Dans cette logique, le traitement physique des chèques en agence bancaire est un sujet d’actualité. En effet, chronophage et ne générant aucun avantage concurrentiel entre les banques, le processus nécessite d’être amélioré tout en tenant compte des enjeux d’encaissement des remettants.
Vers une recherche d’industrialisation
Une réflexion de fond est menée au sein de certains groupes bancaires qui ont acté l’arrêt de la numérisation des chèques dans les agences bancaires et qui repensent le mode de gestion des petits et moyens remettants. Concrètement, l’un des objectifs consiste à mettre à disposition de leurs clients de nouveaux services de digitalisation pour accélérer leurs opérations de remises de chèques. Les remettants entreprises peuvent alors diminuer la charge administrative liée au traitement des chèques, maîtriser leur crédit en compte mais également gagner en traçabilité sur l’intégralité de processus de gestion. L’avantage est alors double, que ce soit pour les banques (optimisation du traitement) ou pour les entreprises (traçabilité et maîtrise des dates de valeur).
Une plateforme de gestion pour mutualiser le service
Pour mener à bien ces opérations de gestion de chèques, certains établissements bancaires étudient l’intérêt de s’appuyer sur un gestionnaire centralisé qui permettrait de standardiser un mode de traitement, mais également de procéder à des économies d’échelles très significatives. Cette orientation démontre que le marché est en mutation et que des solutions doivent être trouvées.
Il est donc incontournable de continuer à investir sur ce marché présenté en « décroissance » et pourtant stratégique si l’on tient compte qu’environ 2 milliards de chèques sont signés chaque année en France. En ce sens, des coopérations de grande envergure doivent être menées entre les acteurs bancaires et des opérateurs spécialisés. C’est à cette condition que de véritables avancées pourront être trouvées et que des nouvelles solutions pourront émerger pour gérer l’encaissement des chèques à l’avenir.
La gestion des chèques continue et va donc continuer d’occuper une place centrale dans les plans de modernisation des établissements bancaires.
Par Arnaud DUBOIS, Directeur Commercial d’Orone
Vers une recherche d’industrialisation
Une réflexion de fond est menée au sein de certains groupes bancaires qui ont acté l’arrêt de la numérisation des chèques dans les agences bancaires et qui repensent le mode de gestion des petits et moyens remettants. Concrètement, l’un des objectifs consiste à mettre à disposition de leurs clients de nouveaux services de digitalisation pour accélérer leurs opérations de remises de chèques. Les remettants entreprises peuvent alors diminuer la charge administrative liée au traitement des chèques, maîtriser leur crédit en compte mais également gagner en traçabilité sur l’intégralité de processus de gestion. L’avantage est alors double, que ce soit pour les banques (optimisation du traitement) ou pour les entreprises (traçabilité et maîtrise des dates de valeur).
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Pour mener à bien ces opérations de gestion de chèques, certains établissements bancaires étudient l’intérêt de s’appuyer sur un gestionnaire centralisé qui permettrait de standardiser un mode de traitement, mais également de procéder à des économies d’échelles très significatives. Cette orientation démontre que le marché est en mutation et que des solutions doivent être trouvées.
Il est donc incontournable de continuer à investir sur ce marché présenté en « décroissance » et pourtant stratégique si l’on tient compte qu’environ 2 milliards de chèques sont signés chaque année en France. En ce sens, des coopérations de grande envergure doivent être menées entre les acteurs bancaires et des opérateurs spécialisés. C’est à cette condition que de véritables avancées pourront être trouvées et que des nouvelles solutions pourront émerger pour gérer l’encaissement des chèques à l’avenir.
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