- 72 % des dirigeants interrogés sont confiants ou très confiants concernant leurs perspectives économiques.
- L’innovation, facteur-clef de réussite des entreprises familiales, 3ème sur le podium de leurs priorités.
- Pour plus d’un tiers des entreprises, la « guerre des talents » constitue un défi majeur.
- Entre transmission familiale et ouverture vers l’extérieur : comment trouver la juste combinaison ?
72 % des dirigeants interrogés sont confiants ou très confiants concernant leurs perspectives économiques.
Le marché des entreprises familiales confirme sa bonne santé : 54 % des entreprises interrogées annoncent une augmentation de leur chiffre d’affaires cette année, et 83 % prévoient une croissance supérieure pour l’année prochaine. Une tendance positive qui n’est cependant pas épargnée par des disparités entre les entreprises, selon leur taille. Si 74 % des grandes entreprises voient leurs ventes augmenter, le chiffre atteint 57 % chez les entreprises de tailles intermédiaires (ETI) ; il passe à 47 % pour les petites entreprises (1).
72 % des dirigeants interrogés sont confiants ou très confiants concernant leurs perspectives économiques pour les douze mois à venir (17 % sont « très confiants » ; 55 % « confiants »). S’il s’agit d’une légère baisse par rapport à 2015 (perte de 3 points), les entreprises familiales évoluent dans une dynamique de confiance positive : 54 % des entreprises se déclaraient confiantes en 2013, passant à 70 % en 2014. Ce climat s’explique par divers facteurs, notamment la maturité croissante des entreprises familiales et le contexte favorable en termes de financement.
- L’innovation, facteur-clef de réussite des entreprises familiales, 3ème sur le podium de leurs priorités.
- Pour plus d’un tiers des entreprises, la « guerre des talents » constitue un défi majeur.
- Entre transmission familiale et ouverture vers l’extérieur : comment trouver la juste combinaison ?
72 % des dirigeants interrogés sont confiants ou très confiants concernant leurs perspectives économiques.
Le marché des entreprises familiales confirme sa bonne santé : 54 % des entreprises interrogées annoncent une augmentation de leur chiffre d’affaires cette année, et 83 % prévoient une croissance supérieure pour l’année prochaine. Une tendance positive qui n’est cependant pas épargnée par des disparités entre les entreprises, selon leur taille. Si 74 % des grandes entreprises voient leurs ventes augmenter, le chiffre atteint 57 % chez les entreprises de tailles intermédiaires (ETI) ; il passe à 47 % pour les petites entreprises (1).
72 % des dirigeants interrogés sont confiants ou très confiants concernant leurs perspectives économiques pour les douze mois à venir (17 % sont « très confiants » ; 55 % « confiants »). S’il s’agit d’une légère baisse par rapport à 2015 (perte de 3 points), les entreprises familiales évoluent dans une dynamique de confiance positive : 54 % des entreprises se déclaraient confiantes en 2013, passant à 70 % en 2014. Ce climat s’explique par divers facteurs, notamment la maturité croissante des entreprises familiales et le contexte favorable en termes de financement.
L’innovation, facteur-clef de réussite des entreprises familiales, 3ème sur le podium de leurs priorités
L’humain et l’innovation constituent l’un des plus importants moteurs de la réussite des entreprises familiales. L’importance croissante de ces deux facteurs de réussite explique le niveau élevé de dépenses d’investissement qui leur sont dédiées.
Si les grandes priorités des entreprises familiales sont assez logiquement celles de la rentabilité et du chiffre d’affaires (respectivement 57 et 34 % des réponses), l’innovation se taille une part de choix sur le podium de 2016 : elle est citée par 25 % des répondants comme la 3ème priorité identifiée pour leur entreprise. Elle est suivie de près par l’internationalisation et la recherche de talents.
L’humain et l’innovation constituent l’un des plus importants moteurs de la réussite des entreprises familiales. L’importance croissante de ces deux facteurs de réussite explique le niveau élevé de dépenses d’investissement qui leur sont dédiées.
Si les grandes priorités des entreprises familiales sont assez logiquement celles de la rentabilité et du chiffre d’affaires (respectivement 57 et 34 % des réponses), l’innovation se taille une part de choix sur le podium de 2016 : elle est citée par 25 % des répondants comme la 3ème priorité identifiée pour leur entreprise. Elle est suivie de près par l’internationalisation et la recherche de talents.
Pour plus d’un tiers des entreprises, la « guerre des talents » constitue un défi majeur
La « guerre des talents » est identifiée comme l’une des trois principales difficultés des entreprises familiales (37 %), à égalité avec l’instabilité politique (37 %) et la concurrence accrue (36 %). Si elle a gagné en importance au cours des quatre dernières éditions du baromètre - en 2013, elle ne figurait pas parmi leurs cinq principales sources d’inquiétude - cette course aux talents constitue véritablement en 2016 le plus grand défi des entreprises familiales.
