La Confédération tient aujourd'hui à dénoncer les conditions d'application de cette loi qui, une fois de plus, créera une inégalité entre les administrations, les grandes entreprises d'une part, et les PME/TPE d'autre part, ces dernières se trouvant dans l'incapacité matérielle de prendre en charge le versement de ces cotisations et "d'offrir" cette journée à leurs salariés.
En outre, la CGPME réclame la levée de l'interdiction faite aux transporteurs de circuler le lundi de Pentecôte désormais considéré comme une journée travaillée.
Par ailleurs, la Confédération rappelle avec la plus grande force que les sommes indécentes affichées comme rémunération par certains dirigeants du CAC 40 ne correspondent en aucune façon aux salaires des patrons de PME qui se battent au quotidien pour faire vivre et développer une entreprise.
Il est inacceptable que les protections données aux uns, les excès des autres laissent progressivement s'installer une France à deux vitesses, au détriment des PME/TPE principales créatrices de richesses et d'emplois.
Site web CGPME
En outre, la CGPME réclame la levée de l'interdiction faite aux transporteurs de circuler le lundi de Pentecôte désormais considéré comme une journée travaillée.
Par ailleurs, la Confédération rappelle avec la plus grande force que les sommes indécentes affichées comme rémunération par certains dirigeants du CAC 40 ne correspondent en aucune façon aux salaires des patrons de PME qui se battent au quotidien pour faire vivre et développer une entreprise.
Il est inacceptable que les protections données aux uns, les excès des autres laissent progressivement s'installer une France à deux vitesses, au détriment des PME/TPE principales créatrices de richesses et d'emplois.
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