La crise américaine du crédit a signifié la fin de la conjoncture économique favorable à l’Occident. Cependant, les économies émergentes se portent actuellement mieux que lors des précédentes périodes de crise. La plupart des marchés émergents et en développement ont en effet tiré les leçons de la crise asiatique de la fin des années nonante. Certains pays ont profité, en tant qu’exportateurs, des prix plus élevés du pétrole, des matières premières et des produits de base. Ils ont utilisé ces revenus afin d’améliorer considérablement leurs liquidités. Les réserves en devises ont augmenté et les balances commerciales de la plupart des marchés émergents ont évolué positivement. La diminution des risques politiques ces dernières années s’est traduite par l’amélioration de la classification pays de la SA Ducroire pour les risques politiques à court terme.
La plupart des pays sont donc capables de faire face à des chocs temporaires. En outre, de nombreux pays, y compris en Amérique latine, sont devenus moins dépendants des Etats-Unis. En Asie, le commerce intra-régional a gagné en importance. Mais ce commerce concerne toutefois principalement des biens intermédiaires dont la destination finale est souvent les Etats-Unis, l’UE ou le Japon. Une lourde crise économique à l’Occident pourrait ainsi, après quelque temps, se propager aux économies émergentes. La SA Ducroire ne s'attend toutefois pas encore en 2008 à une forte augmentation du nombre de retards de paiement. Il n’empêche que les pays dont le cadre institutionnel est relativement faible et qui importent des produits alimentaires et énergétiques peuvent être sérieusement touchés par une extension de la crise économique (du crédit).
Les entreprises privées ont également le vent en poupe, notamment grâce à la forte croissance économique et aux faibles taux d'intérêt. Toutefois, les risques commerciaux n’ont pas connu la même amélioration que les risques politiques au cours des dernières années. Le secteur privé est donc moins en mesure de résister aux éventuelles conséquences de la crise du crédit. De plus, les prévisions de croissance sont revues à la baisse et on s'attend à une augmentation des taux d'intérêt.
Si l’économie mondiale entre en récession, le nombre de non-paiements et de faillites augmentera considérablement. Dans ce cas, la SA Ducroire ne s’attend pas uniquement à des difficultés pour les marchés émergents en Afrique mais aussi dans d’autres régions. La Turquie et l’Afrique du Sud pourraient être les premiers à ressentir la crise du crédit.
La SA Ducroire suit les évolutions économiques de près et devra certainement apporter des modifications à la politique d’acceptation pour certains pays dans les mois et les années à venir. Ces modifications ont lieu sur base d’une analyse détaillée pays par pays. Du fait des prévisions incertaines et de la pénurie croissante sur les marchés financiers, l’importance de l’assurance-crédit est grandissante. Il va de soi que la SA Ducroire est prête à protéger ses clients contre les risques politiques et commerciaux.
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La plupart des pays sont donc capables de faire face à des chocs temporaires. En outre, de nombreux pays, y compris en Amérique latine, sont devenus moins dépendants des Etats-Unis. En Asie, le commerce intra-régional a gagné en importance. Mais ce commerce concerne toutefois principalement des biens intermédiaires dont la destination finale est souvent les Etats-Unis, l’UE ou le Japon. Une lourde crise économique à l’Occident pourrait ainsi, après quelque temps, se propager aux économies émergentes. La SA Ducroire ne s'attend toutefois pas encore en 2008 à une forte augmentation du nombre de retards de paiement. Il n’empêche que les pays dont le cadre institutionnel est relativement faible et qui importent des produits alimentaires et énergétiques peuvent être sérieusement touchés par une extension de la crise économique (du crédit).
Les entreprises privées ont également le vent en poupe, notamment grâce à la forte croissance économique et aux faibles taux d'intérêt. Toutefois, les risques commerciaux n’ont pas connu la même amélioration que les risques politiques au cours des dernières années. Le secteur privé est donc moins en mesure de résister aux éventuelles conséquences de la crise du crédit. De plus, les prévisions de croissance sont revues à la baisse et on s'attend à une augmentation des taux d'intérêt.
Si l’économie mondiale entre en récession, le nombre de non-paiements et de faillites augmentera considérablement. Dans ce cas, la SA Ducroire ne s’attend pas uniquement à des difficultés pour les marchés émergents en Afrique mais aussi dans d’autres régions. La Turquie et l’Afrique du Sud pourraient être les premiers à ressentir la crise du crédit.
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