Cette société fantomatique prétend diffuser des publicités pour des particuliers, exerçant souvent des professions libérales, des entreprises la plupart PME et des associations, et cela sur des CD-ROM dont on ne sait ni où ni comment ils sont vendus...
En revanche, les personnes physiques et morales qui se laissent abuser reçoivent après coup une facture allant de plusieurs centaines à quelques milliers d'euros...
Ce groupe d'escrocs a l'art de changer de peau, en déménageant et en trouvant de nouveaux noms de siège social, comme Annuaire Pro, un nom hélas passe-partout... En Espagne, condamné à Barcelone, il s'est installé plus au Sud, à Valence, échappant à la justice catalane mais vite repéré à nouveau. Une autre équipe agit depuis la Slovaquie...
Fin janvier dernier, le groupe espagnol a lancé une mise en demeure de payer à une association française d'artistes en passant par un « Bureau de recouvrement de créances » basé à Vienne, en Autriche. Ce cabinet, qui ne possède aucune licence légale, emploie seulement deux employés, nullement autrichiens mais l'un britannique et l'autre indien... Il relaye plusieurs autres officines de pression et de chantage, comme « Premium Recovery », également repérée par la police.
Des plaintes ont été déposées par des citoyens de nombreux pays européens contre ce réseau international de mafieux. Et les enquêtes se poursuivent à son sujet.
Source : http://www.echos-judiciaires.com
En revanche, les personnes physiques et morales qui se laissent abuser reçoivent après coup une facture allant de plusieurs centaines à quelques milliers d'euros...
Ce groupe d'escrocs a l'art de changer de peau, en déménageant et en trouvant de nouveaux noms de siège social, comme Annuaire Pro, un nom hélas passe-partout... En Espagne, condamné à Barcelone, il s'est installé plus au Sud, à Valence, échappant à la justice catalane mais vite repéré à nouveau. Une autre équipe agit depuis la Slovaquie...
Fin janvier dernier, le groupe espagnol a lancé une mise en demeure de payer à une association française d'artistes en passant par un « Bureau de recouvrement de créances » basé à Vienne, en Autriche. Ce cabinet, qui ne possède aucune licence légale, emploie seulement deux employés, nullement autrichiens mais l'un britannique et l'autre indien... Il relaye plusieurs autres officines de pression et de chantage, comme « Premium Recovery », également repérée par la police.
Des plaintes ont été déposées par des citoyens de nombreux pays européens contre ce réseau international de mafieux. Et les enquêtes se poursuivent à son sujet.
Source : http://www.echos-judiciaires.com