Pour la première fois, une association de professionnels formule aux candidats à la présidence de la République des recommandations pour l’industrie des actifs numériques, témoignant ainsi de la structuration en cours au sein du secteur.
Paris, le 25 janvier 2022 - Selon un sondage Ipsos pour l’Adan-KPMG à paraître courant février, 37% des Français ont, ou pensent acquérir prochainement des crypto-actifs. Ce secteur tend donc à s’imposer comme une composante majeure de l’économie. Les promesses de l’industrie pour la France se matérialisent déjà par l’émergence de deux licornes en 2021 (dont une levée record pour la French Tech) avec, à la clé, des retombées significatives en matière d’emplois.
Les crypto laissent déjà entrevoir de nombreuses opportunités pour la société française parmi lesquelles : une nouvelle source de croissance et d’emplois, une redynamisation des territoires, un soutien et une modernisation des finances publiques, une amélioration des services financiers au service des citoyens et une contribution à la transition écologique.
Aussi, à l’heure où l’autonomie stratégique s’est imposée comme déterminante pour le bien-être durable de notre société, il apparaît indispensable de préempter la révolution à venir dans le domaine de la finance, essentielle à la souveraineté des États. Apportant à la fois une réponse aux attentes de nos concitoyens et au besoin d’un nouveau souffle pour l’économie, les actifs numériques pourraient ainsi s'inscrire sans détour dans la liste des filières stratégiques définies pour la France.
Il est de notre devoir de mettre en œuvre les moyens nécessaires afin de faire émerger des champions nationaux, capables de porter notre vision en Europe et à l’international. A l’étranger, nombreux sont ceux qui ont déjà pris la mesure et l’urgence de l'enjeu : implanter sur son territoire les futurs GAFAM du secteur financier et préserver sa souveraineté à l'aune de la numérisation de l’économie.
La France et l’Europe ne doivent pas être en reste, laissant le champ libre aux seuls acteurs nord-américains ou asiatiques. Chacun a un rôle à jouer afin de tirer pleinement partie du potentiel des actifs numériques : particuliers dans leurs choix de consommation, entreprises dans la proposition de produits et services innovants et respectueux de l’intérêt général, mais aussi pouvoirs publics dans l’accompagnement de ces innovations et des transformations associées.
Forte de ce constat, pour la première fois, une association de professionnels se mobilise afin de dresser vingt propositions déclinées en six thématiques, considérées comme fondamentales pour accompagner l’essor des crypto-actifs dans l’économie française.
· Souveraineté technologique
· Croissance des entreprises
· Emploi
· Sécurité
· Environnement
· Formation
Ces propositions se fondent sur les défis qui restent à relever par le secteur lui-même afin de poursuivre un développement pérenne et qui s’inscrit dans l’intérêt général. En effet – malgré l’intérêt des investisseurs et un essor irrévocable – des problématiques structurelles freinent son rayonnement en France. A l’origine : l’image négative véhiculée par l’industrie des crypto-actifs repose couramment sur une connaissance parcellaire de ce que constituent ces objets numériques complexes, qui évoluent à un rythme soutenu, et qui imposent d’aller au-delà d’analyses réductrices.
A propos de l’Adan :
L’Association pour le développement des actifs numériques rassemble les professionnels des actifs numériques et des technologies blockchain en France et en Europe. Ses adhérents composent une vaste palette d’activités : marchés, conservation, paiements, gestion, outils d’analyse, accompagnement des projets et des utilisateurs et sécurité informatique. L’Adan a vocation à fédérer l’industrie des actifs numériques et promouvoir son développement au service d’une nouvelle économie numérique. Pour ce faire, l’Association dispose d’une expertise technique et réglementaire de l’univers des actifs numériques et entretient un dialogue étroit avec les autorités publiques et les associations de place.
www.adan.eu
Paris, le 25 janvier 2022 - Selon un sondage Ipsos pour l’Adan-KPMG à paraître courant février, 37% des Français ont, ou pensent acquérir prochainement des crypto-actifs. Ce secteur tend donc à s’imposer comme une composante majeure de l’économie. Les promesses de l’industrie pour la France se matérialisent déjà par l’émergence de deux licornes en 2021 (dont une levée record pour la French Tech) avec, à la clé, des retombées significatives en matière d’emplois.
Les crypto laissent déjà entrevoir de nombreuses opportunités pour la société française parmi lesquelles : une nouvelle source de croissance et d’emplois, une redynamisation des territoires, un soutien et une modernisation des finances publiques, une amélioration des services financiers au service des citoyens et une contribution à la transition écologique.
Aussi, à l’heure où l’autonomie stratégique s’est imposée comme déterminante pour le bien-être durable de notre société, il apparaît indispensable de préempter la révolution à venir dans le domaine de la finance, essentielle à la souveraineté des États. Apportant à la fois une réponse aux attentes de nos concitoyens et au besoin d’un nouveau souffle pour l’économie, les actifs numériques pourraient ainsi s'inscrire sans détour dans la liste des filières stratégiques définies pour la France.
Il est de notre devoir de mettre en œuvre les moyens nécessaires afin de faire émerger des champions nationaux, capables de porter notre vision en Europe et à l’international. A l’étranger, nombreux sont ceux qui ont déjà pris la mesure et l’urgence de l'enjeu : implanter sur son territoire les futurs GAFAM du secteur financier et préserver sa souveraineté à l'aune de la numérisation de l’économie.
La France et l’Europe ne doivent pas être en reste, laissant le champ libre aux seuls acteurs nord-américains ou asiatiques. Chacun a un rôle à jouer afin de tirer pleinement partie du potentiel des actifs numériques : particuliers dans leurs choix de consommation, entreprises dans la proposition de produits et services innovants et respectueux de l’intérêt général, mais aussi pouvoirs publics dans l’accompagnement de ces innovations et des transformations associées.
Forte de ce constat, pour la première fois, une association de professionnels se mobilise afin de dresser vingt propositions déclinées en six thématiques, considérées comme fondamentales pour accompagner l’essor des crypto-actifs dans l’économie française.
· Souveraineté technologique
· Croissance des entreprises
· Emploi
· Sécurité
· Environnement
· Formation
Ces propositions se fondent sur les défis qui restent à relever par le secteur lui-même afin de poursuivre un développement pérenne et qui s’inscrit dans l’intérêt général. En effet – malgré l’intérêt des investisseurs et un essor irrévocable – des problématiques structurelles freinent son rayonnement en France. A l’origine : l’image négative véhiculée par l’industrie des crypto-actifs repose couramment sur une connaissance parcellaire de ce que constituent ces objets numériques complexes, qui évoluent à un rythme soutenu, et qui imposent d’aller au-delà d’analyses réductrices.
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L’Association pour le développement des actifs numériques rassemble les professionnels des actifs numériques et des technologies blockchain en France et en Europe. Ses adhérents composent une vaste palette d’activités : marchés, conservation, paiements, gestion, outils d’analyse, accompagnement des projets et des utilisateurs et sécurité informatique. L’Adan a vocation à fédérer l’industrie des actifs numériques et promouvoir son développement au service d’une nouvelle économie numérique. Pour ce faire, l’Association dispose d’une expertise technique et réglementaire de l’univers des actifs numériques et entretient un dialogue étroit avec les autorités publiques et les associations de place.
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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