Les dirigeants d’entreprises familiales savent que l’humain est leur principal atout. Pour dénicher et retenir les talents, ils consacrent une part significative de leurs dépenses aux nouvelles embauches et à la formation. Les performances futures des entreprises, et notamment celles des plus petites d’entre elles, pourraient en effet être affectées par leur difficulté à attirer des talents. Parmi les répondants indiquant avoir un plan d’investissement (73 %), les investissements menés en faveur du recrutement et de la formation arrivent en 3ème position (47 %).
Quels types d’investissements envisagez-vous de réaliser ?
La « guerre des talents » est identifiée comme l’une des trois principales difficultés des entreprises familiales (37 %), à égalité avec l’instabilité politique (37 %) et la concurrence accrue (36 %). Si elle a gagné en importance au cours des quatre dernières éditions du baromètre - en 2013, elle ne figurait pas parmi leurs cinq principales sources d’inquiétude - cette course aux talents constitue véritablement en 2016 le plus grand défi des entreprises familiales.
Les dirigeants d’entreprises familiales savent que l’humain est leur principal atout. Pour dénicher et retenir les talents, ils consacrent une part significative de leurs dépenses aux nouvelles embauches et à la formation. Les performances futures des entreprises, et notamment celles des plus petites d’entre elles, pourraient en effet être affectées par leur difficulté à attirer des talents. Parmi les répondants indiquant avoir un plan d’investissement (73 %), les investissements menés en faveur du recrutement et de la formation arrivent en 3ème position (47 %).
Quels types d’investissements envisagez-vous de réaliser ?
Entre transmission familiale et ouverture vers l’extérieur : comment trouver la juste combinaison ?
Résolument tournées vers l’avenir, les entreprises familiales se posent la question logique de la transmission : leur stratégie principale vise à faciliter la transmission de la direction opérationnelle à la nouvelle génération (18 %) ; la 2ème préoccupation stratégique concerne le recrutement d’un PDG extérieur à la famille (10 %). Si 74 % des entreprises familiales emploient des cadres dirigeants extérieurs, l’objectif est d’arriver à l’équilibre famille/externe qui fonctionnera le mieux. Un autre chiffre qui confirme cette tendance : 92 % des entreprises familiales accordent une grande importance à la communication intergénérationnelle au sein de l’entreprise.
Pour Christophe Bernard, Associé KPMG, Global Head of KPMG Family Business : « Malgré le contexte morose des marchés européens, il est encourageant de voir que les entreprises familiales demeurent confiantes dans leurs perspectives d’avenir. Les propriétaires d’entreprises familiales semblent avoir trouvé la clef d’un modèle économique réussi : tout en s’appuyant activement sur une structure traditionnelle et une forte culture d’entreprise, ils n’oublient pas de se confronter aux enjeux du marché, grâce à une politique dynamique de recrutement des talents. Une combinaison réussie qui leur permet d’affronter dans les meilleures conditions les enjeux propres à leur marché. »
Méthodologie de l’étude
Le baromètre européen des entreprises familiales est rédigé sur la base des réponses issues de 959 questionnaires reçus d’entreprises familiales européennes à travers 23 pays européens du 1er mai au 30 juin 2016. Il s’agit des pays suivants : Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Chypre, Croatie, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Royaume-Uni, Slovaquie et Suède.
Profil des répondants
Résolument tournées vers l’avenir, les entreprises familiales se posent la question logique de la transmission : leur stratégie principale vise à faciliter la transmission de la direction opérationnelle à la nouvelle génération (18 %) ; la 2ème préoccupation stratégique concerne le recrutement d’un PDG extérieur à la famille (10 %). Si 74 % des entreprises familiales emploient des cadres dirigeants extérieurs, l’objectif est d’arriver à l’équilibre famille/externe qui fonctionnera le mieux. Un autre chiffre qui confirme cette tendance : 92 % des entreprises familiales accordent une grande importance à la communication intergénérationnelle au sein de l’entreprise.
Pour Christophe Bernard, Associé KPMG, Global Head of KPMG Family Business : « Malgré le contexte morose des marchés européens, il est encourageant de voir que les entreprises familiales demeurent confiantes dans leurs perspectives d’avenir. Les propriétaires d’entreprises familiales semblent avoir trouvé la clef d’un modèle économique réussi : tout en s’appuyant activement sur une structure traditionnelle et une forte culture d’entreprise, ils n’oublient pas de se confronter aux enjeux du marché, grâce à une politique dynamique de recrutement des talents. Une combinaison réussie qui leur permet d’affronter dans les meilleures conditions les enjeux propres à leur marché. »
Méthodologie de l’étude
Le baromètre européen des entreprises familiales est rédigé sur la base des réponses issues de 959 questionnaires reçus d’entreprises familiales européennes à travers 23 pays européens du 1er mai au 30 juin 2016. Il s’agit des pays suivants : Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Chypre, Croatie, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Royaume-Uni, Slovaquie et Suède.
Profil des répondants
(1) Les grandes entreprises sont définies comme ayant un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions € ; les ETI ont un chiffre d’affaires compris entre 10 et 50 millions € ; les petites entreprises ont, elles, un chiffre d’affaires inférieur à 10 millions € (Définition de l’Union européenne).
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