Les startups tricolores à l’assaut du monde… :
- Un quart du chiffre d’affaires des startups est réalisé à l’international ;
- 1 startup sur 3 réalise la majorité de son chiffre d’affaires à l’international ;
- 98% des startups comptent des clients à l’étranger.
…et championnes de la croissance :
- Les startups affichent une croissance mensuelle moyenne de 8% ;
- Leur chiffre d’affaires est multiplié par 2,2 chaque année ;
- Pour les modèles de l’économie de l’abonnement et les outils logiciels en mode SaaS le chiffre d’affaires est multiplié par 3,7 en moyenne chaque année. Ces startups réalisent 40% de leur chiffre d’affaires à l’international.
Les modèles économiques et les secteurs d’activité plébiscités par les nouveaux entrepreneurs :
- 1 startup sur 3 est une place de marché ;
- 1 startup sur 4 développe un modèle d’abonnement (de type logiciel en mode « Software as a Service (SaaS) », « box » ou “forfait”) ;
- Les secteurs d’activités les plus attractifs sont le retail (16%), les outils logiciels en mode SaaS (10%), et la foodtech (10%), devant la culture et les services à la personnes et aux entreprises (9%) ;
- 40% du chiffre d’affaires de ces startups est réalisé en moyenne sur mobiles.
Les secteurs d’activité qui génèrent la plus forte croissance :
- La foodtech, les outils logiciels en mode SaaS, les services à la personne et aux entreprises multiplient par 3,7 leur chiffre d’affaires chaque année en moyenne (+270% par an) ;
- Ils sont talonnés par le retail (+260%) et la culture (+250%).
Portrait-robot des nouveaux entrepreneurs Français
- 3 entrepreneurs sur 4 n’ont aucune expérience entrepreneuriale quand ils se lancent ;
- 56% des fondateurs sont issus d’une formation scientifique ou d’une école d’ingénieurs ;
- 1 startup sur 4 créée depuis 2015, est fondée ou cofondée par une femme (contre 18% en 2014), soit trois fois plus que ce que l’on observe au sein des sociétés françaises cotées* ;
- Si 39% des startups sont lancées en solo, le binôme s’impose comme la formule gagnante pour 43% d’entres elles.
Suite de l’étude après l’infographie ci-dessous
- Un quart du chiffre d’affaires des startups est réalisé à l’international ;
- 1 startup sur 3 réalise la majorité de son chiffre d’affaires à l’international ;
- 98% des startups comptent des clients à l’étranger.
…et championnes de la croissance :
- Les startups affichent une croissance mensuelle moyenne de 8% ;
- Leur chiffre d’affaires est multiplié par 2,2 chaque année ;
- Pour les modèles de l’économie de l’abonnement et les outils logiciels en mode SaaS le chiffre d’affaires est multiplié par 3,7 en moyenne chaque année. Ces startups réalisent 40% de leur chiffre d’affaires à l’international.
Les modèles économiques et les secteurs d’activité plébiscités par les nouveaux entrepreneurs :
- 1 startup sur 3 est une place de marché ;
- 1 startup sur 4 développe un modèle d’abonnement (de type logiciel en mode « Software as a Service (SaaS) », « box » ou “forfait”) ;
- Les secteurs d’activités les plus attractifs sont le retail (16%), les outils logiciels en mode SaaS (10%), et la foodtech (10%), devant la culture et les services à la personnes et aux entreprises (9%) ;
- 40% du chiffre d’affaires de ces startups est réalisé en moyenne sur mobiles.
Les secteurs d’activité qui génèrent la plus forte croissance :
- La foodtech, les outils logiciels en mode SaaS, les services à la personne et aux entreprises multiplient par 3,7 leur chiffre d’affaires chaque année en moyenne (+270% par an) ;
- Ils sont talonnés par le retail (+260%) et la culture (+250%).
Portrait-robot des nouveaux entrepreneurs Français
- 3 entrepreneurs sur 4 n’ont aucune expérience entrepreneuriale quand ils se lancent ;
- 56% des fondateurs sont issus d’une formation scientifique ou d’une école d’ingénieurs ;
- 1 startup sur 4 créée depuis 2015, est fondée ou cofondée par une femme (contre 18% en 2014), soit trois fois plus que ce que l’on observe au sein des sociétés françaises cotées* ;
- Si 39% des startups sont lancées en solo, le binôme s’impose comme la formule gagnante pour 43% d’entres elles.
Suite de l’étude après l’infographie ci-dessous
Stripe présente une étude exclusive sur la nouvelle vague de l’écosystème français des startups. En collaboration avec la plateforme de market intelligence VB Profiles, Stripe a étudié un panel de 329 startups françaises créées en 2014, 2015 et 2016 et ayant levé des fonds. Cette étude lève le voile sur la réalité de l’activité des jeunes pousses tricolores (ouverture à l’international, croissance économique, modèles économiques, secteurs d’activité), et sur les profils d’une nouvelle génération de fondateurs.
