Pourtant, comme en 1987 et en 1997, la majorité des économistes aura tort. En effet, à l’instar des années 1988 et 1998 qui ont consacré des niveaux de croissance soutenue, notamment grâce à l’intervention rapide et à la bienveillance de la Fed, 2008 devrait être une année de croissance certes ralentie mais appréciable. Du moins au niveau mondial (4,2 %) et aux Etats-Unis (2,7 %). Ce qui permettra de relancer les marchés boursiers internationaux.
Malheureusement, la zone euro et la France resteront, une fois encore sur le bas côté, avec une croissance de respectivement 1,7 % et 1,6 %. Ainsi, face à cette piètre perspective et en guise de voeux, les Eurolandais n’auront d’autres choix que les deux mots suivants : Vivement 2009 !..

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