En préambule, qu’est-ce que la gestion financière des patrimoines d’entreprise ?
Les patrimoines de l’entreprise englobent tout ce que l’entreprise possède, occupe, loue, amortit,… ses locaux, ses usines, sa flotte automobile, son parc informatique,… Le pilotage quotidien de ces patrimoines est généralement un casse-tête pour les entreprises, car les éléments constitutifs sont fluctuants, diversifiés et souvent volumineux… avec une gestion éclatée entre les différentes directions de l’entreprise.
Mettre en place une organisation efficiente en termes de ressources, de processus ou d’outils pour permettre de gérer de façon optimisée les patrimoines de l’entreprise est un défi complexe qui demande de disposer d’une vue d’ensemble. En effet, différentes méthodes de classification des patrimoines existent mais dans tous les cas, leur impact est non seulement financier mais aussi fiscal (notamment en termes d’IS ou de taxes locales).
Plusieurs expertises s’intéressent donc à la gestion des patrimoines : les directions comptables, fiscales, immobilières, juridiques, marketing, achats, … ; chacune ayant des besoins et des modes de traitement différents de l’information. Cette gestion ne peut être efficace que si elle fait l’objet d’une collaboration réellement active entre les différents métiers ou services présents au sein de l’entreprise. Le back-office doit alimenter les métiers et services en données qualifiées, complètes, exhaustives, qualitatives et justes, et ce, en temps réel, pour offrir un bon niveau d’information et une faculté de réaction rapide et adéquate.
Le cloisonnement des patrimoines est un obstacle majeur à surmonter ! Pour engager son entreprise sur la voie de l’excellence opérationnelle en matière de gestion des patrimoines, il est donc primordial de fluidifier les échanges d’information entre les différentes directions, en étant capable de mettre en place un référentiel unique sur lequel tous vont pouvoir communiquer et échanger de manière simple et fiable.
Une situation exacerbée par la crise
La crise sanitaire a impacté de manière profonde l’organisation des entreprises et leurs interactions sociales, avec la mise en place du télétravail voué à perdurer et à se développer. Elle questionne notamment les entreprises sur la gestion de leurs actifs immobiliers (locaux, surfaces, magasins, …) et autres actifs indispensables à leur bon fonctionnement.
Les entreprises doivent notamment opérer des choix tactiques sur les espaces à occuper et leur usage, ou encore le matériel à fournir à leurs collaborateurs durant les prochaines années… tout en adoptant une politique de coûts raisonnée. Certaines entreprises envisagent, par ailleurs, de se désengager de tout ou partie de leurs murs. Les pistes de réflexion et d’actions déjà envisagées par les entreprises telles que l’adoption de cycles de location plus courts pour les baux ou la recherche de surfaces plus limitées peuvent constituer une première solution, mais suffisent-elles à répondre à une stratégie nouvelle de gestion des patrimoines de l’entreprise ?
Les entreprises doivent disposer d’un outil de gestion des patrimoines dynamique et efficace
La crise n’a pas fait qu’impacter la cession, la location ou l’achat de locaux et de surfaces. Elle a aussi obligé les sociétés à repenser l’organisation et l’usage de leurs espaces : recourir au partage de locaux entre plusieurs entreprises, à la location et sous-location de matériels ou de services (informatique, restauration, services spécifiques, …). Ces initiatives ont permis aux organisations de partager leurs coûts d’usage et d’optimiser leurs coûts de production dans une logique financière. Avec, pour résultat, deux bénéfices : alléger le poids de leurs créances et réinvestir du cash dans leur activité.
Pour que ces choix stratégiques sur les actifs des entreprises soient judicieux et génèrent un résultat positif, il est nécessaire d’offrir aux organisations une disponibilité immédiate de l’information, une coordination instantanée et facilitée entre les entreprises et leurs différents interlocuteurs - bailleurs, fournisseurs, directions des achats, directions financières, … - pour une vision globale précise et fiable des données pertinentes.
En temps de crise, l’adoption d’applications pour la gestion des patrimoines crée un cercle vertueux en permettant un pilotage fiscal et financier plus fin et plus simple. Lorsque la gestion des patrimoines est intégrée et dynamique, elle permet aux organisations d’analyser, de piloter et d’optimiser leur performance économique, mais aussi d’envisager des investissements bénéfiques pour leur future croissance.
Ainsi, entre tensions de la trésorerie dues, en partie, à la crise du Covid-19 et impératifs financiers, les entreprises se retrouvent face à un enjeu de digitalisation plus crucial que jamais. Les évolutions au long court qui s’observent sur de nombreux sujets (fiscaux, comptables, …), démontrent que tous les outils de mesure développés et mis en place ces dernières années ne servent pas qu’à la DGFIP, mais aussi aux actionnaires, aux investisseurs et aux collaborateurs au cœur de la gestion des flux et assets financiers.
Que ce soit pour gérer la sortie de crise ou tout simplement envisager sereinement l’avenir, il est donc indispensable que les entreprises s’inscrivent dans une vision à long terme et qu’elles parviennent à anticiper et à piloter proactivement leur activité pour éviter l’insolvabilité et renouer avec la maîtrise de leur roadmap. Le “new normal” demande, plus que jamais, plus d'agilité et de flexibilité : les entreprises ont donc tout intérêt à adopter une gestion financière plus précise et plus fine de leurs patrimoines… de nouvelles solutions technologiques utiles et innovantes existent pour les y aider !