Les startups tricolores décomplexées, à l’assaut du monde
Contrairement aux idées reçues, la nouvelle vague tricolore est résolument tournée vers l’international : en moyenne, ils réalisent un quart de leur chiffre d’affaires à l’international et la quasi totalité (98%) dispose de clients à l’international.
S’attaquer à des marchés étrangers est donc devenu la nouvelle normalité des entrepreneurs français. Leurs marchés privilégiés ? Les Etats-Unis (37%) et l’Europe (30%). Ces deux marchés comptant pour deux tiers de leur chiffre d’affaires.
Qui sont les champions de la croissance ?
Surfant sur leur succès à l’international, les startups étudiées affichent une croissance mensuelle moyenne de 8%, leur permettant de plus que doubler leur chiffre d’affaire chaque année.
Parmi les business models qui tirent leur épingle du jeu : les modèles de l’économie de l’abonnement (de type logiciel en mode « SaaS », « box » ou “forfait”). Leur chiffre d’affaires est multiplié par 3,7 en moyenne chaque année et ces startups réalisent 40% de leur chiffre d’affaires à l’international.
A noter : en moyenne, 40% du chiffre d’affaire des startups est réalisé sur mobile.
« On assiste à l’émergence d’une nouvelle génération d'entrepreneurs français, particulièrement audacieuse, à la pointe de la technologie, et surtout ouverte sur le monde », analyse Guillaume Princen, directeur général France et Europe du Sud de Stripe. « Une dynamique sans précédent est à l’œuvre au sein de l’économie française, portée par de nouveaux talents qui transforment peu à peu notre manière de consommer et créent de la valeur pour tout un écosystème ».
Le top 3 des business models et des secteurs d’activités les plus attractifs
Depuis 2015 on assiste à une montée en puissance rapide des marketplaces (1 entreprise créée sur 3), du Saas (1 entreprise sur 4) et des applications mobiles “à la demande” (1 sur 5). En 2014, les entreprises du e-commerce “traditionnel’ comptaient encore pour 35% des startups créées. Ce chiffre est désormais de 28%.
En matière de secteurs d’activité privilégiés par les entrepreneurs : le retail domine (16%), devant les outils technologiques en mode SaaS (10%) et la foodtech (9,7%)… Suivis de près par la culture et les services à la personne et aux entreprises (9%).
En termes de croissance, les foodtech, les outils technologiques en mode SaaS, les services à la personne et aux entreprises multiplient par 3,7 leur chiffre d’affaires chaque année (+270% par an). Ils sont talonnés par le retail (+260%) et la culture (+250%).
Les startups françaises, un moteur pour l’emploi
Après trois ans d’existence, chaque entreprise a déjà créé une quinzaine d’emplois en moyenne. 15% des startups étudiées emploient même plus de 30 collaborateurs avant de souffler leur troisième bougie.
Formation, âge, sexe : qui sont les nouveaux talents Français ?
Trois entrepreneurs sur quatre se lancent sans aucune expérience entrepreneuriale. 56% des entreprises comptent au moins un fondateur issu d’une formation technique (scientifique ou ingénieur) et seules 24% comptent à la fois des profils techniques et commerciaux.
Si 39% des entrepreneurs sont dirigées par un seul fondateur, c’est bien le binôme qui s’avère la formule gagnante pour 43% des startups étudiées.
Et s’il est encore trop tôt pour parler de véritable tendance de fond, une nouvelle dynamique est à l’œuvre en matière de féminisation. Depuis 2015, 25% des startups étudiées ont été créées ou co-créées par des femmes. Ce chiffre était de 18% en 2014. Ce n’est certes pas encore assez, mais c’est trois fois plus que ce que l’on observe au sein des sociétés françaises cotées*.
« Les barrières à l’entrée pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sont en train de tomber une à une », conclut Guillaume Princen, Directeur général France et Europe du Sud, Stripe. « D’un point de vue technique, il est de plus en plus aisé et de moins en moins cher de proposer une première version de son projet et d’en tester la viabilité. Il est également de plus en plus accessible de se développer à l’international et d’y créer un produit ou un service qui n’a pas d’équivalent. Nous vivons à une époque formidable pour les entrepreneurs français et nous sommes fiers de les aider dans leur accélération ».
*cf. enquête " Existe-t-il un plafond de verre pour les femmes dirigeantes en France ? ", Proxinvest, 2016.
Méthodologie
Cette étude quantitative a été réalisée par Stripe en partenariat avec la plateforme de market intelligence VB Profiles, à partir d’un échantillon de plus de 1500 startups, renseigné à partir d’informations publiques et de données Stripe, dont a été extrait un panel de 329 startups françaises, créées en 2014, 2015 et 2016, ayant annoncé une ou plusieurs levées de fonds, et commercialisant d’ores et déjà leurs produits, notamment en ligne.
