C’est sur ce boom des échanges maritimes que se sont développés de nombreux ports ces dernières années.
Mais la tempête économique de 2008 combinée avec la montée des salaires en Chine a rebattu toutes les cartes maritimes.
A ces deux phénomènes économiques s’ajoutent une surcapacité de 15 à 30% du nombre de bateaux qui naviguent sur les mers du globe.
Et pour faire face à ce fort développement, le nombre de ports s’est fortement accrus afin de pouvoir accueillir au mieux tous ces nouveaux navires.
Mais cette surenchère à un coût !
Et ce coût doit être absorbé par un Chiffre d’Affaires supplémentaire qui reste à définir.
En effet, pendant les années 2000, beaucoup de Business Plan étaient construits sur une progression naturelle d’au moins 10% par an du trafic maritime.
Par conséquent, de nombreux ports en ont profités pour se développer tout en se mettant aux normes des besoins et des évolutions du trafic maritime.
La décomposition des coûts
Pour pouvoir évaluer les coûts, il est important d’identifier les conditions d’escale afin de définir les « coûts portuaires ».
En effet, les conditions d’escales font apparaître des situations FORT différentes entre les ports de :
- La Manche et du Nord
- La Méditerranée
- L’Atlantique
- L’Océan Indien
- etc...
En effet, les différences tiennent :
- à la géographie et aux conditions de navigation : par exemple les escales en Manche et en mer du Nord sont soumises à des conditions de marées ou de remontée d’estuaire ou de chenaux qui n’existent pas en méditerranée
- aux conditions d’escale : par exemple les escales en Manche et en mer du Nord sont effectuées par des navires de toute taille, petits comme grands.
Les paramètres qui ont également une influence sur les coûts sont techniques, type de navire, volume de l’escale, situation géographique du port et du terminal, nombre de remorqueurs utilisés, fréquence et durée des opérations, etc.
Aussi les coûts portuaires peuvent être décomposés répartis en 2 nature :
- les coûts variables
- les coûts fixes
Alors comment réduire les coûts
Mais la tempête économique de 2008 combinée avec la montée des salaires en Chine a rebattu toutes les cartes maritimes.
A ces deux phénomènes économiques s’ajoutent une surcapacité de 15 à 30% du nombre de bateaux qui naviguent sur les mers du globe.
Et pour faire face à ce fort développement, le nombre de ports s’est fortement accrus afin de pouvoir accueillir au mieux tous ces nouveaux navires.
Mais cette surenchère à un coût !
Et ce coût doit être absorbé par un Chiffre d’Affaires supplémentaire qui reste à définir.
En effet, pendant les années 2000, beaucoup de Business Plan étaient construits sur une progression naturelle d’au moins 10% par an du trafic maritime.
Par conséquent, de nombreux ports en ont profités pour se développer tout en se mettant aux normes des besoins et des évolutions du trafic maritime.
La décomposition des coûts
Pour pouvoir évaluer les coûts, il est important d’identifier les conditions d’escale afin de définir les « coûts portuaires ».
En effet, les conditions d’escales font apparaître des situations FORT différentes entre les ports de :
- La Manche et du Nord
- La Méditerranée
- L’Atlantique
- L’Océan Indien
- etc...
En effet, les différences tiennent :
- à la géographie et aux conditions de navigation : par exemple les escales en Manche et en mer du Nord sont soumises à des conditions de marées ou de remontée d’estuaire ou de chenaux qui n’existent pas en méditerranée
- aux conditions d’escale : par exemple les escales en Manche et en mer du Nord sont effectuées par des navires de toute taille, petits comme grands.
Les paramètres qui ont également une influence sur les coûts sont techniques, type de navire, volume de l’escale, situation géographique du port et du terminal, nombre de remorqueurs utilisés, fréquence et durée des opérations, etc.
Aussi les coûts portuaires peuvent être décomposés répartis en 2 nature :
- les coûts variables
- les coûts fixes
Alors comment réduire les coûts
Reliant le transport maritime, ferroviaire et routier des marchandises de leur point d’origine à leur destination, les ports sont le maillon central de la chaine d’approvisionnement internationale.
A ce titre ils doivent accroitre le rendement, minimiser l’impact environnemental et la hausse des coûts.
Aussi la technologie et l’automatisation apparaissent comme les leviers de l’efficacité du port en se mesurant à la rapidité de son transit.
La prochaine décennie devrait voir le nombre et la taille des porte-conteneurs encore augmenter à l’échelle mondiale ce qui pose déjà les prochains défis à répondre par les opérateurs de terminaux.
Aussi voici quelques pistes possibles pour abaisser les coûts d’exploitation portuaires :
1. revoir son organisation pour l’optimiser
2. transformer les charges fixes en charges variables
3. abaisser le niveau des taxes afin de jouer sur le volume
4. externaliser certaines opérations à des spécialistes
5. développer des ports modulables
6. accélérer la rotation des navires
7. optimiser les différents processus et services
8. mettre en place des outils de gestion dynamique (BP mobiles, atterrissages) et non statique (budget annuel)
En conclusion
Il n’y a pas une solution mais des solutions.
Cependant, il est important de par la mondialisation de la concurrence de passer d’un pilotage passif des coûts basé sur le passé à un pilotage actif basé sur la réactivité et l’anticipation.
A ce titre ils doivent accroitre le rendement, minimiser l’impact environnemental et la hausse des coûts.
Aussi la technologie et l’automatisation apparaissent comme les leviers de l’efficacité du port en se mesurant à la rapidité de son transit.
La prochaine décennie devrait voir le nombre et la taille des porte-conteneurs encore augmenter à l’échelle mondiale ce qui pose déjà les prochains défis à répondre par les opérateurs de terminaux.
Aussi voici quelques pistes possibles pour abaisser les coûts d’exploitation portuaires :
1. revoir son organisation pour l’optimiser
2. transformer les charges fixes en charges variables
3. abaisser le niveau des taxes afin de jouer sur le volume
4. externaliser certaines opérations à des spécialistes
5. développer des ports modulables
6. accélérer la rotation des navires
7. optimiser les différents processus et services
8. mettre en place des outils de gestion dynamique (BP mobiles, atterrissages) et non statique (budget annuel)
En conclusion
Il n’y a pas une solution mais des solutions.
Cependant, il est important de par la mondialisation de la concurrence de passer d’un pilotage passif des coûts basé sur le passé à un pilotage actif basé sur la réactivité et l’anticipation.
Eric SCHÜLLER
Eric Schüller Développements (ESD)
Consultant en développements des entreprises (organisation, finances, management, SI)
Formation continue (finance, gestion, organisation, management, optimisation)
Intervenant à l’EM Normandie
Membre du réseau entreprendre
Directeur Administratif et Financier
Email : esdeveloppements@orange.fr
Site internet : esdeveloppements.com
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