- Les PME sont bien préparées au changement
- Les compétences comportementales ou << soft skills >> font la différence
- La gestion du changement fait partie du quotidien des managers
Une étude réalisée dans 8 pays européens par Reimund Research[1], pour la société internationale de management Mercuri Urval, révèle des résultats étonnants quant à l'attitude des managers face au changement au sein de leur société. 80 % des responsables de tous niveaux perçoivent le changement comme un élément nécessaire et positif. 78 % affirment que le changement est un phénomène naturel offrant des opportunités de développement.
Le changement est d'actualité : 74% des PME Belges s'attendent à des changements en 2011
Aujourd'hui le changement fait partie des sociétés : en effet, seules 22 % des sociétés n'ont pas connu de processus de changement au cours des deux dernières années. 60 % des sociétés ont connu des processus de changement en 2010 et 55 % s'attendent à des changements en 2011.
Le changement est une nécessité
Les processus de changement sont considérés comme nécessaires et environ 75 % de l'ensemble des managers s'impliquent personnellement dans les processus de changement. Seuls 10 à 20 % sont généralement sceptiques en ce qui concerne les changements, et moins de 5 % considèrent le processus de changement comme étant une raison de quitter leur société.
Le changement peut booster les carrières
Il existe une profonde compréhension du besoin de changement de la part des managers quels que soit leur niveau de responsabilité. 83,7 % s'accordent sur le fait que << l'ouverture au changement est impérative pour qu'une société survive dans le milieu compétitif actuel >>. Dans le même temps, 58 % des responsables pensent que les processus de changement constituent une bonne opportunité pour les employés de faire évoluer leur carrière.
Une réalisation insuffisante des objectifs Bien que les responsables de moyennes entreprises soient en faveur du changement en général, ils ne sont pas toujours satisfaits de ses conséquences. Sur une échelle de 0 à 100, les responsables ont observé une réalisation des objectifs de seulement 60 %. Les managers Belges sont légèrement plus confiants avec 67%.
Les compétences cruciales : la communication, la motivation et la gestion des conflits
Apparaissent en tête de liste des capacités personnelles nécessaires au changement : la capacité à communiquer, à motiver les autres, à gérer les conflits et la capacité à coopérer. Tout aussi importantes sont les capacités transformant l'engagement personnel en faveur du changement en performances : la volonté de prendre des responsabilités ou d'orienter les objectifs.
Selon leur niveau de responsabilité, les managers ont une vision différente des besoins
Bien plus encore que les managers de niveau inférieur et intermédiaire, les managers de haut niveau de nombreuses sociétés voient la nécessité d'améliorer la flexibilité et le travail collectif en général dans leur organisation, ainsi que d'accroître la motivation à l'égard du changement. D'un autre côté, les managers de niveau inférieur considèrent les capacités nécessaires pour décider et gérer les conflits comme plus importantes que les managers de haut niveau.
Les moyennes entreprises partagent des valeurs communes dans les 8 pays
4 sociétés sur 5 ont des valeurs selon leurs managers, et 78 % d'entre eux partagent ces valeurs personnellement. Les 5 premières valeurs nommées par plus de 90 % sont conventionnelles : fiabilité, responsabilité, intégrité, sécurité, identification. Les concepts modernes tels que la viabilité, l'innovation ou l'esprit d'entreprise sont moins souvent cités. Ce qui est inattendu, c'est le caractère universel de ces résultats dans les 8 pays.
Le changement devient partie intégrante des valeurs
L'ouverture à l'égard du changement fait partie des valeurs de la société pour 80%, et 80 % des dirigeants jugent positif le fait d'ancrer << l'ouverture au changement >> en tant que valeur dans leur propre société.
Anders Berge, Directeur général Mercuri Urval BelgiLux commente : << Ces intéressantes prédictions démontrent que les mentalités évoluent : le changement est indispensable. Cependant, il reste beaucoup à faire pour implémenter le changement avec succès. >>
Pour des informations complémentaires sur cette enquête, consultez : mercuriurval.com
Mercuri Urval
Mercuri Urval est un cabinet de conseil international, déployé à travers plus de 80 bureaux répartis dans 24 pays. Mercuri Urval accompagne ses clients dans la mise en oeuvre de leurs stratégies, dans la résolution de leurs problématiques de management, dans l'identification et l'optimisation des capacités de leurs collaborateurs grâce à des services ciblés tels que : Dirigeants et administrateurs, Coaching en entreprise, Evaluation des compétences, Gestion des hauts potentiels, et Recrutement stratégique. Créée en 1967 en Suède, Mercuri Urval est une société indépendante non cotée.
[1] étude méthodologique :
Entre décembre 2010 et janvier 2011, le groupe international de conseil Mercuri Urval a sondé par téléphone, par l'intermédiaire de Reimund Research, 800 responsables de tous niveaux appartenant à des moyennes entreprises en Autriche, Allemagne, Belgique, Italie, France, Pays-Bas,Espagne et de Suisse.