A propos de Stripe
Stripe est une plateforme technologique qui permet aux entrepreneurs internet de monétiser leur activité, de basculer sur le mobile, et de se développer en France et à l’international. Créé en 2011, Stripe est l’infrastructure sur laquelle se développent les nouveaux modèles économiques du commerce en ligne (économie à la demande, du partage, marketplaces, commerce mobile…). A ce jour, Stripe travaille avec des centaines de milliers d’entreprises innovantes, et gère des milliards d'euros de transactions par an. En France, plus de deux startups récentes sur trois ont choisi Stripe (parmi lesquelles Drivy, Frichti, Tediber, Clickandboat) ainsi que de nombreux acteurs traditionnels innovants (Champagne Taittinger, MK2, Midas...).
Les startups tricolores décomplexées, à l’assaut du monde
Contrairement aux idées reçues, la nouvelle vague tricolore est résolument tournée vers l’international : en moyenne, ils réalisent un quart de leur chiffre d’affaires à l’international et la quasi totalité (98%) dispose de clients à l’international.
S’attaquer à des marchés étrangers est donc devenu la nouvelle normalité des entrepreneurs français. Leurs marchés privilégiés ? Les Etats-Unis (37%) et l’Europe (30%). Ces deux marchés comptant pour deux tiers de leur chiffre d’affaires.
Qui sont les champions de la croissance ?
Surfant sur leur succès à l’international, les startups étudiées affichent une croissance mensuelle moyenne de 8%, leur permettant de plus que doubler leur chiffre d’affaire chaque année.
Parmi les business models qui tirent leur épingle du jeu : les modèles de l’économie de l’abonnement (de type logiciel en mode « SaaS », « box » ou “forfait”). Leur chiffre d’affaires est multiplié par 3,7 en moyenne chaque année et ces startups réalisent 40% de leur chiffre d’affaires à l’international.
A noter : en moyenne, 40% du chiffre d’affaire des startups est réalisé sur mobile.
« On assiste à l’émergence d’une nouvelle génération d'entrepreneurs français, particulièrement audacieuse, à la pointe de la technologie, et surtout ouverte sur le monde », analyse Guillaume Princen, directeur général France et Europe du Sud de Stripe. « Une dynamique sans précédent est à l’œuvre au sein de l’économie française, portée par de nouveaux talents qui transforment peu à peu notre manière de consommer et créent de la valeur pour tout un écosystème ».
Le top 3 des business models et des secteurs d’activités les plus attractifs
Depuis 2015 on assiste à une montée en puissance rapide des marketplaces (1 entreprise créée sur 3), du Saas (1 entreprise sur 4) et des applications mobiles “à la demande” (1 sur 5). En 2014, les entreprises du e-commerce “traditionnel’ comptaient encore pour 35% des startups créées. Ce chiffre est désormais de 28%.
En matière de secteurs d’activité privilégiés par les entrepreneurs : le retail domine (16%), devant les outils technologiques en mode SaaS (10%) et la foodtech (9,7%)… Suivis de près par la culture et les services à la personne et aux entreprises (9%).
En termes de croissance, les foodtech, les outils technologiques en mode SaaS, les services à la personne et aux entreprises multiplient par 3,7 leur chiffre d’affaires chaque année (+270% par an). Ils sont talonnés par le retail (+260%) et la culture (+250%).
Les startups françaises, un moteur pour l’emploi
Après trois ans d’existence, chaque entreprise a déjà créé une quinzaine d’emplois en moyenne. 15% des startups étudiées emploient même plus de 30 collaborateurs avant de souffler leur troisième bougie.
Formation, âge, sexe : qui sont les nouveaux talents Français ?
Trois entrepreneurs sur quatre se lancent sans aucune expérience entrepreneuriale. 56% des entreprises comptent au moins un fondateur issu d’une formation technique (scientifique ou ingénieur) et seules 24% comptent à la fois des profils techniques et commerciaux.
Si 39% des entrepreneurs sont dirigées par un seul fondateur, c’est bien le binôme qui s’avère la formule gagnante pour 43% des startups étudiées.
Et s’il est encore trop tôt pour parler de véritable tendance de fond, une nouvelle dynamique est à l’œuvre en matière de féminisation. Depuis 2015, 25% des startups étudiées ont été créées ou co-créées par des femmes. Ce chiffre était de 18% en 2014. Ce n’est certes pas encore assez, mais c’est trois fois plus que ce que l’on observe au sein des sociétés françaises cotées*.
« Les barrières à l’entrée pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale sont en train de tomber une à une », conclut Guillaume Princen, Directeur général France et Europe du Sud, Stripe. « D’un point de vue technique, il est de plus en plus aisé et de moins en moins cher de proposer une première version de son projet et d’en tester la viabilité. Il est également de plus en plus accessible de se développer à l’international et d’y créer un produit ou un service qui n’a pas d’équivalent. Nous vivons à une époque formidable pour les entrepreneurs français et nous sommes fiers de les aider dans leur accélération ».
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