Pour ces deux banques, Cross River Bank au New Jersey et CBW Bank au Kansas, l'objectif est le même : rendre les échanges monétaires internationaux plus efficaces, plus fluides et, surtout, plus économiques. Il serait même question de faciliter la prise en compte des exigences de conformité réglementaire… Précision intéressante, la cible privilégiée serait – au moins pour CBW Bank – une clientèle d'entreprises, demandeuses de transferts s'effectuant à la vitesse du web, avec la sécurité apportée par une institution financière classique.
La technologie de Ripple est naturellement prête à répondre à cette ambition. En empruntant les principes fondamentaux de la cryptomonnaie Bitcoin afin de gérer des mouvements de devises quelconques, sur une plate-forme entièrement décentralisée (via son approche P2P – ou « pair à pair »), non seulement les coûts d'exploitation deviennent marginaux mais les transactions sont exécutées instantanément (ou, tout du moins, le seront lorsque la liquidité du marché sera suffisante), en toute sécurité et avec une traçabilité à toute épreuve.
Pour Ripple, cet accord représente une avancée significative, et pas uniquement parce qu'il valide sa vision et son modèle opérationnel. En effet, l'introduction de nouveaux acteurs institutionnels dans son écosystème – aussi modestes soient-ils – va justement lui permettre de renforcer la liquidité des échanges qu'elle gère, en particulier entre les États-Unis et l'Europe. Avec la croissance de son volume d'activité, il lui sera alors plus facile de convaincre d'autres partenaires de rejoindre sa plate-forme.
En attendant, la startup ne manque pas de suggérer à toutes les entreprises d'utiliser ses services transatlantiques par l'intermédiaire des 3 banques les ayant adoptés, qui peuvent immédiatement faire office de correspondant pour d'autres. Par ailleurs, elle peut éventuellement compter sur un effet viral, ne serait-ce que parce que les clients – particuliers ou professionnels – qui utiliseront sa technologie à l'international risquent de s'indigner de la lenteur des virements domestiques (notamment aux États-Unis, où des délais d'une semaine ne sont pas rares).
La technologie de Ripple est naturellement prête à répondre à cette ambition. En empruntant les principes fondamentaux de la cryptomonnaie Bitcoin afin de gérer des mouvements de devises quelconques, sur une plate-forme entièrement décentralisée (via son approche P2P – ou « pair à pair »), non seulement les coûts d'exploitation deviennent marginaux mais les transactions sont exécutées instantanément (ou, tout du moins, le seront lorsque la liquidité du marché sera suffisante), en toute sécurité et avec une traçabilité à toute épreuve.
Pour Ripple, cet accord représente une avancée significative, et pas uniquement parce qu'il valide sa vision et son modèle opérationnel. En effet, l'introduction de nouveaux acteurs institutionnels dans son écosystème – aussi modestes soient-ils – va justement lui permettre de renforcer la liquidité des échanges qu'elle gère, en particulier entre les États-Unis et l'Europe. Avec la croissance de son volume d'activité, il lui sera alors plus facile de convaincre d'autres partenaires de rejoindre sa plate-forme.
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