"Nous irons au-delà de la première tranche de soutien en fonds propres (...) car je suis convaincu que nos banques en ont besoin. Le Gouvernement remettra de l’argent pour augmenter leurs fonds propres pour qu’elles puissent prêter davantage", a précisé le chef de l’Etat. Lors de l’octroi des premiers 10,5 milliards d’euros, le Gouvernement avait indiqué qu’une deuxième tranche serait accordée si nécessaire en 2009 pour le même montant.
Restaurer la confiance entre les banques et sauver l’épargne des Français sont les deux objectifs du plan de soutien aux banques du 13 octobre 2008 d’un montant de 360 milliards d’euros qui comprend :
- une enveloppe de 40 milliards d’euros pour recapitaliser les banques qui en ont besoin. Une première tranche de 10,5 milliards d’euros a été versée aux six plus grandes banques privées françaises pour renforcer leurs fonds propres. L’Etat prête cet argent aux banques à un taux de 8 % qu’elles vont rembourser au fur et à mesure de la reprise économique ;
- une garantie de 320 milliards d’euros pour fournir aux banques les liquidités nécessaires pour prêter. Là encore, ce sont des prêts. Les banques devront les rembourser selon un échéancier prévu.
Grâce à cette mesure garantissant de fait les dépôts bancaires, "il n’y a pas eu en France la panique des épargnants", s’est félicité Nicolas Sarkozy lors de son discours devant les parlementaires. Le président de la République a également estimé que la situation des banques françaises était meilleure que celle de leurs consœurs britanniques, soulignant que les services financiers ne représentaient que 3 % du produit intérieur brut (PIB) français, contre 15 % pour le Royaume-Uni.
www.premier-ministre.gouv.fr
Restaurer la confiance entre les banques et sauver l’épargne des Français sont les deux objectifs du plan de soutien aux banques du 13 octobre 2008 d’un montant de 360 milliards d’euros qui comprend :
- une enveloppe de 40 milliards d’euros pour recapitaliser les banques qui en ont besoin. Une première tranche de 10,5 milliards d’euros a été versée aux six plus grandes banques privées françaises pour renforcer leurs fonds propres. L’Etat prête cet argent aux banques à un taux de 8 % qu’elles vont rembourser au fur et à mesure de la reprise économique ;
- une garantie de 320 milliards d’euros pour fournir aux banques les liquidités nécessaires pour prêter. Là encore, ce sont des prêts. Les banques devront les rembourser selon un échéancier prévu.
Grâce à cette mesure garantissant de fait les dépôts bancaires, "il n’y a pas eu en France la panique des épargnants", s’est félicité Nicolas Sarkozy lors de son discours devant les parlementaires. Le président de la République a également estimé que la situation des banques françaises était meilleure que celle de leurs consœurs britanniques, soulignant que les services financiers ne représentaient que 3 % du produit intérieur brut (PIB) français, contre 15 % pour le Royaume-Uni.
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