Si « la jeunesse est la seule génération raisonnable » alors on ne peut qu’être troublé par son mal être, son pessimisme accompagné d’une forme de fatalisme, particulièrement visible en Occident.
Dans cet essai lumineux, Pierre BENTATA propose une analyse sans concession, légitimée à la fois par sa double expérience professionnelle, d’universitaire, docteur en économie, enseignant et de chef d’Entreprise (il dirige le cabinet Rinzen)…… et du haut de ses 31 ans…….
Car l’auteur est de «… cette tribu, des jeunes sans Histoire qui font notre avenir…. ».
Pour l’auteur, (selon ses propres mots) il s’attache à montrer que les facteurs conjoncturels (crise, chômage, mondialisation) ne permettent pas seulement de justifier cette souffrance de la jeunesse : il en apporte une explication originale « …..le fait de vivre dans des sociétés libres et matures… » où « ….la perception de la nécessité de lutter pour l’égalité des droits et la liberté s’est évaporée, où l’on a plus à défendre un mode de vie, à s’engager dans une action collective et partager le même objectif….. », justifient plus précisément ce grand malaise.
Le sentiment de déclin, la nostalgie, le repli national et culturel en sont l’expression les plus perceptibles. Cette souffrance des jeunes occidentaux apparaît donc comme une forme d’expérimentation de la liberté de choisir vraiment « sa vie et son avenir ».
Choisir, reste une douleur (pas simplement pour les jeunes mais aussi pour eux) car c’est avant tout renoncer……… Toutefois Pierre BENTATA reste optimiste et c’est pour lui, dans l’Europe, « …..Société idéale pour des millions de réfugiés, et qui reste le lieu le plus libre et le plus avancé dans l’Histoire…… » que la jeunesse occidentale peut retrouver un sens à sa vie et le chemin de son avenir.
Si les Occidentaux paraissent l’avoir oublié, les grands bouleversements politiques, économiques et technologiques auront de cesse de rappeler cette vérité première de l’attrait de la fascination qu’exerce l’Europe sur le Monde.
Il reste à la jeunesse occidentale de comprendre qu’elle est à l’avant-garde du Monde et que son avenir est entre ses mains.
Dans cet essai lumineux, Pierre BENTATA propose une analyse sans concession, légitimée à la fois par sa double expérience professionnelle, d’universitaire, docteur en économie, enseignant et de chef d’Entreprise (il dirige le cabinet Rinzen)…… et du haut de ses 31 ans…….
Car l’auteur est de «… cette tribu, des jeunes sans Histoire qui font notre avenir…. ».
Pour l’auteur, (selon ses propres mots) il s’attache à montrer que les facteurs conjoncturels (crise, chômage, mondialisation) ne permettent pas seulement de justifier cette souffrance de la jeunesse : il en apporte une explication originale « …..le fait de vivre dans des sociétés libres et matures… » où « ….la perception de la nécessité de lutter pour l’égalité des droits et la liberté s’est évaporée, où l’on a plus à défendre un mode de vie, à s’engager dans une action collective et partager le même objectif….. », justifient plus précisément ce grand malaise.
Le sentiment de déclin, la nostalgie, le repli national et culturel en sont l’expression les plus perceptibles. Cette souffrance des jeunes occidentaux apparaît donc comme une forme d’expérimentation de la liberté de choisir vraiment « sa vie et son avenir ».
Choisir, reste une douleur (pas simplement pour les jeunes mais aussi pour eux) car c’est avant tout renoncer……… Toutefois Pierre BENTATA reste optimiste et c’est pour lui, dans l’Europe, « …..Société idéale pour des millions de réfugiés, et qui reste le lieu le plus libre et le plus avancé dans l’Histoire…… » que la jeunesse occidentale peut retrouver un sens à sa vie et le chemin de son avenir.
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Il reste à la jeunesse occidentale de comprendre qu’elle est à l’avant-garde du Monde et que son avenir est entre ses mains.
Jean-Louis Chambon
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
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