Selon une nouvelle enquête mondiale publiée par Workiva Inc. (NYSE : WK), deux tiers (65%) des décideurs français estiment que leur organisation n'est pas suffisamment préparée pour atteindre ses objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), ni pour remplir les obligations en matière de réglementation. En outre, 74 % n'ont pas confiance dans les données actuellement communiquées aux investisseurs, bien que 68 % des entreprises aient nommé un responsable ESG chargé de superviser les rapports.
Ces résultats sont le fruit d’une enquête menée mondialement auprès de 1 300 personnes travaillant dans les domaines de la finance, de l'ESG, du développement durable, des RH, de la conformité, des opérations et des affaires légales, et dont la responsabilité professionnelle principale ou secondaire inclut le reporting et la stratégie ESG de leur entreprise. L’enquête examine les processus actuels appliqués par les organisations, la collaboration et la confiance dans les données analysées pour le reporting ESG.
« Les impératifs en matière de reporting ESG évoluent constamment et les entreprises sont confrontées à un processus complexe et un risque croissant lorsqu’elles consolident des données financières et non financières afin de rendre compte de manière cohérente de leur performance ESG aux investisseurs », déclare Julie Iskow, présidente et Directrice des opérations (COO) de Workiva. « Les résultats de l'enquête indiquent la façon dont les analystes ESG issus d'un éventail d'industries en Amérique du Nord, Europe et APAC, relèvent les défis et les opportunités liés au reporting ESG. »
Évolution de l’ESG : seule une entreprise française sur deux a publié un rapport ESG ces 3 dernières années
Les rapports ESG sont considérés comme une démarche relativement récente pour la plupart des entreprises, 51 % des personnes interrogées en France confirment que leur organisation a commencé à publier officiellement des données ESG, sur le climat/développement durable ou sur la responsabilité sociale de leur entreprise au cours des 3 dernières années, tandis que 17 % ont signalé que leur organisation n'avait pas encore publié de rapport officiel.
Selon les résultats de l'enquête, le reporting ESG est géré par un large éventail de départements au sein des organisations, ce qui implique une collaboration transversale importante entre les équipes. Plus d'un tiers des répondants ont indiqué que ce processus était mené par le responsable des opérations (35%), suivi par le département des finances (26%) et des ressources humaines (23%). Parmi les autres départements que les répondants ont identifiés comme jouant un rôle important dans la production de rapports ESG, on trouve le service marketing et communication, les relations avec les investisseurs, le service juridique et de la conformité et enfin les équipes du développement durable/ESG (15%).
Selon les répondants, l'engagement formel des investisseurs ESG fait partie d’un processus continu et important pour leur organisation, près de la moitié (45%) confirment qu'ils évaluent sa faisabilité tous les 3 à 6 mois et 25% déclarent qu'il a lieu chaque année. Plus de la moitié des répondants français (55%) affirment que l'engagement formel des investisseurs contribue de manière significative à la matérialité ESG.
Accent autour du "E" d'ESG : l’environnement comme sujet prioritaire
Bien que des progrès soient nécessaires dans toutes les facettes du reporting l'ESG, le " E " se révèle comme une priorité pour les entreprises. Les répondants français prévoient qu'au cours des 12 à 18 prochains mois, 48 % du budget interne ESG de leur organisation sera consacré aux facteurs environnementaux, 27 % aux facteurs sociaux et 25 % aux domaines de la gouvernance.
L'augmentation de la part du budget réservée aux facteurs environnementaux reflète les préoccupations des répondants quant aux défis auxquels ils sont confrontés en matière de reporting. Les personnes interrogées, qui occupent des postes allant de Dirigeants, Vice-présidents, Directeurs et Managers à des collaborateurs individuels dans ces organisations, ont déclaré que deux des plus grands défis concernant le reporting ESG sont le calcul des protocoles de gaz à effet de serre pour mesurer les émissions de portée 1, 2 et 3 et l’évaluation des émissions de carbone à la demande des investisseurs.
