La communication bancaire est le domaine de la gestion de trésorerie qui supporte les échanges de flux entre l’entreprise et ses partenaires bancaires. Les changements de règlementation en Europe ont été l’occasion pour beaucoup d’entreprises de rationaliser leurs systèmes d’information bancaires. L’actualité et notamment la récurrence des fraudes au paiement obligent les trésoriers à se reconcentrer autour des enjeux de la communication bancaire.
Sécurité
Une des préoccupations principales du trésorier d’entreprise est la sécurité des moyens de paiement. Non seulement une faille dans les systèmes peut générer un dommage financier direct à l’entreprise, mais elle engage la responsabilité pénale des dirigeants et peut générer un risque d’image pour la société.
Les techniques informatiques permettent la mise en œuvre d’infrastructures garantissant l’intégrité et la confidentialité des données (cryptage des fichiers, utilisation de protocoles réseau chiffrés, de lignes télécom dédiées). Les processus métiers de validation et signature des paiements doivent compléter justement ces techniques. Chaque participant au processus de paiement connait son rôle et opère les contrôles dont il a la responsabilité : validation du bon à payer, contrôle aléatoire des coordonnées bancaires des fournisseurs, vérification détaillée des paiements à destination de pays à risque… Tout l’enjeu de la communication bancaire réside dans l’appréhension simultanée de toutes les composantes techniques et fonctionnelles de ce domaine.
Le trésorier d’entreprise est responsable de l’intégrité du système devant l’imagination et les attaques des fraudeurs. Sa connaissance de la complémentarité des mécanismes techniques et fonctionnels actifs lui permet d’adapter en permanence le niveau de sécurité de son système.
Agilité
La mise en œuvre d’une centrale de paiements concentre les flux bancaires d’une entreprise. Elle donne une vue globale sur sa relation bancaire : gestion du risque de contrepartie, comparaison des services fournis et frais associés. Lorsqu’un système est déployé, l’adaptation de son périmètre à de nouvelles entités, en cas de croissance externe ou de changement de partenaires bancaires, est facilitée et permet au trésorier de répondre aux orientations stratégiques de son entreprise.
Cette nécessaire autonomie est possible grâce à l’utilisation de systèmes de communication bancaire agiles. Le trésorier prend donc garde à utiliser des outils parfaitement configurables, notamment en ce qui concerne les formats d’échanges bancaires. Les solutions en mode SaaS agiles et souples proposent cette autonomie aux trésoriers.
Technicité
Les centrales de paiement ne sont pas des commodités : les compétences requises pour leur mise en œuvre, ainsi que les budgets afférents en sont témoins. Certes, en Europe, le régulateur a considérablement participé à l’homogénéisation des échanges et donc à la simplification des systèmes et de leur déploiement. Mais les banques restent des structures qui, dans un monde concurrentiel, doivent se démarquer auprès de leurs clients proposant des offres différentiantes et adaptées à leurs contraintes.
Le choix d’un service de communication bancaire n’est pas neutre, les besoins des entreprises ne sont jamais standards et le « tout intégré » ne doit pas être un masque à une appréhension précise des composants de la solution et donc des risques afférents.
Le trésorier connaît la technicité de la communication bancaire – le nombre de formations sur les moyens de paiements et les systèmes d’information proposées par l’AFTE en témoigne – et maîtrise le fonctionnement de « ses » systèmes pour en appréhender le risque. De bout-en-bout il connaît l’infrastructure technique utilisée, les contrôles opérés par les signataires et les schémas d’écritures utilisés lors du rapprochement bancaire.
Les trésoriers ont besoin de plateformes de communication bancaire qui leur permettent un « time-to-market » réduit et maîtrisé. Leur connaissance bicéphale du fonctionnement de leurs systèmes, par la technique et les processus métiers, garantit la sécurité et l’évolutivité de leurs solutions.
Eric GAYNO, Services Thétys
aca.fr
Sécurité
Une des préoccupations principales du trésorier d’entreprise est la sécurité des moyens de paiement. Non seulement une faille dans les systèmes peut générer un dommage financier direct à l’entreprise, mais elle engage la responsabilité pénale des dirigeants et peut générer un risque d’image pour la société.
Les techniques informatiques permettent la mise en œuvre d’infrastructures garantissant l’intégrité et la confidentialité des données (cryptage des fichiers, utilisation de protocoles réseau chiffrés, de lignes télécom dédiées). Les processus métiers de validation et signature des paiements doivent compléter justement ces techniques. Chaque participant au processus de paiement connait son rôle et opère les contrôles dont il a la responsabilité : validation du bon à payer, contrôle aléatoire des coordonnées bancaires des fournisseurs, vérification détaillée des paiements à destination de pays à risque… Tout l’enjeu de la communication bancaire réside dans l’appréhension simultanée de toutes les composantes techniques et fonctionnelles de ce domaine.
Le trésorier d’entreprise est responsable de l’intégrité du système devant l’imagination et les attaques des fraudeurs. Sa connaissance de la complémentarité des mécanismes techniques et fonctionnels actifs lui permet d’adapter en permanence le niveau de sécurité de son système.
Agilité
La mise en œuvre d’une centrale de paiements concentre les flux bancaires d’une entreprise. Elle donne une vue globale sur sa relation bancaire : gestion du risque de contrepartie, comparaison des services fournis et frais associés. Lorsqu’un système est déployé, l’adaptation de son périmètre à de nouvelles entités, en cas de croissance externe ou de changement de partenaires bancaires, est facilitée et permet au trésorier de répondre aux orientations stratégiques de son entreprise.
Cette nécessaire autonomie est possible grâce à l’utilisation de systèmes de communication bancaire agiles. Le trésorier prend donc garde à utiliser des outils parfaitement configurables, notamment en ce qui concerne les formats d’échanges bancaires. Les solutions en mode SaaS agiles et souples proposent cette autonomie aux trésoriers.
Technicité
Les centrales de paiement ne sont pas des commodités : les compétences requises pour leur mise en œuvre, ainsi que les budgets afférents en sont témoins. Certes, en Europe, le régulateur a considérablement participé à l’homogénéisation des échanges et donc à la simplification des systèmes et de leur déploiement. Mais les banques restent des structures qui, dans un monde concurrentiel, doivent se démarquer auprès de leurs clients proposant des offres différentiantes et adaptées à leurs contraintes.
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