PokerStars
Le site PokerStars, la plus grande plateforme de poker en ligne du monde avec des millions d’utilisateurs quotidiens, se trouve face à un tournant dans sa stratégie de développement, et a donc repensé plusieurs de ses produits pour s’adapter à un marché du poker en plein ralentissement. Alors que la popularité du poker en ligne n’a jamais cessé de s’étendre depuis la fameuse victoire de Chris Moneymaker aux World Series of Poker, en 2003, devenu millionnaire après s’être qualifié au tournoi grâce à une victoire sur internet dans un satellite à 39 dollars l’inscription, celle-ci commence à stagner après plus de 15 ans de croissance folle.
Il existe plusieurs raisons à ce frein de l’économie du poker en ligne. Le poker en ligne est considéré différemment selon le pays au sein duquel les joueurs s’inscrivent en ligne, ce qui contribue à ce ralentissement. Mais il y a aussi une raison liée à l’ancienneté même de l’explosion du poker. Ce jeu n’est en effet plus aussi « trendy » aux yeux des nouvelles générations, ou alors qui en préféreront une version améliorée et mise à jour. C’est la même chose en ce qui concerne la préférence des plus jeunes pour Snapchat (dont la récente entrée en bourse a marqué les mémoires, avant de s’effondrer ces dernières semaines par rapport à Facebook.
Enfin, PokerStars cherche à donner de nouveau espoir à ses nouveaux inscrits : si chacun souhaite devenir le prochain MoneyMaker, ce n’est pas toujours le cas en pratique. Il est important d’acquérir une certaine maîtrise du site, des règles du poker et de ses subtilités avant d’espérer pouvoir gravir les échelons… Le but est donc pour PokerStars de faire comprendre aux novices qu’ils ont leur place à gagner dans ce milieu compétitif et stimulant.
Il fallait donc un réajustement de leurs différents programmes pour rétablir une certaine égalité entre leurs plus fidèles clients et la masse de nouveaux qui veulent y croire. PokerStars a ainsi, en juin dernier, mis fin à un programme spécial de fidélité qui récompensait les joueurs participant à plus de 24 parties en simultané, en gros les plus spécialisés de leurs joueurs. Surtout, la firme, dont les filiales BetStars et PokerStars Casino commencent à rapporter plus que leur grande sœur, a relocalisé la plupart de ses prize-moneys pour plus d’égalité, assurant ainsi un plus grand nombre de gains à un plus grand nombre de joueurs, mais de plus petite valeur.
En plus de cela, PokerStars a décidé de laisser les stars du football faire sa promotion et s’est associée tout récemment à l’homme le plus rapide du monde, le tout jeune retraité Usain Bolt. Et ce n’est pas tout : afin d’attirer les plus jeunes, qui s’intéressent très facilement à des jeux vidéo tels que StarCraft, PokerStars est aussi en train de préparer le lancement d’une version du poker mêlant le jeu classique à des cartes magiques qui bouleverseront complètement la vision traditionnelle du Texas Hold’em.
Le marché global du poker en ligne est passé de 3,3 milliards de chiffre d’affaires en 2010 à 2,5 milliards cette année : le but des modifications de PokerStars n’auront peut-être pas d’effet dans l’immédiat, mais très rapidement, ces nouvelles dynamiques attireront de nouveaux joueurs, chevronnés ou pas, mais partageant la passion commune des cartes !
Il existe plusieurs raisons à ce frein de l’économie du poker en ligne. Le poker en ligne est considéré différemment selon le pays au sein duquel les joueurs s’inscrivent en ligne, ce qui contribue à ce ralentissement. Mais il y a aussi une raison liée à l’ancienneté même de l’explosion du poker. Ce jeu n’est en effet plus aussi « trendy » aux yeux des nouvelles générations, ou alors qui en préféreront une version améliorée et mise à jour. C’est la même chose en ce qui concerne la préférence des plus jeunes pour Snapchat (dont la récente entrée en bourse a marqué les mémoires, avant de s’effondrer ces dernières semaines par rapport à Facebook.
Enfin, PokerStars cherche à donner de nouveau espoir à ses nouveaux inscrits : si chacun souhaite devenir le prochain MoneyMaker, ce n’est pas toujours le cas en pratique. Il est important d’acquérir une certaine maîtrise du site, des règles du poker et de ses subtilités avant d’espérer pouvoir gravir les échelons… Le but est donc pour PokerStars de faire comprendre aux novices qu’ils ont leur place à gagner dans ce milieu compétitif et stimulant.
Il fallait donc un réajustement de leurs différents programmes pour rétablir une certaine égalité entre leurs plus fidèles clients et la masse de nouveaux qui veulent y croire. PokerStars a ainsi, en juin dernier, mis fin à un programme spécial de fidélité qui récompensait les joueurs participant à plus de 24 parties en simultané, en gros les plus spécialisés de leurs joueurs. Surtout, la firme, dont les filiales BetStars et PokerStars Casino commencent à rapporter plus que leur grande sœur, a relocalisé la plupart de ses prize-moneys pour plus d’égalité, assurant ainsi un plus grand nombre de gains à un plus grand nombre de joueurs, mais de plus petite valeur.
En plus de cela, PokerStars a décidé de laisser les stars du football faire sa promotion et s’est associée tout récemment à l’homme le plus rapide du monde, le tout jeune retraité Usain Bolt. Et ce n’est pas tout : afin d’attirer les plus jeunes, qui s’intéressent très facilement à des jeux vidéo tels que StarCraft, PokerStars est aussi en train de préparer le lancement d’une version du poker mêlant le jeu classique à des cartes magiques qui bouleverseront complètement la vision traditionnelle du Texas Hold’em.
Le marché global du poker en ligne est passé de 3,3 milliards de chiffre d’affaires en 2010 à 2,5 milliards cette année : le but des modifications de PokerStars n’auront peut-être pas d’effet dans l’immédiat, mais très rapidement, ces nouvelles dynamiques attireront de nouveaux joueurs, chevronnés ou pas, mais partageant la passion commune des cartes !
Les médias du groupe Finyear
Lisez gratuitement :
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 5 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief FinTech Officer
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer
FINYEAR
Le quotidien Finyear :
- Finyear Quotidien
Sa newsletter quotidienne :
- Finyear Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.
Ses 5 lettres mensuelles digitales :
- Le Directeur Financier
- Le Trésorier
- Le Credit Manager
- The Chief FinTech Officer
- The Chief Digital Officer
Finyear magazine trimestriel digital :
- Finyear Magazine
Un seul formulaire d'abonnement pour choisir de recevoir un ou plusieurs médias Finyear
BLOCKCHAIN DAILY NEWS
Le quotidien Blockchain Daily News :
- Blockchain Daily News
Sa newsletter quotidienne :
- Blockchain Daily News Newsletter
Recevez chaque matin par mail la newsletter Blockchain daily News, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Blockchain révolution.
Sa lettre mensuelle digitale :
- The Chief Blockchain Officer