« L’ensemble des investisseurs réclament des données plus détaillées et uniformes en matière d'ESG. Avec la récente directive SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) en Europe, la règle de divulgation ESG proposée par la SEC aux États-Unis, et les 27 mesures ESG de base, recommandées par la Bourse de Singapour, les exigences en matière de reporting ESG deviennent de plus en plus complexes pour les organisations », déclare Mandi McReynolds, responsable ESG mondial chez Workiva. « Nous voyons des entreprises se débattre avec la façon de répondre avec précision aux réglementations requises autour du "E" d'ESG pour déclarer les émissions de GES avec des données de comptabilité carbone. »
La technologie, clé du succès pour mener à bien le reporting ESG
L’utilisation des technologies pour fournir les données transparentes et faciliter l’élaboration du reporting ESG est désormais cruciale. À l'échelle mondiale, tout comme en France (73%), trois répondants sur quatre ont indiqué que l’utilisation de la technologie était importante pour la compilation des données ESG, ainsi que pour la validation de l'exactitude des données (75%) et la mise en conformité avec les réglementations et les normes (81%). Malgré cela, la moitié des personnes interrogées ne pensent pas que les départements individuels de leur organisation disposent des systèmes nécessaires pour fournir les données nécessaires à l’élaboration des rapports ESG. En fait, une personne sur cinq affirme que son organisation ne dispose pas d'une technologie adaptée à la gestion du processus de reporting ESG et aux initiatives du programme. Trente-huit pour cent de ces répondants ont indiqué ne pas comprendre pleinement quelle technologie est disponible ou nécessaire et lorsque qu’il s’agit de l’utiliser, 38% déclarent que son utilisation n’est pas aussi facile qu’elle pourrait l’être. Seul un tiers (38%) de l'ensemble des répondants déclare que leur organisation utilise très bien la technologie et les données pour prendre des décisions sur l'avancement de la stratégie ESG, ce qui indique qu'il existe une marge importante pour améliorer l'efficacité et la performance dans ce domaine.
« Pour naviguer dans cette ère de changement en matière d'ESG, les entreprises doivent adopter une approche prospective et flexible dans leur planification. Les régulateurs, les actionnaires, les clients et les autres investisseurs ont identifié ce qui est essentiel aujourd'hui, mais ce n'est qu'une partie de ce qui sera essentiel pour le reporting de demain », ajoute Julie Iskow. « La technologie, qui permet une intégration transparente des équipes au sein d'une plateforme centralisée, sera essentielle pour rationaliser le processus de reporting à long terme et fournir des rapports transparents capables de répondre à ces demandes en constante évolution afin de renforcer encore la confiance des employés, des investisseurs et des parties prenantes au sens large. »
Le reporting ESG, synonyme de valeur commerciale positive
L'enquête révèle que les entreprises perçoivent l’impact commercial positif des rapports ESG. Six répondants sur dix déclarent que les rapports ESG de leur entreprise ont déjà eu un impact positif sur la fidélisation et le recrutement des clients (59 %), les économies de coûts (71 %), l'engagement des agences d'assurance et de crédit (64%) et la réduction des risques à long terme (65 %). La majorité des répondants ont également noté que les rapports ESG ont amélioré le moral des employés (65%), les efforts de recrutement des employés (67%), ainsi que les relations avec les actionnaires et les investisseurs (61%).
