● Une nouvelle étude de Tink révèle que plus d'un responsable financier sur trois (37%) s'attend à ce que son institution mette plus de dix ans à réaliser ses objectifs en termes d’open banking
● 40% estiment que cela prendra 5 à 10 ans
● En raison des systèmes existants et des défis technologiques, les institutions financières doivent agir maintenant pour tirer parti du potentiel commercial de l'open banking.
● Malgré cela, le sentiment positif à l'égard de l'open banking passe de 55 % en 2019 à 71 % en 2021 ; les dirigeants tirant parti de son potentiel commercial et reconnaissant son importance stratégique.
Tink, la principale plateforme d’open banking d'Europe, publie aujourd'hui une étude qui souligne un paradoxe inédit : bien que l’open banking soit de mieux en mieux perçu, sa mise en place complète prendra encore de nombreuses années pour les institutions financières.
L'enquête menée auprès de 308 dirigeants dans 12 pays révèle que quatre sur dix (40%) pensent que leur institution aura besoin de 5 à 10 ans pour atteindre ses objectifs en matière d'open banking, et 37% pensent que cela pourrait prendre plus d'une décennie. Ces prévisions prudentes se basent sur l'ampleur de la tâche à accomplir, de nombreuses institutions se lançant dans des projets de transformation liés à l’open banking, complexes et à grande échelle et dont la réalisation prendra plusieurs années.
Parmi les personnes interrogées, les Espagnols, (37%), les Italiens (34%) et les Français (32%) sont les plus optimistes quant aux délais de mise en oeuvre de l'open banking, prévoyant que leurs institutions pourraient atteindre leurs objectifs en moins de cinq ans. Ces chiffres révèlent en creux que la portée des stratégies en matière d'open banking est plus limitée sur ces marchés, et que ces stratégies se concentrent sur des cas d'utilisation à court terme basés sur la conformité, plutôt que sur des projets de transformation à plus grande échelle liés à l'open banking.
En parallèle, il n'est pas surprenant de voir qu’au Royaume-Uni, pionnier du mouvement de l'open banking, les dirigeants sont enthousiastes lorsqu’il s’agit de réaliser leurs objectifs d'open banking : plus d'un sur quatre (28%) s'attendent à ce que leurs institutions les atteignent en moins de cinq ans.
● 40% estiment que cela prendra 5 à 10 ans
● En raison des systèmes existants et des défis technologiques, les institutions financières doivent agir maintenant pour tirer parti du potentiel commercial de l'open banking.
● Malgré cela, le sentiment positif à l'égard de l'open banking passe de 55 % en 2019 à 71 % en 2021 ; les dirigeants tirant parti de son potentiel commercial et reconnaissant son importance stratégique.
Tink, la principale plateforme d’open banking d'Europe, publie aujourd'hui une étude qui souligne un paradoxe inédit : bien que l’open banking soit de mieux en mieux perçu, sa mise en place complète prendra encore de nombreuses années pour les institutions financières.
L'enquête menée auprès de 308 dirigeants dans 12 pays révèle que quatre sur dix (40%) pensent que leur institution aura besoin de 5 à 10 ans pour atteindre ses objectifs en matière d'open banking, et 37% pensent que cela pourrait prendre plus d'une décennie. Ces prévisions prudentes se basent sur l'ampleur de la tâche à accomplir, de nombreuses institutions se lançant dans des projets de transformation liés à l’open banking, complexes et à grande échelle et dont la réalisation prendra plusieurs années.
Parmi les personnes interrogées, les Espagnols, (37%), les Italiens (34%) et les Français (32%) sont les plus optimistes quant aux délais de mise en oeuvre de l'open banking, prévoyant que leurs institutions pourraient atteindre leurs objectifs en moins de cinq ans. Ces chiffres révèlent en creux que la portée des stratégies en matière d'open banking est plus limitée sur ces marchés, et que ces stratégies se concentrent sur des cas d'utilisation à court terme basés sur la conformité, plutôt que sur des projets de transformation à plus grande échelle liés à l'open banking.