Les patrimoines de l’entreprise englobent tout ce que l’entreprise possède, occupe, loue, amortit,… ses locaux, ses usines, sa flotte automobile, son parc informatique,… Le pilotage quotidien de ces patrimoines est généralement un casse-tête pour les entreprises, car les éléments constitutifs sont fluctuants, diversifiés et souvent volumineux… avec une gestion éclatée entre les différentes directions de l’entreprise.
Mettre en place une organisation efficiente en termes de ressources, de processus ou d’outils pour permettre de gérer de façon optimisée les patrimoines de l’entreprise est un défi complexe qui demande de disposer d’une vue d’ensemble. En effet, différentes méthodes de classification des patrimoines existent mais dans tous les cas, leur impact est non seulement financier mais aussi fiscal (notamment en termes d’IS ou de taxes locales).
Plusieurs expertises s’intéressent donc à la gestion des patrimoines : les directions comptables, fiscales, immobilières, juridiques, marketing, achats, … ; chacune ayant des besoins et des modes de traitement différents de l’information. Cette gestion ne peut être efficace que si elle fait l’objet d’une collaboration réellement active entre les différents métiers ou services présents au sein de l’entreprise. Le back-office doit alimenter les métiers et services en données qualifiées, complètes, exhaustives, qualitatives et justes, et ce, en temps réel, pour offrir un bon niveau d’information et une faculté de réaction rapide et adéquate.
Le cloisonnement des patrimoines est un obstacle majeur à surmonter ! Pour engager son entreprise sur la voie de l’excellence opérationnelle en matière de gestion des patrimoines, il est donc primordial de fluidifier les échanges d’information entre les différentes directions, en étant capable de mettre en place un référentiel unique sur lequel tous vont pouvoir communiquer et échanger de manière simple et fiable.
Une situation exacerbée par la crise
La crise sanitaire a impacté de manière profonde l’organisation des entreprises et leurs interactions sociales, avec la mise en place du télétravail voué à perdurer et à se développer. Elle questionne notamment les entreprises sur la gestion de leurs actifs immobiliers (locaux, surfaces, magasins, …) et autres actifs indispensables à leur bon fonctionnement.
Les entreprises doivent notamment opérer des choix tactiques sur les espaces à occuper et leur usage, ou encore le matériel à fournir à leurs collaborateurs durant les prochaines années… tout en adoptant une politique de coûts raisonnée. Certaines entreprises envisagent, par ailleurs, de se désengager de tout ou partie de leurs murs. Les pistes de réflexion et d’actions déjà envisagées par les entreprises telles que l’adoption de cycles de location plus courts pour les baux ou la recherche de surfaces plus limitées peuvent constituer une première solution, mais suffisent-elles à répondre à une stratégie nouvelle de gestion des patrimoines de l’entreprise ?
Les entreprises doivent disposer d’un outil de gestion des patrimoines dynamique et efficace
La crise n’a pas fait qu’impacter la cession, la location ou l’achat de locaux et de surfaces. Elle a aussi obligé les sociétés à repenser l’organisation et l’usage de leurs espaces : recourir au partage de locaux entre plusieurs entreprises, à la location et sous-location de matériels ou de services (informatique, restauration, services spécifiques, …). Ces initiatives ont permis aux organisations de partager leurs coûts d’usage et d’optimiser leurs coûts de production dans une logique financière. Avec, pour résultat, deux bénéfices : alléger le poids de leurs créances et réinvestir du cash dans leur activité.
Pour que ces choix stratégiques sur les actifs des entreprises soient judicieux et génèrent un résultat positif, il est nécessaire d’offrir aux organisations une disponibilité immédiate de l’information, une coordination instantanée et facilitée entre les entreprises et leurs différents interlocuteurs - bailleurs, fournisseurs, directions des achats, directions financières, … - pour une vision globale précise et fiable des données pertinentes.
En temps de crise, l’adoption d’applications pour la gestion des patrimoines crée un cercle vertueux en permettant un pilotage fiscal et financier plus fin et plus simple. Lorsque la gestion des patrimoines est intégrée et dynamique, elle permet aux organisations d’analyser, de piloter et d’optimiser leur performance économique, mais aussi d’envisager des investissements bénéfiques pour leur future croissance.
Ainsi, entre tensions de la trésorerie dues, en partie, à la crise du Covid-19 et impératifs financiers, les entreprises se retrouvent face à un enjeu de digitalisation plus crucial que jamais. Les évolutions au long court qui s’observent sur de nombreux sujets (fiscaux, comptables, …), démontrent que tous les outils de mesure développés et mis en place ces dernières années ne servent pas qu’à la DGFIP, mais aussi aux actionnaires, aux investisseurs et aux collaborateurs au cœur de la gestion des flux et assets financiers.
Que ce soit pour gérer la sortie de crise ou tout simplement envisager sereinement l’avenir, il est donc indispensable que les entreprises s’inscrivent dans une vision à long terme et qu’elles parviennent à anticiper et à piloter proactivement leur activité pour éviter l’insolvabilité et renouer avec la maîtrise de leur roadmap. Le “new normal” demande, plus que jamais, plus d'agilité et de flexibilité : les entreprises ont donc tout intérêt à adopter une gestion financière plus précise et plus fine de leurs patrimoines… de nouvelles solutions technologiques utiles et innovantes existent pour les y aider !
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
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Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
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