Comment les Directeurs des Ressources Humaines français utilisent-ils les réseaux sociaux pour recruter ? Quels sont les types de postes les plus concernés, leurs réseaux favoris ? Robert Half, leader mondial du recrutement spécialisé, livre une étude exclusive* dont les résultats – édifiants – peuvent aider les candidats dans leurs recherches d’emploi.
1. Soigner ses profils Facebook, LinkedIn et Twitter
Lorsqu’ils ont sélectionné un candidat, les DRH, ont le réflexe de consulter ses profils sur les réseaux sociaux. Seuls 25% déclarent ne jamais regarder ces profils avant de contacter ou rencontrer un candidat. 50,5% des DRH le font, soit souvent (39,5%) ou toujours (11%).
LinkedIn a très souvent une finalité professionnelle alors que Facebook relève plutôt de la sphère personnelle. A moins d’avoir choisi de limiter l’accès, les profils/publications sont consultables par tous, y compris par des employeurs potentiels : ils font partie intégrante de l’image publique des candidats. C’est pourquoi, il est indispensable de limiter l’accès de ces réseaux personnels (à réserver aux amis et à la famille) et de veiller à ce que le contenu de ces réseaux professionnels ne puisse pas porter préjudice.
2. Les DRH privilégient d’abord les voies classiques pour recruter
Si les réseaux sociaux offrent une visibilité aux candidats, les DRH n’y recourent pas prioritairement pour leurs recrutements. 64,5% d’entre eux déclarent n’avoir jamais recruté via un réseau social. 15,5% l’ont fait via Facebook ou LinkedIn.
Là aussi, la stratégie des candidats doit, bien sûr intégrer les réseaux sociaux, mais elle ne peut reposer uniquement sur cette approche.
3. Plus une offre concerne un poste hiérarchiquement élevé, moins elle est visible sur les sites d’offres d’emplois
La publication d’offres d’emplois sur ces supports varie selon la catégorie de postes. Ainsi, 27% des entreprises ne publient pas leurs offres pour des postes de direction sur des sites (dont LinkedIn). C’est 20% pour les postes d’encadrement et 17% pour les postes d’employés.
C’est pourquoi, les candidats ne doivent pas limiter leurs recherches à Internet, mais élargir leurs actions en consultant des cabinets de recrutement spécialisés et en exploitant leurs réseaux professionnels ou personnels. Plus le poste visé est important dans la hiérarchie, plus il implique une démarche sur-mesure.
« Internet et les réseaux sociaux sont des outils qu’aucun candidat ne peut négliger pour être recruté. Bien entendu, il convient de cultiver son e-réputation en mettant à jour ses profils, en participant à des groupes de discussion, en publiant régulièrement des informations professionnelles intéressantes… Il faut se rendre visible ! Une part importante d’offres d’emploi ne sont publiées ni sur Internet, ni sur les réseaux : les recruteurs doivent donc identifier les candidats potentiels par eux-mêmes. Et comme le montre notre enquête, c’est encore plus crucial de se rendre visible quand le poste recherché est hiérarchiquement élevé.» analyse Olivier Gélis, Directeur Général de Robert Half France
*Enquête réalisée par un institut de sondage indépendant pour Robert Half en juillet 2014 auprès de 200 Directeurs / Responsables des Ressources Humaines (DRH) en France.
Robert Half France
www.roberthalf.fr
1. Soigner ses profils Facebook, LinkedIn et Twitter
Lorsqu’ils ont sélectionné un candidat, les DRH, ont le réflexe de consulter ses profils sur les réseaux sociaux. Seuls 25% déclarent ne jamais regarder ces profils avant de contacter ou rencontrer un candidat. 50,5% des DRH le font, soit souvent (39,5%) ou toujours (11%).
LinkedIn a très souvent une finalité professionnelle alors que Facebook relève plutôt de la sphère personnelle. A moins d’avoir choisi de limiter l’accès, les profils/publications sont consultables par tous, y compris par des employeurs potentiels : ils font partie intégrante de l’image publique des candidats. C’est pourquoi, il est indispensable de limiter l’accès de ces réseaux personnels (à réserver aux amis et à la famille) et de veiller à ce que le contenu de ces réseaux professionnels ne puisse pas porter préjudice.
