Le Club Finance de l’ORSE a initié avec ses membres une réflexion collective associant des représentants des directions de développement durable et des directions des risques pour déterminer dans quelle mesure les risques ESG pouvaient aider à une meilleure compréhension des risques opérationnels*.
Le groupe de travail a procédé à un rapprochement entre le référentiel Bâle II pour les risques opérationnels et l’ISO 26000 (et sa déclinaison sous forme d’indicateurs répertoriés par le GRI et l’EFFAS) pour les risques ESG. Ce travail a débouché sur la rédaction d’un guide pratique montrant les interactions entre ces deux catégories de risques, les points de recouvrement, ou au contraire les écarts.
Selon Daniel Lebègue, Président de l’ORSE : « Ce guide permet un double enrichissement. D’une part, il complète les référentiels des directions des risques en leur apportant un éclairage complémentaire à travers le prisme ESG. D’autre part, il vient compléter l’approche des analystes extra financiers et des agences de notation extra financière qui ne couvrent pas systématiquement les questions liées aux risques opérationnels ».
* Le groupe de travail s’est appuyé sur la nomenclature des risques opérationnels définis par le Comité de Bâle « Bâle 2 » (document de référence pour les banques).
Pour télécharger le guide (PDF 40 pages en français) :
www.orse.org/maj/upload/document/document_862.pdf
Le groupe de travail a procédé à un rapprochement entre le référentiel Bâle II pour les risques opérationnels et l’ISO 26000 (et sa déclinaison sous forme d’indicateurs répertoriés par le GRI et l’EFFAS) pour les risques ESG. Ce travail a débouché sur la rédaction d’un guide pratique montrant les interactions entre ces deux catégories de risques, les points de recouvrement, ou au contraire les écarts.
Selon Daniel Lebègue, Président de l’ORSE : « Ce guide permet un double enrichissement. D’une part, il complète les référentiels des directions des risques en leur apportant un éclairage complémentaire à travers le prisme ESG. D’autre part, il vient compléter l’approche des analystes extra financiers et des agences de notation extra financière qui ne couvrent pas systématiquement les questions liées aux risques opérationnels ».
* Le groupe de travail s’est appuyé sur la nomenclature des risques opérationnels définis par le Comité de Bâle « Bâle 2 » (document de référence pour les banques).
Pour télécharger le guide (PDF 40 pages en français) :
www.orse.org/maj/upload/document/document_862.pdf