En parallèle, il n'est pas surprenant de voir qu’au Royaume-Uni, pionnier du mouvement de l'open banking, les dirigeants sont enthousiastes lorsqu’il s’agit de réaliser leurs objectifs d'open banking : plus d'un sur quatre (28%) s'attendent à ce que leurs institutions les atteignent en moins de cinq ans.
L’analyse des différents secteurs souligne que les banques challengers et les sociétés de gestion de patrimoine sont les plus optimistes concernant les délais : 75% et 74% respectivement pensent que les objectifs d'open banking de leurs institutions peuvent être atteints en moins d'une décennie. À l'autre extrémité de l'échelle, seuls 55% des établissements de crédits immobiliers, 56% des organismes de crédit et 57% des prestataires de services de paiement pensent pouvoir atteindre la maturité de l'open banking en une décennie.
L'open banking : une force révolutionnaire pour le secteur
Si l'infrastructure existante et les défis techniques font que le rythme de la transformation de l'open banking peut être relativement lent, il est évident que les institutions financières sont largement désireuses de profiter de ses avantages. Plus de quatre cadres financiers européens sur cinq (83%) estiment que l'open banking a un effet révolutionnaire sur le secteur des services financiers, et le sentiment positif à l'égard de l'open banking continue d'augmenter, passant de 55% en 2019 à 71% en 2021.
L'open banking : une force révolutionnaire pour le secteur
Si l'infrastructure existante et les défis techniques font que le rythme de la transformation de l'open banking peut être relativement lent, il est évident que les institutions financières sont largement désireuses de profiter de ses avantages. Plus de quatre cadres financiers européens sur cinq (83%) estiment que l'open banking a un effet révolutionnaire sur le secteur des services financiers, et le sentiment positif à l'égard de l'open banking continue d'augmenter, passant de 55% en 2019 à 71% en 2021.
Les institutions financières de Belgique (87%), des Pays-Bas (85%) et du Royaume-Uni (81%) sont les plus positives à l'égard de l'open banking. Ces trois pays ont en commun un écosystème de services financiers compétitif et innovant, avec une collaboration efficace entre TPP (Third Party Providers ou prestataires tiers) et institutions financières.
Les institutions financières de toute l'Europe prennent également conscience de l'importance des bénéfices de l'open banking - reconnaissant les opportunités commerciales immédiates réalisables : amélioration de l'expérience client (36%), lancement de nouveaux services numériques (35%) et augmentation des revenus (34%).
Daniel Kjellén, cofondateur et PDG de Tink, déclare : « En tant que pionnier de l'open banking, il est passionnant de voir nos prévisions se réaliser, car la grande majorité des institutions financières européennes ont hâte d’appréhender tout le potentiel de l'open banking. Mais nous savons que la révolution de l'open banking ne se produira pas du jour au lendemain et nous reconnaissons que le rythme du changement peut être lent, les institutions étant aux prises avec des projets de transformation complexes, dont la réalisation pourrait prendre plus de dix ans. Et ce n'est pas un manque d'intérêt de la part des institutions financières - beaucoup d'entre elles sont freinées par des infrastructures existantes ou des défis technologiques. C'est là que les partenariats fintech peuvent servir de catalyseur aux stratégies d’open banking. La mise en place d'une infrastructure open banking est difficile - plutôt que de se lancer dans des projets de transformation internes qui peuvent prendre une décennie pour aboutir, des partenariats intelligents peuvent raccourcir les délais et dépasser les systèmes existants, permettant aux institutions de récolter les fruits de l’open banking plus tôt qu’elles ne le pensent. »
Jérôme Albus, directeur France & Benelux chez Tink ajoute : “Cette nouvelle étude confirme une tendance déjà révélée par les précédentes éditions. La France compte 93% de dirigeants considérant l'open banking comme une révolution, un taux largement au-dessus de celui de leurs pairs européens. Pourtant, les Français figurent également dans le Top 3 de ceux qui considèrent qu’il faudra plus de 10 ans pour implémenter l’open banking. Ce paradoxe limite le potentiel de l’open banking : Cette technologie ne cesse d’offrir de nouveaux cas d’usage aux institutions financières et ouvre le champ des possibles. Elle permet d’accélérer les process, d'introduire de nouveaux débouchés commerciaux et de nouvelles sources de revenus, tout en permettant d’accroître l’efficacité opérationnelle.”