« Bien que les défis autour de la communication des rapports ESG auprès des investisseurs existent toujours, les résultats montrent un bilan positif pour les entreprises qui donnent la priorité au reporting ESG", ajoute Julie Iskow. "Les organisations doivent mettre en œuvre des actions qui leur permettent de suivre le rythme des demandes actuelles et futures des régulateurs, des actionnaires et des autres investisseurs pour des données fiables et transparentes avec des objectifs commerciaux ESG tournés vers l'avenir. »
Selon Nicolas Letavernier, Directeur commercial France chez Workiva : « Les résultats de notre enquête démontrent clairement l’impact positif des rapports ESG pour les entreprises françaises. Les entreprises françaises apparaissent d’ailleurs en avance en termes de Reporting ESG grâce aux lois successives telles que NRE, Grenelle 2 puis une application de la NFRD à un standard maximal. Pour autant, ces entreprises sont confrontées à de nombreux challenges, leur enjeu est de s’appuyer une meilleure utilisation de la technologie pour simplifier le processus de collecte et de communication des données extra-financières et, in fine, d’améliorer leur visibilité auprès des investisseurs. Workiva révolutionne la manière dont les entreprises abordent l’élaboration et la communication des rapports ESG en garantissant une transparence des informations, un critère fondamental pour la prise de décision d’investissement. Notre priorité est de pouvoir accompagner les entreprises et soutenir leurs priorités en matière de responsabilités environnementale et sociétale. »
A propos de l'enquête
Workiva a chargé Coleman Parkes, une agence de recherche indépendante spécialisée dans la technologie B2B, de mener une recherche primaire auprès des entreprises des secteurs de l'énergie (y compris le pétrole et le gaz), des services financiers, de la fabrication, du commerce de détail et retail, de l'alimentation et des boissons, de la construction, de la technologie, des télécommunications, des services professionnels, de l'immobilier et des transports, via une enquête en ligne.
Les répondants ont été interrogées entre le 14 avril et le 6 mai 2022, ils résident sur 13 marchés mondiaux, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France, l'Espagne, la Suède, les Pays-Bas, le Danemark, la Norvège, l'Italie, la Suisse, l'Autriche et Singapour (avec une répartition égale de 100 enquêtes sur chaque marché).
Pour plus d'informations téléchargez ci-dessous les résultats complets de l'enquête.
Ces résultats sont le fruit d’une enquête menée mondialement auprès de 1 300 personnes travaillant dans les domaines de la finance, de l'ESG, du développement durable, des RH, de la conformité, des opérations et des affaires légales, et dont la responsabilité professionnelle principale ou secondaire inclut le reporting et la stratégie ESG de leur entreprise. L’enquête examine les processus actuels appliqués par les organisations, la collaboration et la confiance dans les données analysées pour le reporting ESG.
« Les impératifs en matière de reporting ESG évoluent constamment et les entreprises sont confrontées à un processus complexe et un risque croissant lorsqu’elles consolident des données financières et non financières afin de rendre compte de manière cohérente de leur performance ESG aux investisseurs », déclare Julie Iskow, présidente et Directrice des opérations (COO) de Workiva. « Les résultats de l'enquête indiquent la façon dont les analystes ESG issus d'un éventail d'industries en Amérique du Nord, Europe et APAC, relèvent les défis et les opportunités liés au reporting ESG. »
Évolution de l’ESG : seule une entreprise française sur deux a publié un rapport ESG ces 3 dernières années
Les rapports ESG sont considérés comme une démarche relativement récente pour la plupart des entreprises, 51 % des personnes interrogées en France confirment que leur organisation a commencé à publier officiellement des données ESG, sur le climat/développement durable ou sur la responsabilité sociale de leur entreprise au cours des 3 dernières années, tandis que 17 % ont signalé que leur organisation n'avait pas encore publié de rapport officiel.
Selon les résultats de l'enquête, le reporting ESG est géré par un large éventail de départements au sein des organisations, ce qui implique une collaboration transversale importante entre les équipes. Plus d'un tiers des répondants ont indiqué que ce processus était mené par le responsable des opérations (35%), suivi par le département des finances (26%) et des ressources humaines (23%). Parmi les autres départements que les répondants ont identifiés comme jouant un rôle important dans la production de rapports ESG, on trouve le service marketing et communication, les relations avec les investisseurs, le service juridique et de la conformité et enfin les équipes du développement durable/ESG (15%).
