Le plan français lancé le 13 octobre dernier a pour but de permettre d’améliorer le fonctionnement des marchés de refinancement, en apportant aux banques la liquidité dont elles ont besoin et les fonds propres nécessaires au rétablissement durable de la confiance des opérateurs (Cf. annexe).
Dans le cadre de ce plan, la Société de financement de l’économie française (SFEF) a été créée pour lever des fonds auprès des investisseurs institutionnels avec la garantie de l’Etat et les prêter aux banques. Avec ces ressources, les banques peuvent à leur tour assurer le financement des entreprises et des ménages. Les prêts de la SFEF aux établissements de crédit s’élèveront à 22,5 milliards d’euros à fin janvier 2009.
Par ailleurs, l’Etat a investi 10,5 milliards d’euros dans les fonds propres des banques en 2008, via la Société de prise de participation de l’Etat (SPPE). Il vient d’annoncer une deuxième souscription permettant aux banques d’accroître leurs fonds propres afin de faciliter le financement de l’économie.
Dans un contexte difficile, les banques continuent d’accorder des crédits à leurs clients. A la fin novembre 2008, l’encours global des crédits a progressé de 9 %* à 1720 milliards d’euros en France, soit une progression supérieure à la moyenne européenne 7,1%.
* source Banque de France
www.fbf.fr
Dans le cadre de ce plan, la Société de financement de l’économie française (SFEF) a été créée pour lever des fonds auprès des investisseurs institutionnels avec la garantie de l’Etat et les prêter aux banques. Avec ces ressources, les banques peuvent à leur tour assurer le financement des entreprises et des ménages. Les prêts de la SFEF aux établissements de crédit s’élèveront à 22,5 milliards d’euros à fin janvier 2009.
Par ailleurs, l’Etat a investi 10,5 milliards d’euros dans les fonds propres des banques en 2008, via la Société de prise de participation de l’Etat (SPPE). Il vient d’annoncer une deuxième souscription permettant aux banques d’accroître leurs fonds propres afin de faciliter le financement de l’économie.
Dans un contexte difficile, les banques continuent d’accorder des crédits à leurs clients. A la fin novembre 2008, l’encours global des crédits a progressé de 9 %* à 1720 milliards d’euros en France, soit une progression supérieure à la moyenne européenne 7,1%.
* source Banque de France
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