent entre deux eaux. Elles continuent encore de bénéficier de l’acquis de croissance généré par la reprise de 2022, soutenue par l’investissement public. A contrario, les problèmes liés à la progression des coûts de production à travers la flambée de la facture énergétique pèsent sur leur activité.
Le pilotage de la performance, la gestion du cash et la stratégie de développement restent les priorités des directions financières compte tenu de l’incertitude et de la volatilité de l’environnement actuel. La gestion des talents est aussi une priorité forte à court terme - notamment auprès des ETI/PME - dans un contexte de tension accrue sur le marché pour les profils Finance, et compte tenu du besoin de développer de nouvelles compétences.
Les grands groupes comme les ETI et les PMI identifient deux risques prioritaires à anticiper pour 2023 : l’inflation et l’impact de la guerre en Ukraine. En revanche, les grands groupes placent le risque cyber en troisième position alors que les entreprises plus petites sont davantage préoccupées par la pénurie de talents.
Laurent Morel, Associé responsable des activités de conseil pour les directions financières chez PwC France et Maghreb déclare : « Face à cette situation de crise permanente, les directions financières doivent être toujours plus agiles et garder le cap sur les objectifs qui leur engendreront des résultats durables, en apportant de la confiance au marché, en créant de la valeur durable et en donnant du sens vis-à-vis des équipes. »
Piloter l’entreprise dans un monde incertain
L’inflation atteint des niveaux records jamais atteints depuis près de 40 ans. C’est donc une situation inédite pour beaucoup de directions financières. Dès lors, quels sont les leviers activés pour faire face à cette situation instable ? Afin de sécuriser leur rentabilité, la répercussion sur le prix de vente est le premier levier actionné pour 35% des DAF, suivi par des actions d’efficacité pour compenser ou limiter l’impact sur la marge (31%). En comparaison, face aux pénuries qui sévissent, la pression sur les fournisseurs reste plus faible (37%).
Dans ce contexte et après deux années de crise sanitaire, les dispositifs prévisionnels - encore trop lourds et pas assez outillés – sont mis à rude épreuve. Malgré les investissements et les progrès des deux dernières années, les besoins de réactivité des directions financières et la nécessité de travailler différemment en environnement incertain (approche par scénario, simulations...) ne sont pas encore pleinement satisfaisants. En réaction, 82% des directions financières envisagent de faire évoluer leur approche budgétaire et 45% se disent insatisfaites de leurs processus et outils de prévision et de simulation.
Pour optimiser les processus prévisionnels et les rendre plus agiles et adaptés au contexte d’incertitude, les directions financières identifient différents leviers à mettre en œuvre. Le cadrage du processus apparaît comme le premier vecteur d’amélioration, notamment pour mieux coordonner les parties prenantes, financiers et opérationnels. Les enjeux sur la donnée sont également cruciaux (intégration des données opérationnelles, niveau de détail).
RSE, des enjeux incontournables pour les directions financières
Les enjeux RSE sont désormais pleinement au cœur de l’agenda des directions financières. En effet, si la mise en œuvre du règlement Taxonomie constitue le 1er niveau d’intégration des dimensions RSE, ces dernières doivent aussi être intégrées plus profondément dans le pilotage de la performance de l’entreprise. Ceci implique que toutes les composantes et les métiers de la direction financière s’adaptent et évoluent de telle sorte qu’elle puisse mesurer, piloter et communiquer sur la performance globale de l’entreprise.
Ainsi, 73% des directions financières prévoient de faire évoluer en moins de 3 ans leur modèle de pilotage pour intégrer les dimensions RSE. Pour ce faire, plusieurs défis doivent encore être relevés, notamment liés à la capacité de collecte d’une donnée de qualité, la mise en place d’un processus robuste de reporting et de pilotage de cette donnée - y compris le processus de contrôle interne - la disponibilité des profils/compétences, l’organisation... Parmi les différents sujets, le suivi de la stratégie Net Zero des entreprises et donc du bilan carbone est primordial pour les directions financières compte tenu des enjeux financiers qu’il recouvre (taxes, quotas...).