Selon les répondants, l'engagement formel des investisseurs ESG fait partie d’un processus continu et important pour leur organisation, près de la moitié (45%) confirment qu'ils évaluent sa faisabilité tous les 3 à 6 mois et 25% déclarent qu'il a lieu chaque année. Plus de la moitié des répondants français (55%) affirment que l'engagement formel des investisseurs contribue de manière significative à la matérialité ESG.
Accent autour du "E" d'ESG : l’environnement comme sujet prioritaire
Bien que des progrès soient nécessaires dans toutes les facettes du reporting l'ESG, le " E " se révèle comme une priorité pour les entreprises. Les répondants français prévoient qu'au cours des 12 à 18 prochains mois, 48 % du budget interne ESG de leur organisation sera consacré aux facteurs environnementaux, 27 % aux facteurs sociaux et 25 % aux domaines de la gouvernance.
L'augmentation de la part du budget réservée aux facteurs environnementaux reflète les préoccupations des répondants quant aux défis auxquels ils sont confrontés en matière de reporting. Les personnes interrogées, qui occupent des postes allant de Dirigeants, Vice-présidents, Directeurs et Managers à des collaborateurs individuels dans ces organisations, ont déclaré que deux des plus grands défis concernant le reporting ESG sont le calcul des protocoles de gaz à effet de serre pour mesurer les émissions de portée 1, 2 et 3 et l’évaluation des émissions de carbone à la demande des investisseurs.
« L’ensemble des investisseurs réclament des données plus détaillées et uniformes en matière d'ESG. Avec la récente directive SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) en Europe, la règle de divulgation ESG proposée par la SEC aux États-Unis, et les 27 mesures ESG de base, recommandées par la Bourse de Singapour, les exigences en matière de reporting ESG deviennent de plus en plus complexes pour les organisations », déclare Mandi McReynolds, responsable ESG mondial chez Workiva. « Nous voyons des entreprises se débattre avec la façon de répondre avec précision aux réglementations requises autour du "E" d'ESG pour déclarer les émissions de GES avec des données de comptabilité carbone. »
La technologie, clé du succès pour mener à bien le reporting ESG
L’utilisation des technologies pour fournir les données transparentes et faciliter l’élaboration du reporting ESG est désormais cruciale. À l'échelle mondiale, tout comme en France (73%), trois répondants sur quatre ont indiqué que l’utilisation de la technologie était importante pour la compilation des données ESG, ainsi que pour la validation de l'exactitude des données (75%) et la mise en conformité avec les réglementations et les normes (81%). Malgré cela, la moitié des personnes interrogées ne pensent pas que les départements individuels de leur organisation disposent des systèmes nécessaires pour fournir les données nécessaires à l’élaboration des rapports ESG. En fait, une personne sur cinq affirme que son organisation ne dispose pas d'une technologie adaptée à la gestion du processus de reporting ESG et aux initiatives du programme. Trente-huit pour cent de ces répondants ont indiqué ne pas comprendre pleinement quelle technologie est disponible ou nécessaire et lorsque qu’il s’agit de l’utiliser, 38% déclarent que son utilisation n’est pas aussi facile qu’elle pourrait l’être. Seul un tiers (38%) de l'ensemble des répondants déclare que leur organisation utilise très bien la technologie et les données pour prendre des décisions sur l'avancement de la stratégie ESG, ce qui indique qu'il existe une marge importante pour améliorer l'efficacité et la performance dans ce domaine.
