Ainsi, en septembre, malgré la forte hausse des cours pétroliers, les prix à la consommation n’ont augmenté que de 0,1 %. Dans la mesure où, en septembre 2006, ces mêmes prix avaient baissé de 0,2 %, le glissement annuel se tend légèrement, passant de 1,2 % le mois dernier à désormais 1,5 %, c’est-à-dire bien loin de la fameuse barre des 2 % fixée arbitrairement par la BCE.
Comme nous l'expliquons ci-après, le grand perdant de la faiblesse de l’inflation est bien entendu l’emploi. Et, sans emploi, le pouvoir d’achat reste faible et la croissance avec. On ne le dira jamais assez : mieux vaut une inflation de 2,5 % avec une croissance réelle (c’est-à-dire hors inflation) de 3 %, qu’une inflation à 1,5 % et une croissance à 1,8 %, comme nous sommes en train de le subir depuis trop longtemps en France et dans la zone euro…
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Comme nous l'expliquons ci-après, le grand perdant de la faiblesse de l’inflation est bien entendu l’emploi. Et, sans emploi, le pouvoir d’achat reste faible et la croissance avec. On ne le dira jamais assez : mieux vaut une inflation de 2,5 % avec une croissance réelle (c’est-à-dire hors inflation) de 3 %, qu’une inflation à 1,5 % et une croissance à 1,8 %, comme nous sommes en train de le subir depuis trop longtemps en France et dans la zone euro…
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