Assurer la qualité et la disponibilité des données extra-financières est le premier challenge identifié par les directions financières. Un défi de taille qu’elles comptent relever dans les prochaines années : 78% des directions financières s’attendent à atteindre les standards de qualité, de robustesse et d'auditabilité observés pour la communication financière en moins de 5 ans, ce qui montre qu’elles sont prêtes à déployer les moyens nécessaires pour faire face à ces challenges dans un délai raisonnable.
La transformation de la fonction finance par la data et l’humain reste une priorité
Malgré une baisse du niveau de confiance dans les perspectives de croissance, les directions financières témoignent toujours d’une volonté de transformer leur fonction, notamment pour gagner en efficacité et apporter davantage de valeur aux métiers.
Pour répondre à leurs enjeux de transformation, 93% des directions financières envisagent d'investir dans la digitalisation de la fonction finance à court terme. En 2023, les technologies qui feront l’objet d’investissements prioritaires sont : les projets de dématérialisation, qui continuent de bénéficier d'un effet d'accélération liés aux évolutions réglementaires en France et en Europe sur la facturation, les projets de digitalisation qui font écho à la volonté des directions financières de gagner en efficacité et d'apporter davantage de valeur aux métiers.
Le facteur humain est indispensable pour mener à bien ces transformations. De nouveaux profils sont nécessaires au sein des directions financières, différents mais complémentaires à celui du financier traditionnel. La guerre des talents fait rage parmi les entreprises pour recruter ces nouveaux profils. 63% des directions financières ont une idée claire de leurs besoins. Ce sont les compétences Data, IT et RSE qui sont à développer en priorité.
Emmanuel Millard, Président de la DFCG, déclare : « Les directions financières sont plus que jamais au cœur des stratégies et des décisions des entreprises. Elles sauront naviguer et se transformer pour être le plus efficace possible. »
Méthodologie
Plus de 250 directions financières, issues de 10 secteurs d’activité, ont répondu au questionnaire en ligne, de l’étude Priorités 2022 du Directeur Financier (11ème édition). Plus de 50 directions financières ont été interviewées.
Vous trouverez l'étude complète ci-dessous en libre téléchargement.
A propos de PwC France et Maghreb
En France et au Maghreb, PwC développe des missions de conseil, d’audit et d’expertise juridique et fiscale pour des organisations de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. Fortes de plus de 6 000 collaborateurs, ses équipes pluridisciplinaires conjuguent leurs savoir-faire au sein d’un réseau international de plus de 328 000 personnes dans 152 pays. PwC France et Maghreb a pour ambition stratégique de devenir l’acteur de référence de la création de confiance et de la transformation durable des entreprises, en ligne avec la stratégie mondiale du réseau PwC, The New Equation. Rendez-vous sur www.pwc.fr.
A propos de la DFCG
L'Association nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion, créée en 1964, constitue la communauté de référence des professionnels des directions financières d'entreprises privées ou des services publics. La DFCG rassemble, dans 16 régions, 3 000 dirigeants financiers d'entreprises de toute taille, représentatives du tissu économique français. La DFCG regroupe 1 800 sociétés (Grands groupes 13%, ETI-PME 70%, TPE 17%). Depuis 2021, l’association est présidée par Emmanuel Millard.
Lieu de recherche opérationnelle en finance et contrôle de gestion, ses recherches donnent matière à une dizaine de publications annuelles. Ses prises de positions contribuent au débat économique et financier. Sphère pédagogique pour développer les compétences de ses membres, le Centre de Formation de la DFCG propose 90 formations allant de la sensibilisation pour dirigeant aux responsabilités nouvelles, à l'expertise plus pointue en financement ou en contrôle de gestion.
www.dfcg.fr
Laurent Leloup
- Fondateur et associé Finyear
- Fondateur et CEO Leloup Partners (Strategic partnerships in Web3)
- Auteur de Blockchain, la révolution de la confiance
"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
- Traducteur de La Blockchain pour les Nuls et de Au cœur du bitcoin.
- Fondateur et associé Finyear
- Fondateur et CEO Leloup Partners (Strategic partnerships in Web3)
- Auteur de Blockchain, la révolution de la confiance
"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
- Traducteur de La Blockchain pour les Nuls et de Au cœur du bitcoin.
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