Téléchargez l’étude ici
Méthodologie
Pour la troisième année consécutive, Tink a collaboré avec YouGov pour réaliser une vaste enquête sur les comportements et les opinions à l'égard de l'open banking en Europe. Toutes les interviews ont été menées par YouGov entre le 25 février et le 27 mars 2021, auprès de 308 dirigeants de services financiers de premier plan répartis dans 12 pays.
Les participants ont répondu aux questions par le biais d'entretiens téléphoniques et d'un questionnaire en ligne. Pour être sélectionnés pour l'enquête, les participants devaient :
● être des décideurs ou des influenceurs de haut niveau
● travailler pour une institution financière réglementée
● avoir une connaissance certaine de la DSP2
● avoir un aperçu des plans d'investissement de l'open banking.
Les institutions financières de toute l'Europe prennent également conscience de l'importance des bénéfices de l'open banking - reconnaissant les opportunités commerciales immédiates réalisables : amélioration de l'expérience client (36%), lancement de nouveaux services numériques (35%) et augmentation des revenus (34%).
Daniel Kjellén, cofondateur et PDG de Tink, déclare : « En tant que pionnier de l'open banking, il est passionnant de voir nos prévisions se réaliser, car la grande majorité des institutions financières européennes ont hâte d’appréhender tout le potentiel de l'open banking. Mais nous savons que la révolution de l'open banking ne se produira pas du jour au lendemain et nous reconnaissons que le rythme du changement peut être lent, les institutions étant aux prises avec des projets de transformation complexes, dont la réalisation pourrait prendre plus de dix ans. Et ce n'est pas un manque d'intérêt de la part des institutions financières - beaucoup d'entre elles sont freinées par des infrastructures existantes ou des défis technologiques. C'est là que les partenariats fintech peuvent servir de catalyseur aux stratégies d’open banking. La mise en place d'une infrastructure open banking est difficile - plutôt que de se lancer dans des projets de transformation internes qui peuvent prendre une décennie pour aboutir, des partenariats intelligents peuvent raccourcir les délais et dépasser les systèmes existants, permettant aux institutions de récolter les fruits de l’open banking plus tôt qu’elles ne le pensent. »
Jérôme Albus, directeur France & Benelux chez Tink ajoute : “Cette nouvelle étude confirme une tendance déjà révélée par les précédentes éditions. La France compte 93% de dirigeants considérant l'open banking comme une révolution, un taux largement au-dessus de celui de leurs pairs européens. Pourtant, les Français figurent également dans le Top 3 de ceux qui considèrent qu’il faudra plus de 10 ans pour implémenter l’open banking. Ce paradoxe limite le potentiel de l’open banking : Cette technologie ne cesse d’offrir de nouveaux cas d’usage aux institutions financières et ouvre le champ des possibles. Elle permet d’accélérer les process, d'introduire de nouveaux débouchés commerciaux et de nouvelles sources de revenus, tout en permettant d’accroître l’efficacité opérationnelle.”
Téléchargez l’étude ici
Méthodologie
Pour la troisième année consécutive, Tink a collaboré avec YouGov pour réaliser une vaste enquête sur les comportements et les opinions à l'égard de l'open banking en Europe. Toutes les interviews ont été menées par YouGov entre le 25 février et le 27 mars 2021, auprès de 308 dirigeants de services financiers de premier plan répartis dans 12 pays.
Les participants ont répondu aux questions par le biais d'entretiens téléphoniques et d'un questionnaire en ligne. Pour être sélectionnés pour l'enquête, les participants devaient :
● être des décideurs ou des influenceurs de haut niveau
● travailler pour une institution financière réglementée
● avoir une connaissance certaine de la DSP2
● avoir un aperçu des plans d'investissement de l'open banking.
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Laurent Leloup
Auteur de Blockchain, la révolution de la confiance
"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
ICO Advisory
Laurent Leloup
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