1. Ecoutez votre voix intérieure
La première impression est peut-être la bonne. Vous pouvez ne pas vouloir vous y arrêter, par principe, car il est vrai que c’est en interviewant de nombreux candidats que vous vous ferez progressivement une idée de ce à quoi doit ressembler votre équipe. Mais ce n’est pas tant une question d’apparence que de comportement. N’hésitez donc pas à vous servir de votre intuition pour départager deux candidats dont le CV est quasi-identique et écoutez bien votre voix intérieure, particulièrement quand vous n’aimez pas tout-à-fait ce qu’elle vous dit.
2. Concentrez-vous d’abord sur l’analyse du caractère
Les compétences sont beaucoup plus faciles à acquérir que les traits de caractère. Il faut donc privilégier ces derniers. Chacun a sa méthode. Personnellement, j’évalue ceux avec qui je travaille selon 4 critères, dans l’ordre : Loyauté, Compétence, Rigueur et Solidarité.
La complémentarité des caractères, dans une équipe, est d’ailleurs essentielle pour la faire fonctionner de façon harmonieuse.
3. Privilégiez des candidats cultivés
Qu’il s’agisse de culture générale ou de culture des affaires, de nombreuses études ont démontré que les entreprises qui intégraient ce critère dans leur processus de recrutement obtenaient de leurs collaborateurs un engagement plus fort et un sens des responsabilités plus élevé. C’est aussi le signe d’une plus grande ouverture d’esprit et d’un goût plus prononcé pour l’acquisition de connaissances, ce qui sera très utile, par la suite, à votre entreprise.
4. Faites-vous aider
Un recrutement ne se fait pas en solitaire. Il est indispensable de pouvoir confronter son point de vue avec d’autres. Demandez à deux ou trois de vos amis ou mentors, en qui vous avez toute confiance, de consacrer une heure à chacun des candidats que vous avez retenus, pour les interviewer. Puis, confrontez vos impressions au regard de la définition de la fonction et des critères que vous avez déterminés.
5. N’ayez pas peur de laisser partir ou de vous séparer
Licencier, quand on a un peu de cœur, est toujours un moment douloureux. Bien que vous sachiez investir dans l’intelligence émotionnelle de votre entreprise, transmettre ses valeurs et communiquer avec empathie, quand il devient clair que vous vous êtes trompé dans un recrutement et que l’osmose ne se fait pas, n’hésitez pas à vous séparer de votre nouvel engagé. L’intérêt de votre entreprise et la motivation de votre équipe exigent que vous preniez, parfois, des décisions difficiles. C’est votre rôle et votre devoir de leader.
Recruter un nouvel équipier est toujours un exercice difficile dans lequel le risque de se tromper est très élevé. Il n’y a pas de méthode infaillible. Mais ces quelques recommandations, qui m’ont été, inspirées par Lewis Howes, un ancien athlète professionnel devenu coach, permettent, à mon sens, de réduire, significativement, le taux d’échec.
La première impression est peut-être la bonne. Vous pouvez ne pas vouloir vous y arrêter, par principe, car il est vrai que c’est en interviewant de nombreux candidats que vous vous ferez progressivement une idée de ce à quoi doit ressembler votre équipe. Mais ce n’est pas tant une question d’apparence que de comportement. N’hésitez donc pas à vous servir de votre intuition pour départager deux candidats dont le CV est quasi-identique et écoutez bien votre voix intérieure, particulièrement quand vous n’aimez pas tout-à-fait ce qu’elle vous dit.
2. Concentrez-vous d’abord sur l’analyse du caractère
Les compétences sont beaucoup plus faciles à acquérir que les traits de caractère. Il faut donc privilégier ces derniers. Chacun a sa méthode. Personnellement, j’évalue ceux avec qui je travaille selon 4 critères, dans l’ordre : Loyauté, Compétence, Rigueur et Solidarité.
La complémentarité des caractères, dans une équipe, est d’ailleurs essentielle pour la faire fonctionner de façon harmonieuse.
3. Privilégiez des candidats cultivés
Qu’il s’agisse de culture générale ou de culture des affaires, de nombreuses études ont démontré que les entreprises qui intégraient ce critère dans leur processus de recrutement obtenaient de leurs collaborateurs un engagement plus fort et un sens des responsabilités plus élevé. C’est aussi le signe d’une plus grande ouverture d’esprit et d’un goût plus prononcé pour l’acquisition de connaissances, ce qui sera très utile, par la suite, à votre entreprise.
4. Faites-vous aider
Un recrutement ne se fait pas en solitaire. Il est indispensable de pouvoir confronter son point de vue avec d’autres. Demandez à deux ou trois de vos amis ou mentors, en qui vous avez toute confiance, de consacrer une heure à chacun des candidats que vous avez retenus, pour les interviewer. Puis, confrontez vos impressions au regard de la définition de la fonction et des critères que vous avez déterminés.
5. N’ayez pas peur de laisser partir ou de vous séparer
Licencier, quand on a un peu de cœur, est toujours un moment douloureux. Bien que vous sachiez investir dans l’intelligence émotionnelle de votre entreprise, transmettre ses valeurs et communiquer avec empathie, quand il devient clair que vous vous êtes trompé dans un recrutement et que l’osmose ne se fait pas, n’hésitez pas à vous séparer de votre nouvel engagé. L’intérêt de votre entreprise et la motivation de votre équipe exigent que vous preniez, parfois, des décisions difficiles. C’est votre rôle et votre devoir de leader.
Recruter un nouvel équipier est toujours un exercice difficile dans lequel le risque de se tromper est très élevé. Il n’y a pas de méthode infaillible. Mais ces quelques recommandations, qui m’ont été, inspirées par Lewis Howes, un ancien athlète professionnel devenu coach, permettent, à mon sens, de réduire, significativement, le taux d’échec.
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