L'étude publiée présente un réel intérêt puisqu'il s'agit enfin d'un véritable retour du terrain (et non pas de statistiques issues de données déclaratives qui avaient fait croire à tort que le CIR bénéficiait à des organismes financiers). Il est juste un tout petit peu dommage que le nombre de réponses exploitables n'ait pas été supérieur. Bravo en tous les cas au cabinet Lowendal Masai d'être allé chercher l'information là où elle se trouve, c.a.d. dans les entreprises.