2. Les DRH privilégient d’abord les voies classiques pour recruter
Si les réseaux sociaux offrent une visibilité aux candidats, les DRH n’y recourent pas prioritairement pour leurs recrutements. 64,5% d’entre eux déclarent n’avoir jamais recruté via un réseau social. 15,5% l’ont fait via Facebook ou LinkedIn.
Là aussi, la stratégie des candidats doit, bien sûr intégrer les réseaux sociaux, mais elle ne peut reposer uniquement sur cette approche.
3. Plus une offre concerne un poste hiérarchiquement élevé, moins elle est visible sur les sites d’offres d’emplois
La publication d’offres d’emplois sur ces supports varie selon la catégorie de postes. Ainsi, 27% des entreprises ne publient pas leurs offres pour des postes de direction sur des sites (dont LinkedIn). C’est 20% pour les postes d’encadrement et 17% pour les postes d’employés.
C’est pourquoi, les candidats ne doivent pas limiter leurs recherches à Internet, mais élargir leurs actions en consultant des cabinets de recrutement spécialisés et en exploitant leurs réseaux professionnels ou personnels. Plus le poste visé est important dans la hiérarchie, plus il implique une démarche sur-mesure.
« Internet et les réseaux sociaux sont des outils qu’aucun candidat ne peut négliger pour être recruté. Bien entendu, il convient de cultiver son e-réputation en mettant à jour ses profils, en participant à des groupes de discussion, en publiant régulièrement des informations professionnelles intéressantes… Il faut se rendre visible ! Une part importante d’offres d’emploi ne sont publiées ni sur Internet, ni sur les réseaux : les recruteurs doivent donc identifier les candidats potentiels par eux-mêmes. Et comme le montre notre enquête, c’est encore plus crucial de se rendre visible quand le poste recherché est hiérarchiquement élevé.» analyse Olivier Gélis, Directeur Général de Robert Half France
*Enquête réalisée par un institut de sondage indépendant pour Robert Half en juillet 2014 auprès de 200 Directeurs / Responsables des Ressources Humaines (DRH) en France.
Robert Half France
www.roberthalf.fr
Les médias du groupe Finyear
Lisez gratuitement chaque jour (5j/7) le quotidien Finyear.
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise.
Lien direct pour vous abonner : www.finyear.com/abonnement
Lisez gratuitement chaque mois :
- le magazine digital Finyear sur www.finyear.com/magazine
- la lettre digitale "Le Directeur Financier" sur www.finyear.com/ledirecteurfinancier
- la lettre digitale "Le Trésorier" sur www.finyear.com/letresorier
- la lettre digitale "Le Credit Manager" sur www.finyear.com/lecreditmanager
- la lettre digitale "Le Capital Investisseur" sur www.finyear.com/lecapitalinvestisseur
- la lettre digitale "Le Contrôleur de Gestion" (PROJET 2014) sur www.finyear.com/lecontroleurdegestion
- la lettre digitale "GRC Manager" (PROJET 2014) sur www.finyear.com/grcmanager
Un seul formulaire d'abonnement pour 7 lettres
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise.
Lien direct pour vous abonner : www.finyear.com/abonnement
Lisez gratuitement chaque mois :
- le magazine digital Finyear sur www.finyear.com/magazine
- la lettre digitale "Le Directeur Financier" sur www.finyear.com/ledirecteurfinancier
- la lettre digitale "Le Trésorier" sur www.finyear.com/letresorier
- la lettre digitale "Le Credit Manager" sur www.finyear.com/lecreditmanager
- la lettre digitale "Le Capital Investisseur" sur www.finyear.com/lecapitalinvestisseur
- la lettre digitale "Le Contrôleur de Gestion" (PROJET 2014) sur www.finyear.com/lecontroleurdegestion
- la lettre digitale "GRC Manager" (PROJET 2014) sur www.finyear.com/grcmanager
Un seul formulaire d'abonnement pour 7 lettres
Autres articles
-
ZBD, première entreprise en lice pour la licence MiCA de l'UE
-
Tether investit dans StablR pour promouvoir l'adoption du stablecoin en Europe
-
Chainalysis acquiert Hexagate, fournisseur de solutions de sécurité WEB3
-
Sia Partners ouvre "un peu" son capital à Blackstone.
-
IPEM 2025 - "New Promises for Private Markets" - du 28 au 30 janvier 2025 à Cannes