« Pour naviguer dans cette ère de changement en matière d'ESG, les entreprises doivent adopter une approche prospective et flexible dans leur planification. Les régulateurs, les actionnaires, les clients et les autres investisseurs ont identifié ce qui est essentiel aujourd'hui, mais ce n'est qu'une partie de ce qui sera essentiel pour le reporting de demain », ajoute Julie Iskow. « La technologie, qui permet une intégration transparente des équipes au sein d'une plateforme centralisée, sera essentielle pour rationaliser le processus de reporting à long terme et fournir des rapports transparents capables de répondre à ces demandes en constante évolution afin de renforcer encore la confiance des employés, des investisseurs et des parties prenantes au sens large. »
Le reporting ESG, synonyme de valeur commerciale positive
L'enquête révèle que les entreprises perçoivent l’impact commercial positif des rapports ESG. Six répondants sur dix déclarent que les rapports ESG de leur entreprise ont déjà eu un impact positif sur la fidélisation et le recrutement des clients (59 %), les économies de coûts (71 %), l'engagement des agences d'assurance et de crédit (64%) et la réduction des risques à long terme (65 %). La majorité des répondants ont également noté que les rapports ESG ont amélioré le moral des employés (65%), les efforts de recrutement des employés (67%), ainsi que les relations avec les actionnaires et les investisseurs (61%).
« Bien que les défis autour de la communication des rapports ESG auprès des investisseurs existent toujours, les résultats montrent un bilan positif pour les entreprises qui donnent la priorité au reporting ESG", ajoute Julie Iskow. "Les organisations doivent mettre en œuvre des actions qui leur permettent de suivre le rythme des demandes actuelles et futures des régulateurs, des actionnaires et des autres investisseurs pour des données fiables et transparentes avec des objectifs commerciaux ESG tournés vers l'avenir. »
Selon Nicolas Letavernier, Directeur commercial France chez Workiva : « Les résultats de notre enquête démontrent clairement l’impact positif des rapports ESG pour les entreprises françaises. Les entreprises françaises apparaissent d’ailleurs en avance en termes de Reporting ESG grâce aux lois successives telles que NRE, Grenelle 2 puis une application de la NFRD à un standard maximal. Pour autant, ces entreprises sont confrontées à de nombreux challenges, leur enjeu est de s’appuyer une meilleure utilisation de la technologie pour simplifier le processus de collecte et de communication des données extra-financières et, in fine, d’améliorer leur visibilité auprès des investisseurs. Workiva révolutionne la manière dont les entreprises abordent l’élaboration et la communication des rapports ESG en garantissant une transparence des informations, un critère fondamental pour la prise de décision d’investissement. Notre priorité est de pouvoir accompagner les entreprises et soutenir leurs priorités en matière de responsabilités environnementale et sociétale. »
A propos de l'enquête
Workiva a chargé Coleman Parkes, une agence de recherche indépendante spécialisée dans la technologie B2B, de mener une recherche primaire auprès des entreprises des secteurs de l'énergie (y compris le pétrole et le gaz), des services financiers, de la fabrication, du commerce de détail et retail, de l'alimentation et des boissons, de la construction, de la technologie, des télécommunications, des services professionnels, de l'immobilier et des transports, via une enquête en ligne.
Les répondants ont été interrogées entre le 14 avril et le 6 mai 2022, ils résident sur 13 marchés mondiaux, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France, l'Espagne, la Suède, les Pays-Bas, le Danemark, la Norvège, l'Italie, la Suisse, l'Autriche et Singapour (avec une répartition égale de 100 enquêtes sur chaque marché).
Pour plus d'informations téléchargez ci-dessous les résultats complets de l'enquête.
Laurent Leloup
- Fondateur et associé Finyear
- Fondateur et CEO Leloup Partners (néo-banque d'affaires©, ICO, STO, Web3)
- Auteur de Blockchain, la révolution de la confiance
"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
- Traducteur de La Blockchain pour les Nuls et de Au cœur du bitcoin.
- Fondateur et associé Finyear
- Fondateur et CEO Leloup Partners (néo-banque d'affaires©, ICO, STO, Web3)
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"La blockchain n’est pas la révolution tant annoncée, elle n’est que l’outil d’un monde lui-même entré en révolution"
- Traducteur de La Blockchain pour les Nuls et de Au cœur du bitcoin.