- Les compétences comportementales ou << soft skills >> font la différence
- La gestion du changement fait partie du quotidien des managers
Une étude réalisée dans 8 pays européens par Reimund Research[1], pour la société internationale de management Mercuri Urval, révèle des résultats étonnants quant à l'attitude des managers face au changement au sein de leur société. 80 % des responsables de tous niveaux perçoivent le changement comme un élément nécessaire et positif. 78 % affirment que le changement est un phénomène naturel offrant des opportunités de développement.
Le changement est d'actualité : 74% des PME Belges s'attendent à des changements en 2011
Aujourd'hui le changement fait partie des sociétés : en effet, seules 22 % des sociétés n'ont pas connu de processus de changement au cours des deux dernières années. 60 % des sociétés ont connu des processus de changement en 2010 et 55 % s'attendent à des changements en 2011.
Le changement est une nécessité
Les processus de changement sont considérés comme nécessaires et environ 75 % de l'ensemble des managers s'impliquent personnellement dans les processus de changement. Seuls 10 à 20 % sont généralement sceptiques en ce qui concerne les changements, et moins de 5 % considèrent le processus de changement comme étant une raison de quitter leur société.
Le changement peut booster les carrières
Il existe une profonde compréhension du besoin de changement de la part des managers quels que soit leur niveau de responsabilité. 83,7 % s'accordent sur le fait que << l'ouverture au changement est impérative pour qu'une société survive dans le milieu compétitif actuel >>. Dans le même temps, 58 % des responsables pensent que les processus de changement constituent une bonne opportunité pour les employés de faire évoluer leur carrière.
Une réalisation insuffisante des objectifs Bien que les responsables de moyennes entreprises soient en faveur du changement en général, ils ne sont pas toujours satisfaits de ses conséquences. Sur une échelle de 0 à 100, les responsables ont observé une réalisation des objectifs de seulement 60 %. Les managers Belges sont légèrement plus confiants avec 67%.
Les compétences cruciales : la communication, la motivation et la gestion des conflits
Apparaissent en tête de liste des capacités personnelles nécessaires au changement : la capacité à communiquer, à motiver les autres, à gérer les conflits et la capacité à coopérer. Tout aussi importantes sont les capacités transformant l'engagement personnel en faveur du changement en performances : la volonté de prendre des responsabilités ou d'orienter les objectifs.
Selon leur niveau de responsabilité, les managers ont une vision différente des besoins
Bien plus encore que les managers de niveau inférieur et intermédiaire, les managers de haut niveau de nombreuses sociétés voient la nécessité d'améliorer la flexibilité et le travail collectif en général dans leur organisation, ainsi que d'accroître la motivation à l'égard du changement. D'un autre côté, les managers de niveau inférieur considèrent les capacités nécessaires pour décider et gérer les conflits comme plus importantes que les managers de haut niveau.
Les moyennes entreprises partagent des valeurs communes dans les 8 pays
4 sociétés sur 5 ont des valeurs selon leurs managers, et 78 % d'entre eux partagent ces valeurs personnellement. Les 5 premières valeurs nommées par plus de 90 % sont conventionnelles : fiabilité, responsabilité, intégrité, sécurité, identification. Les concepts modernes tels que la viabilité, l'innovation ou l'esprit d'entreprise sont moins souvent cités. Ce qui est inattendu, c'est le caractère universel de ces résultats dans les 8 pays.
Le changement devient partie intégrante des valeurs
L'ouverture à l'égard du changement fait partie des valeurs de la société pour 80%, et 80 % des dirigeants jugent positif le fait d'ancrer << l'ouverture au changement >> en tant que valeur dans leur propre société.
Anders Berge, Directeur général Mercuri Urval BelgiLux commente : << Ces intéressantes prédictions démontrent que les mentalités évoluent : le changement est indispensable. Cependant, il reste beaucoup à faire pour implémenter le changement avec succès. >>
Pour des informations complémentaires sur cette enquête, consultez : mercuriurval.com
Mercuri Urval
Mercuri Urval est un cabinet de conseil international, déployé à travers plus de 80 bureaux répartis dans 24 pays. Mercuri Urval accompagne ses clients dans la mise en oeuvre de leurs stratégies, dans la résolution de leurs problématiques de management, dans l'identification et l'optimisation des capacités de leurs collaborateurs grâce à des services ciblés tels que : Dirigeants et administrateurs, Coaching en entreprise, Evaluation des compétences, Gestion des hauts potentiels, et Recrutement stratégique. Créée en 1967 en Suède, Mercuri Urval est une société indépendante non cotée.
[1] étude méthodologique :
Entre décembre 2010 et janvier 2011, le groupe international de conseil Mercuri Urval a sondé par téléphone, par l'intermédiaire de Reimund Research, 800 responsables de tous niveaux appartenant à des moyennes entreprises en Autriche, Allemagne, Belgique, Italie, France, Pays-Bas,Espagne et de Suisse.