En 2016, les Français ont acheté plus d’un million de wearables (smartwatches et trackers d’activité), en hausse de +28% par rapport à 2015. Le marché atteint ainsi 253 millions € à +20%. Si le chiffre d’affaires généré est légèrement en deçà des prévisions, celui-ci s’explique en partie par une légère baisse de prix moyen des smartwatches (-7%) et des montres de sport (-9%).
En termes de parc installé, tous les Français ne sont pas égaux sur le marché des wearables, le bassin parisien concentrant 42% des possesseurs de wearables, tous types confondus. Cela s’explique par une plus grande offre de magasins spécialisés, ou dotés de rayons IoT spécifiques, et une population plus urbaine à fort pouvoir d’achat.
Les clefs d’un succès consommateur : travailler la notoriété et les bénéfices santé
Dans le cadre de la REC, GfK a analysé le rapport et les attentes des consommateurs français vis-à-vis des Wearables.
Fait notable : la notoriété des smartwatches et trackers d’activité n’a pas augmenté depuis l’année dernière. Ainsi, les trackers affichent un (modeste) score de notoriété de 36% en 2016, proportion qui monte à près d’1 consommateur sur 2 pour la smartwatch (48%). « Cette notoriété stagnante est un premier frein à l’appropriation massive des Wearables par les consommateurs français » analyse Michaël Matthieu, Directeur des Marchés Image et Telecom chez GFK.
D’autre part, les Wearables peinent encore à convaincre le Grand Public de leurs bénéfices en matière de santé. En effet, 52% des individus interrogés envisagent les wearables comme une aide pour rester en bonne santé, hors, cette exigence ne semble pas satisfaite. En effet, 1 tiers des individus peu intéressés par un wearable (37% côté trackers, 36% côté Smartwatch), émettent des doutes quant à la capacité de ces produits à améliorer leur santé.
Dans cette configuration, le prix est un obstacle de plus avec 31% des consommateurs réticents à l’achat d’un tracker (36% pour la Smartwatch).
Ainsi, la pédagogie autour des produits et de leurs bénéfices utilisateurs est un facteur clé de décision en point de vente.
Les analyses issues de la REC mettent en avant les points déterminants dans la décision d’achat de wearables : la largeur d’assortiment, la qualité du conseil ainsi que les tests produits en magasins. « En activant ces leviers et en misant sur la pédagogie, notamment sur la valeur ajoutée santé, les marques seront à même de lever les freins à l’achat et à enclencher une vraie démocratisation des Wearables en France », décrypte Michaël Matthieu.
A propos de l’étude Référence des Equipements Connectés (REC)
La Référence des Equipements Connectés est une étude du groupe. Mêlant données des panels distributeurs et études consommateurs auprès 10 000 foyers, la REC propose une vision unique de l’équipement des foyers français en biens techniques. La REC offre également des volets trimestriels IoT dédié aux Wearables et au Smart Home.
En termes de parc installé, tous les Français ne sont pas égaux sur le marché des wearables, le bassin parisien concentrant 42% des possesseurs de wearables, tous types confondus. Cela s’explique par une plus grande offre de magasins spécialisés, ou dotés de rayons IoT spécifiques, et une population plus urbaine à fort pouvoir d’achat.
Les clefs d’un succès consommateur : travailler la notoriété et les bénéfices santé
Dans le cadre de la REC, GfK a analysé le rapport et les attentes des consommateurs français vis-à-vis des Wearables.
Fait notable : la notoriété des smartwatches et trackers d’activité n’a pas augmenté depuis l’année dernière. Ainsi, les trackers affichent un (modeste) score de notoriété de 36% en 2016, proportion qui monte à près d’1 consommateur sur 2 pour la smartwatch (48%). « Cette notoriété stagnante est un premier frein à l’appropriation massive des Wearables par les consommateurs français » analyse Michaël Matthieu, Directeur des Marchés Image et Telecom chez GFK.
D’autre part, les Wearables peinent encore à convaincre le Grand Public de leurs bénéfices en matière de santé. En effet, 52% des individus interrogés envisagent les wearables comme une aide pour rester en bonne santé, hors, cette exigence ne semble pas satisfaite. En effet, 1 tiers des individus peu intéressés par un wearable (37% côté trackers, 36% côté Smartwatch), émettent des doutes quant à la capacité de ces produits à améliorer leur santé.
Dans cette configuration, le prix est un obstacle de plus avec 31% des consommateurs réticents à l’achat d’un tracker (36% pour la Smartwatch).
Ainsi, la pédagogie autour des produits et de leurs bénéfices utilisateurs est un facteur clé de décision en point de vente.
Les analyses issues de la REC mettent en avant les points déterminants dans la décision d’achat de wearables : la largeur d’assortiment, la qualité du conseil ainsi que les tests produits en magasins. « En activant ces leviers et en misant sur la pédagogie, notamment sur la valeur ajoutée santé, les marques seront à même de lever les freins à l’achat et à enclencher une vraie démocratisation des Wearables en France », décrypte Michaël Matthieu.
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Laurent Leloup
Fondateur Finyear Group
Auteur de "Blockchain, la révolution de la confiance"
Membre d'honneur du Cercle TURGOT.
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